L’Algérie avait entrepris, par le passé, de considérables efforts pour former des élites dans nombre de domaines d’activités, mais faute d’y avoir été intégrées, nombre parmi elles ont préféré migrer.
S’exprimant, dimanche, à l’émission L’Invité de la rédaction, M.Yassine Djeridène se félicite que les nouvelles autorités du pays aient pris conscience de l’apport significatif que de pareilles élites sont susceptibles d’apporter à la promotion des secteurs économiques et industriels, en particulier.
Relevant, d’autre part, les carences observées au cours des dernières décennies au sein de l’université Algérienne, le ministre de la Micro entreprise, des start-up et de la connaissance juge que le pari, désormais, est de s’investir dans la formation de cadres aptes à contribuer au développement d’une économie de pointe de la connaissance.
M. Djeridène signale, à cet effet, qu’il est totalement en phase avec le ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Chems Eddine Chitour, lequel a eu, à de multiples reprises, à abonder en faveur de la création d’instituts spécialisés de transfert de technologie.
Avec la contribution du monde de l’industrie, explique-t-il, il va être possible, par exemple, de former des ingénieurs « outillés » aux techniques industrielles aux fins de contribuer à l’essor de celui-ci.
Monsieur le Ministre , je suis au regret de vous critiquer sur l’implementation de la Telemedecine en Algérie .
Vous étiez en charge de ce dossier en 2017 , aujourd’hui nous sommes en 2020 et rien n‘a été fait pour la population en souffrance alors que l‘implementation de la Telemedecine aurait résolue de nombreux problèmes de santé et fait avancer le pays dans la révolution numérique dans le domaine du É-Health.
Pour votre gouverne le premier centre de Telemedecine dans un pays arabe en l‘occurence les Émirats Arabes Unis a été réalisé par mes soins en tant que directeur médical. mais malgré des interviews , des articles dans les journaux algériens et sites électroniques algériens avec une étude complète sur la faisabilité de la mise en place d‘une telle structure de Telemedecine, je constate avec beaucoup d‘amertume que mon pays n‘a pas avancer d‘un pas dans ce domaine, alors que ses meilleurs spécialistes dans ce domaine font le bonheur d‘autres pays en Europe.