Les supplétifs de la néocolonisation ne se découragent jamais, lorsqu’il s’agit de s’attaquer à la colonne vertébrale de l’État-nation Algérien, à savoir l’ANP, digne héritière de l’ALN.
Les supplétifs que sont les universitaires fonctionnaires des universités françaises, à savoir Ali Bensaad et Lahouari Addi se sont portés volontaires pour secourir Emmanuel 1er, qui en faussaire de l’histoire effacera l’histoire millénaire de l’Algérie et attaquera au passage l’ANP qui refuse le diktat de la néocolonisation.
En date du premier novembre 2021, le salarié de la NED, en l’occurrence Lahouari Addi s’est autoproclamé « libérateur » de l’Algérie, lors d’une rencontre organisée par l’activiste de l’organisation terroriste du MAK, en l’occurrence Karim Nait Ouslimane.
En cette date historique qui constitue un tournant décisif dans l’édification, l’auteur de « la régression féconde » qui n’arrivait pas à faire la différence entre le mètre carré et le mètre cube, s’était déjà illustré au début du Hirak, en février 2019, en nous proposant une présidence collégiale, à la mesure de la concrétisation du projet néocolonialiste, concocté par son employeur la NED, prévoyant une période de transition, et refusant la voie constitutionnelle seule garante du respect de l’exercice démocratique, par l’urne. Le supplétif d’Emmanuel Macron savait pertinemment que les autoproclamés ténors du Hirak (lire le livre de l’auteur algérien Ahmed Bensaada) n’avaient aucune chance d’être élus par le peuple Algérien, attaché à l’unité de son pays et jaloux de sa souveraineté acquise grâce à d’énormes sacrifices consentis lors de la glorieuse révolution de libération du premier novembre 1954, et aux sacrifices de la décennie noire, permettant d’anéantir le projet obscurantiste du démantèlement de l’État Algérien. Le sieur Addi, revient à la charge pour cautionner l’organisation terroriste de Rachad, conduite par ses amis Mourad Dhina et Larbi Zitout et qui entretiennent de leurs côtés des rapports suspects avec les ténors autoproclamés.
Décrié par une majorité des algériens et français, Emmanuel Macron trouvera bien deux supplétifs aguerris à ce genre de mission, à savoir trahir les siens pour plaire au Commandeur roi de France et Navarre. Les supplétifs à la recherche des projecteurs des nouveaux colons, n’ont pas tardé à offrir leurs services médiatiques, pour défendre Emmanuel 1er
Ali Bensaad n’a pas tardé à sauter sur la perche de la trahison tendue par RFI pour exprimer sa frustration à l’égard de l’Algérie et ses institutions, coupables d’avoir échappé au diktat de la néocolonisation.
Toute honte bue, Bensaâd abonde dans le sens des diarrhées du commandeur roi de France et Navarre. Il est rapidement rejoint par l’autre néocolonisé Lahouari Addi, qui choisit en la circonstance samedi dernier le journal Le Monde pour cautionner les propos d’Emmanuel 1er
« Sur l’Algérie, Emmanuel Macron a dit publiquement ce que ses prédécesseurs disaient en privé », écrit l’auteur de la « régression féconde », converti aux basses et viles flagorneries.
Frustré, sieur Lahouari cultive secrètement un classique et bien connu complexe du néocolonisé, se livre à de pathétiques circonvolutions cérébrales pour essayer de fourguer sa marchandise.