Dans toutes les situations et dans toutes les démocraties, en effet, seule la voix du peuple compte. L’Algérie, ne déroge pas à la règle en veillant à mettre en place des institutions légitimes, élues démocratiquement par un peuple libre et souverain. Même, dans les pires crises, le pays, a su déjouer les plans d’ici, et ceux venant de l’autre côté de la Méditerranée, dans le but, d’instaurer des périodes de transitions.
Pour le commun des Algériens, une transition n’est autre qu’une sorte de partage de gâteau, qui ne profite qu’à certains politicards qui n’osent pas se présenter aux élections. Le peuple algérien s’est largement exprimé sur le sujet, un certain 12 décembre 2019, première élection présidentielle libre et démocratique.
Tous les chemins passent par la voie du peuple, ce peuple et son président, Abdelmadjid Tebboune sont à la bonne heure, du même bord. Cette voix du peuple, très audible, qui peut être polyphonique, qui dit souvent plusieurs choses à la fois, en direction d’une classe politique loin des réalités. Cette classe politique, qui fait dans les généralités avec ses éternels << initiatives politiques>>, n’a jamais présenter une initiative socio-économique digne de ce nom.
Le développement de l’économie et le bien-être du citoyen, n’ont jamais été au cœur des stratégies des états-majors politiques, et cela date depuis l’ouverture démocratique post-octobre 88. Depuis l’élection du président Tebboune, le peuple est assuré et rassuré. Il ne manque de rien. Il vit dans une Algérie stable, sereine, sur la voie de l’émergence économique. Un peuple gronde et hausse le ton et fait entendre sa voix, lorsque il a faim, privé de soins et l’injustice. Le peuple gronde lorsque, une minorité s’accapare de toutes les richesses d’un pays. Ces politicards et certains médias adaptent, des méthodes désuètes, et qui font des plans sur la comète, n’arrivent pas encore à comprendre que les peuples ne se soulèvent jamais pour des soi-disant << plus de démocraties et de libertés>>.
Ils se soulèvent, lorsque la faim et l’injustice frappent dans une société déséquilibrée économiquement et socialement. La misère et la détresse sociale sont fortement mobilisatrices, elles figurent parmi les principales causes des situations de chaos et de violence. D’ailleurs, les extrémistes de tous bords (de droite, de gauche et les islamistes), surfent sur ces deux facteurs pour mobiliser les troupes. Le pauvre Bouazizi en Tunisie, ne s’est pas immolé pour la démocratie ou pour les libertés anarchiques, il s’est immolé par ce qu’il ne veut pas avoir faim. A méditer…