Par Djeha
Observez, chers amis et compatriotes dans le papier du Monde que je vous joins ci-dessous, comment, ce royaume si jaloux de son image impériale (récemment mise en scène à la faveur des obsèques de sa Majesté Elizabeth II), n’est en réalité qu’une province relativement mineure entre les mains de Wall Street et de la Maison Blanche (sous le contrôle de ceux qui contrôlent le Congrès).
Ne cherchez pas ailleurs en Europe des nations souveraines. Il n’y a que des larbins qui passent le plus clair de leur temps à tenter de sauver la face.
Un jour, je vous entretiendrai de l’Allemagne où s’affrontent ceux qui défendent les intérêts de leur industrie et ceux qui veulent se préserver des foudres des rapaces de Wall Street. Le problème est qu’il arrive qu’il s’agit d’un arbitrage complexe entre l’intérêt de se débarrasser de Washington et des inconvénients à le faire… Sous réserve, cela tombe sous le sens que les uns et les autres aient réellement les moyens de cet arbitrage.
Comme disait « l’autre », si vous m’avez compris, c’est que je ne me suis pas très bien expliqué…
