Le téléphone de l’hôtel Mercure de Rouen , sis au 12, avenue Aristide Briand, n’a pas cessé de sonner depuis que l’organisation terroriste du MAK ait annoncé l’organisation d’un meeting qu’animera le chef terroriste Ferhat M’henni ,dimanche prochain 15 décembre, au même établissement hôtelier appartenant à la chaîne hôtelière « Accor ».
Sur l’affiche diffusée sur les réseaux sociaux, ce mouvement terroriste hébergé douillettement par le régime français, annonce la couleur terne de son complot organisé en 1994 (en compagnie des Saïd Sadi, l’autre supplétif du néocolonialisme), pour s’attaquer à la jeunesse et à l’enfance en Algérie.
Selon la direction de l’hôtel Mercure de Rouen, le meeting de ce groupe terroriste serait annulé et l’annonce pourrait être communiquée dans les prochaines heures, sur les tromperies du contractant de cet événement essentiel sur la démocratisation du terrorisme. La direction de l’hôtel Mercure attend peut-être le feu vert de Nicolas Sarkozy, l’un des administrateurs « indépendant » de la société civile, du groupe « Accor », dont l’animosité envers le peuple algérien n’est plus à démontrer.https://group.accor.com/fr-FR/group/who-we-are/chairman-and-ceo-message
Au regard de la multiplication des attaques contre le peuple algérien, il n’est pas à exclure que la multinationale « Accor », dirigée par Sébastien Bazin (l’ancien Président du Paris Saint-Germain, et de la société d’investissement privée Colony), qui possède des établissements en Algérie, soit une filiale d’inoculation du terrorisme en Algérie.
Avec le groupe terroriste du « MAK » dans ses salons, on peut affirmer que son modèle dépasse l’hospitalité classique. Il n’est pas utile de rappeler ici, toutes les batailles terroristes (Incendies de l’été 2021, le lynchage de D. Bensmail, la liquidation à Paris de J. Louerguioui, la tentative d’introduction des armes de guerre par le port de Béjaïa, …etc.) qu’il a mené contre l’Algérie et son peuple, depuis sa maison française dorée et les salons coloniaux parisiens de la DGSE, au bénéfice de ses maîtres, les généraux du régime génocidaire de Tel-Aviv, mais juste rappeler que ce personnage dégoulinant le fascisme identitaire était dans l’avion (Airbus A 300), du vol Air France AF 8969 détourné le 24 décembre 1994.
Selon son propre récit de sa balade de prise d’otage, il n’avait pas été inquiété par ses ennemis les terroristes « islamistes ». Cela s’expliquerait par la présence, ce 24 décembre 1994, du très catholique Xavier Driencourt (qui a sacrifié le réveillon de Noël, et même la messe de minuit), l’ambassadeur brun colonial, qui était aux manettes au quartier général du Quai d’Orsay. Eh bien, ces deux vieilles connaissances se sont retrouvées par hasard, le 29 novembre 2024, au centre Charlier et de l’AGRIF, un temple identitaire de l’extrême-droite française engagé dans le choc des civilisations, et qui a pour devise : »Dieu-Famille-Patrie ». Xavier Driencourt, le représentant du système des grottes à gaz en Algérie, qui multiplie les sorties brunes dans la presse moribonde de la colonie israélienne, comme à l’accoutumé, est allé déverser sa haine viscérale contre le peuple algérien « Coloniser-Exterminer ». Devant un parterre de neurones bien huilés dans le sens du vent des guerres contre les peuples du Sud, on aperçoit au premier rang de la classe de Bernard Antony (ancien député du FN) et de toute la crème d’extrême droite, le gourou du groupe terroriste du MAK, en train de tricoter un autre scénario machiavélique, en buvant les paroles du prophète des complots en Algérie. https://chretientesolidarite.fr/relations-france-algerie-une-remarquable-conference-de-xavier-driencourt-au-centre-charlier/
Pour rappel, Boualem « sent sale » avait cantiner à la table de Xavier Driencourt, juste avant de s’envoler vers Alger, dans un avion qui n’a pas été détourné par les « terroristes » d’Al-Qaïda », devenus subitement des « démocrates » dans la presse de la colonie israélienne.
Vient s’ajouter à la dernière liste complotiste, les révélations récentes du dénommé Aïssaoui Mohamed Amine, un ancien « djihadiste », sur son recrutement par la DGSE, par l’intermédiaire de l’association française « Artémis » qui prétend avoir comme objectif de lutter contre le « radicalisme ». Si la France, qui légifère sur le terrorisme depuis 1986, interdit les meetings des députés français, lesquels sont même poursuivis pour apologie du terrorisme, c’est naturellement pour offrir l’expression publique à Ferhat Mehenni, le chef terroriste du MAK. En attendant l’ « Accor » au Mercure du « MAK » à Rouen, dimanche 15 décembre 2024, on voit bien que le dictateur de l’Élysée a mis vraiment beaucoup d’huile sur les rails, pour livrer la France poings et mains liés au régime des généraux génocidaire de Tel-Aviv.
