Pour détourner l’opinion publique marocaine et internationale, les services de renseignements marocains après la série d’articles du journal français Le Monde, porte-voix de la DGSE française, et la guerre fratricide que connaît ses relais( Jabaroot, les scandales de corruption et espionnage, fuite de l’ancien numéro deux de la DGED, Mohamed Hijaouy, les révélations visant le prétendu futur roi) sur fond de guerre de succession de Mohamed VI, font de l’Algérie un point de fixation ( les vacances du président de la république, l’instrumentalisation de l’affaire de l’immigration clandestine de 7 adolescents orchestrée par El Isaba et ses relais, le court séjour de l’équipe algérienne de football à Casablanca pour croiser le fer avec son homologue guinéenne, et la tenue de la 4e édition de l’IATF 2025 à Alger avec l’intention de diminuer l’impact), tentent bien que mal de diffuser des diatribes et calomnies, dont l’issue est vouée à l’échec face à la vigilance des algériens.
Acculés, cette fois-ci, les services de renseignements du régime du Makhzen, via leurs instruments propagandistes,colportent une Fakenews selon laquelle, le représentant du mouvement dela résistance palestinienne, Youssef Hamdane, serait menacé de liquidation par les services de renseignements Algériens.
Une fakenews qui coincide avec le lâche assassinat des dirigeants palestiniens du Hamas à Doha perpétré par l’entité sioniste. Et si dans la politique rien n’est attribué au hasard,il est clair comme l’eau de roche que les services du régime du Makhzen coordonnent avec le Mossad sioniste, en ternissant l’image de l’Algérie devenue le cauchemar des génocidaires sionistes sur la scène internationale via son représentant Amar Bendjamaa, qui a chaque fois que le Conseil de Sécurité de l’ONU se réunisse pour aborder la question palestinienne, sa voix fait trembler le représentant sioniste et ses soutiens du génocide.
Le seul moyen pour l’entité sioniste pour faire taire l’Algérie et ternir son image est de perpétrer une action criminelle et terroriste visant des dirigeants palestiniens dont ceux de la résistance palestinienne comme Youssef Hamdane qui ne anque aucune opportunité pour saluer le rôle de l’Algérie , sa totale solidarité avec le peuple palestinien et son engagement pour l’édification d’un Etat Palestinien souverain sur sa terre la Palestine, avec El Qods, comme capitale.
Pour ternir l’image de l’Algérie et étouffer sa voix, l’entité sioniste n’a pas mieux que le valet et larbin du Makhzen pour le sale boulot, dont les services dirigés par les Hammouchi et Mansouri, sont devenus une succursale du Mossad sioniste.
La coordination des opérations entre les deux parties ne sont plus un secret depuis la normalisation en novembre 2020. Une normalisation officialisée sur le dos de la cause palestinienne, à l’instar de ce qu’a été réalisé par Hassan II à l’occasion des expéditions d’exode menées vers la Palestine au début des années 60, ou son boulot de traite à la veille du Sommet Arabe tenu en 1967 à Casablanca à quelques jours dela guerre de six jours, ou il a autorisé les sionistes à espionner les dirigeants arabes, avant de rafler le titre du président du Comité d’El Qods en 1969 avec l’aide des monarchies réactionnaires opposées à la détermination de la résistance pour la libération des terres arabes dont la Palestine Occupée, menée à cette époque là par l’Egypte de Jamal Abdelnasser, et l’Algérie de Houari Boumediene
Aujourd’hui, c’est le même scénario qui se répète avec Mohamed VI qui accorde toutes les facilités aux sionistes pour opérer à partir de chez lui, en autorisant les navires transportant des armes à l’armée sioniste à s’approvisionner en carburant dans des ports marocains comme celui de Tanger, en muselant les voix qui dénoncent la normalisation et envoyant des hommes combattre à côté del’occupant sioniste.
Par contre,l’Algérie a refusé par la voix de son président Abdelmadjid Tebboune de vendre la cause palestinienne, devenue une cause nationale algérienne, en affirmant en septembre que l’Algérie est totaleent opposée à toute normalisation avec l’entité sioniste au moment ou certains dirigeants arabes courraient pour serrer la main entâchée du sang palestinien du géNocidaire Benjain Netanyahou.
Déterminé, le président de la république Abdelmadjid Tebboune a même réuni ses pairs arabes autour de la question palestinienne en novembre 2022 à l’occasion du Sommet arabe tenu à Alger et coincidait avec le 60e anniversaire de l’indépendance et le 68e anniversaire du déclenchement de la glorieuse révolution du premier novembre 1954.
Un sommet arabe précédé par la Déclaration d’Alger signée en octobre 2022 signée par 14 factions palestiniennes, dont les efforts de l’Algérie consistaient à réunifier leurs rangs autour de l’objectif principal celui de l’édification d’un Etat Palestinien souverain et indépendant.
Des efforts qui se sont poursuivis sur la scène internationale, pour sensibiliser la communauté internationale à reconnaître l’Etat de la Palestine, comme un Etat membre à part entière au sein de l’organisation des nations unies.
L’Algérie qui a abrité en novembre 1988, l’annonce dela création d’un Etat Palestinien, en déjouant un plan d’assassinat de dirigeants paletiniens dont le martyr Yasser Arafat, et qui a imposé ce dernier à faire un discours à l’ONU, lorsqu’elle présidait l’Assemblée Générale en 1974 et qui a acceuilli les combattants palestiniens après leur retrait du Liban, a saisi l’opportunité de faire partie du Conseil de Sécurité de l’ONU pour plaider en haute voix la cause palestinienne, et ce n’est pas le Makhzen ou son mentor le génocidaire sioniste qui pourront ternir l’image du pays des martyrs qui a fait de l’indépendance de la Palestine un objectif suprême de laNation Algérien, dès le 5 juillet 1962. A bon entendeur
