Ne pouvant rendre compte, pour l’instant, de toutes les insultes, les injures, les qualificatifs nauséabonds, les invectives, les menaces, …(et on en passe et des meilleures), qui nous sont expédiés par les déçus de l’Algérie française, nous avons choisi d’informer nos lecteurs d’une succession de messages (et même d’un appel téléphonique) qui émane de Nadia Agsous, une « immensité » du monde littéraire de la France coloniale, chargée du recrutement des « légumes politiques » à l’AFA (Association France-Algérie), et dirigeante du jury d’un prix littéraire en carton, au sein de cette même filiale! Pour rappel, cette association est dirigée par Arnaud Montebourg (ancien sinistre socialiste du « système» en mission coloniale en Algérie) et par Jean-Louis Levet (Haut Responsable du désastre économique national), avec la coopération industrielle et technologique franco-algérienne, entre mai 2013 et le 18 février 2019).
« L’Algérie française » n’est donc pas contente de notre contribution intitulée « HYPERLINK « https://algerie54.dz/2023/11/30/neocolonisation-37/ » l’Algérie française en effervescence amicale », et elle nous le fait savoir en téléguidant « Montebourg battant », la dénommée serveuse Nadia Agsous, qui nous a fait part notamment de sa contrariété, avec une avalanche de mails littéraires dignes du professeur « Charles goumi », qui a dû apporter sa touche d’expert de la langue de Molière. De la part de celle qui HYPERLINK « https://www.pinterest.fr/agsouslittarte/endroits-%C3%A0-visiter/ » conseille « Les exercices de grammaire », « Comprendre – S’exprimer – Lire – Ecrire », « Expert en écriture, « De la théorie à la pratique », « Ecrire et parler », « Comment rédiger », nous sommes estomaqués par sa rédaction! L’exercice est par conséquent très difficile, avec la rédactrice de cette « HYPERLINK « https://www.lacauselitteraire.fr/nadia-agsous » cause littéraire », qui a été désignée à la tête du jury d’un prix de littérature « indigène », de la part de l’organisation néocoloniale « Association France-Algérie », qui exige d’un ton dictatorial que l’on supprime sa jolie photo de révolutionnaire au beau sourire, de notre contribution. Cette « immensité » de la démocratie littéraire néocoloniale n’aime pas sa photo, pourtant publique, bien que nous n’avons fait que lui assurer une meilleure visibilité médiatique ?
Sur son « sourire révolutionnaire », nous n’avons rien inventé, et on ne comprend pas où est le délit de diffamation qu’elle évoque, dont nous serions les auteurs, puisque c’est elle-même qui se décrit comme la « Fatma N’Soumeur » à l’inverse de la société-civile-algérienne (en réalité totalement militaire), pour mener une guerre de quatrième génération colorée, contre le peuple, qu’elle veut absolument emmener vers un véritable guet-apens colonial! A côté du « Dilem » raciste, « danseur » du régime des généraux de Tel Aviv, recrue de Bernard Emié (ancien ambassadeur de France à Alger, aujourd’hui patron des services secrets français), c’est qu’elle l’a même affichée dans le journal des emmurés, appelé « Liberté ».
Comme elle propose de publier nos « poésies politiques », nous nous sommes alors efforcés, sans vraiment beaucoup d’efforts, à faire parvenir à Nadia Agsous les grains de couscous qu’elle traîne sous le voile de la littérature de la liberté de « pression », commercialisée dans l’épicerie politique pour les « Arabes » en liberté « d’expression », même si on a dépassé le délai de 24 h qu’elle nous a ordonné de respecter. Cela rappelle la belle époque des colonies, avec ses serviteurs « béni oui-oui » de la race supérieure coloniale. Merci pour la proposition, mais nous ne mangeons pas de votre pain rassis sur le dos du peuple algérien, et apparaître à côté des « contrebandiers de l’Histoire » de Rachid Boudjedra, comme les néo-colonisés Boualem Sansal, Yasmina Khadra ou encore Amin Zaoui, l’autre frisé rédacteur chez leur « HYPERLINK « http://www.lacauselitteraire.fr/comment-creer-un-dictateur-dans-une-fabrique-arabo-musulmane-par-amin-zaoui » cause littéraire » indigène. Sans oublier l’entretien accordé à un déçu de l’Algérie française, Khaddour Riad, auteur de « Putain d’indépendance » (Ed. la Contre Allée, fev.2012).
Rappelant les « barbouzes El Kadi » et la fugitive « Amira Dz Bouraoui » de François Zimeray, cette journaliste-chroniqueuse aurait rédigé trois tracts littéraires (« Réminiscences », avec Hamsi Boubekeur, 2012- Ed. La Marsa; un entretien avec Smain Laacher, 2014 – Ed. Dalimen; « L’ombre d’un doute », décembre 2020- Ed. Frantz Fanon en Algérie, organe d’édition coloniale de l’Algérie française). Le conditionnel est utilisé dans ce paragraphe, au regard des compétences francophiles de ses correspondances qui nous sont parvenues. Ajoutons que « L’ombre de son doute » de 2020 est une œuvre appelant les algériennes et les algériens à s’asseoir sur l’Histoire de la glorieuse révolution algérienne, au profit de son « sourire révolutionnaire » avec la magique banane coloniale. Elle inscrit cette manipulation médiatique des esprits faibles, dans le sillage identitaire de la révolution colorée avec la série de molaires édentées.
Elle est animatrice « sans le foulard » de la danse du ventre, sur AlternaTV, la boîte à image poubelle, carrefour du complot contre le peuple algérien, de Rabah « le Moulla à vent de la barbe à papa », où elle reçoit les pires créatures indigènes scientifiques, à l’image de Boualem Sansal (le serviteur du régime génocidaire des généraux de Tel Aviv), de Yasmina Khadra (le contrebandier de l’Histoire de Rachid Boudjedra), d’Amin Zaoui (qui n’a pas été invité à l’Elysée pour la fête de Hanouka), de Houari Addi (l’inventeur de la théorie de la régression « inféconde », pour qui le terroriste Mourad Dhina est un « Erdogan » algérien; il est l’inventeur auteur du théorème de la commutativité des grandeurs physiques), de Amar Mohand Amer (l’historien frisé, serviteur du colonialisme moderne, qui a raté les charniers de Khenchella et les grottes à gaz françaises où ont été « fumés » les Algériens), de Khaddour Riad, le déçu par le travail pas fini des généraux Aussaresses, Massu, Bigeard, Salan, Bugeaud et tous les Meyssonniers…
Dans la politique des guets-apens et des chaos, on retrouve Nadia Agsous, celle à qui « on ne peut pas donner de leçons de patriotisme (comme elle l’indique dans l’une de ses correspondances), au centre d’une solide toile coloniale complotiste, visant directement le peuple algérien, avec un ensemble de personnages qui n’ont jamais caché leur intention de détruire l’Algérie. D’Ali Bensaâd, l’organisateur principal (à côté de Mouloud Boumghar et de Fatiha Talahite) du Colloque ( HYPERLINK « https://algerie54.dz/2022/06/27/neocolonisation-17/ » Colons-colloque-Colonisés), en guerre contre le peuple algérien (entre le 23 et le 25 juin 2022 à l’IFG- Institut Français de Géopolitique), jusqu’à Houari Addi ( cité dans la première série des reptiles de la politique, ci-dessus), en passant par Djaffar Lakhdari (agent du Makhzen), par Aïssa Rahmoun (l’épicier du complot des droits de l’Homme exclusivement fabriqué pour les « Indigènes », avec son ami Ali Aït Djoudi), et par Youcef Azrem (écrivain « complotiste » frisé du berbérisme à Taferka et ailleurs).
Comme on peut le constater (bien qu’elle semble appartenir à la galaxie « berbéro-terroriste », porteuse du drapeau colonial de Jacques Bénet, et appartenant à la ligné des René Basset), Nadia Agsous fait partie du large panel, si ce n’est le ciment du complot orchestré par le système colonial du FMI (France-Maroc-Israël), à partir de Paris. Son recrutement au sein de l’AFA (Association France-Algérie), est peut-être en lien avec ses tentacules dans les divers groupes (islamistes, berbéristes et ONGistes) que la France « d’en haut » prépare pour la prochaine guerre contre le peuple algérien.
Les colons et leurs serviteurs « indigènes », recrutés par le système, n’arrêteront pas de nous surprendre, notamment avec Afous (la main) de Nadia Agsous, celle qui a conçu une exposition de planches de lapidations du peuple algérien, sur la place de la vermine politique de la République, en octobre 2019, sous couvert de solidarité avec le peuple algérien! Elle avait préparé ses toiles d’araignées, tissées autour du peuple algérien, au vernissage qu’elle organisé à la Fabrique du « colon », 11 rue Paul Vaillant-Couturier (de « fil blanc révolutionnaire à la banane »), à Bagnolet, le 5 octobre 2019. Elle avait poursuivi le travail avec une table ronde (et pas carrée) avec « Art, histoire, mémoire et perspectives » de l’Algérie française, épaulée par deux groupes (« Jamais sans nous Bondy» et « Barbares de Bagnolet »). Cette porteuse du rayonnement littéraire n’est pas gênée d’animer la foire politique avec les groupes classés terroristes en Algérie, qui manifestent publiquement, et sous protection policière, en France.
En attendant, elle pourrait demander à Jean-Louis Louvet, son Chef au sein de cette association de l’Algérie française, Haut Responsable (HR) à la coopération industrielle et technologique franco-algérienne, entre mai 2013 et le 18 février 2019 (juste avant le déclenchement du Hirak, le 22 février 2019), s’il n’a pas quelques tuyaux pour récupérer, au moins une partie, des 1000 milliards évaporés de la poche du peuple algérien!…
Le travail attribué par l’Algérie française à la « néo-indigène » Nadia Agsous, soldat, membre des bataillons de la société civile, est de convaincre que la France coloniale et les héritiers de Fernand Meyssonnier vont offrir la liberté au peuple algérien. Quelque soit la reptation politique adoptée, dans le cas présent de nature pseudo-littéraire, Nadia Agsous est définitivement décorée de l’étendard de « Bint frensa » « Yeliss N frensa », après la publication de son tract fortuit «L’ombre d’un doute », appelant le peuple algérien à effacer de sa mémoire les 132 ans de « coloniser-exterminer ». Les colons savent très bien, comme nous, que le « traitre d’un jour, est un traitre pour toujours ». Le reste c’est du bavardage chez « Montebour battant » et au café « mort », d’AlternaTV de Rabah « le Moulla à vent de la barbe à papa ».
Continuez à blinder les murs entre les peuples, en raclant les légumes politiques du fond des casseroles de Jérôme Cahuzac qui est de retour « les yeux dans les yeux », au pays où Nadia Agsous et « Charles Goumi » sont élevés au rang « d’intellectuels », alors que Shlomo Sand est un interdit d’antenne médiatique devenue diabolique.