Utilisation des eaux épurées en Agriculture et en Industrie: le ministère de l’hydraulique fixe l’ordre des priorités

Le ministre de l’Hydraulique, Taha Derbal, a affirmé jeudi, que son département avait établi un ordre de priorités à travers les différentes wilayas du pays, dans le cadre des instructions du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, relatives à l’accélération de la mise en œuvre du programme d’utilisation des eaux épurées en Agriculture et en Industrie.

Culture de cannabis : le Maroc consolide sa « vile place » de premier producteur mondial 

Premier producteur mondial de résine de cannabis, le Maroc veut consolider sa « vile place » et mobiliser de nouvelles recettes financières à travers l’augmentation par neuf fois des superficies dédiées à la culture de cette substance mortelle et la promotion du secteur pour inciter les opérateurs étrangers à investir dans ce qui est pompeusement considérée comme une « industrie locale ».

Hommage à Abdou Elimam

Le premier mawqif fut à Oran où on a évoqué le récit d’Ibn Arabi quand la fabuleuse montagne d’émeraude de qaf lui demanda des nouvelles de Sidi Boumediene. Il lui apprit que des envieux l’accusaient d’hérésie. Elle s’étonna que des créatures de Dieu n’aiment pas les amis de Dieu. Le professeur m »expliqua que c’était une problématique linguistique.

Hend Sadi « Samedi » au service des colons

Alors que l’on s’attendait à des révélations des secrets civils (et pas militaires) sur Mouloud Mammeri, l’aspirant de l’armée coloniale française, formé à l’Académie des officiers de Cherchell, de la part de Hend Sadi (celui qui vient de brosser un beau tableau de l’inventeur final des buchettes de Jacques Bénet, que personne ne lit, à l’occasion de la célébration de la 44ème année du complot « berbériste du 20 Avril 1980 »), on a eu droit à une salve d’injures et d’insultes de la part de celui que la France-coloniale a élevé au grade d’intellectuel-indigène, presqu’à l’image de son mentor militaire.

Maroc : 4,3 millions de jeunes exclus du système de travail et d’éducation

Mohamed VI

Environ 4,3 millions de jeunes marocains âgés de 15 à 34 ans sont sans emploi, ni études ni en état de formation, selon un dernier rapport du Conseil économique, social et environnemental (CESE) du pays. Les conclusions du CESE font état d’une hausse inquiétante du chômage des jeunes, atteignant 35,8 % en 2023, couplée à une baisse du taux d’activité à 22,6 %.