Par Boualem Snaoui
C’est en parcourant le rapport de la Cour des « contes » (publié le 22/05/2023 par les Sages de la rue Cambon, lesquels nous ont annoncé que ce sont les pets des vaches qui sont responsables du réchauffement climatique, puisqu’elles sont responsables de près de 12% des émissions de gaz à effet de serre en France), que je me suis interrogé pour savoir si ces turbulents ont placé leurs sondes au bon endroit. Cela n’a pas manqué, et sans aucune concertation, c’est « Fronce enterre », un bras d’attaque médiatique de « Radiofronce », qui a nous a dirigés droit vers l’odeur de gaz recherchée, puisqu’elle a consacré, lundi 29 mai 2023, une émission sur leur sujet fétiche l’Algérie, intitulée « il ne faut pas être une vache algérienne ». J’en ai déduit que les veaux de Ch. de Gaulle risquent de trinquer, en raison des pets politiques du troupeau de bovins de la cinquième colonne, installé de part et d’autre de la Méditerranée.
Le lecteur qui a l’habitude de me lire, rien que pour rire, afin de soulager ses souffrances de la politique chaotique exposée par des personnages étranges, venus d’une autre planète (pour nous « conter » des fables ordinaires de médiocrité qui colonisent les esprits par le mépris), sait que le monde que l’on nous construit est finalement réduit à une cavité sombre illuminée parfois des plumes, souvent en fin de vie.
C’est ainsi que j’ai observé un agitateur, personnage issu du système politique colonial construit depuis l’époque de Napoléon III, planté sur le chemin de l’avenir afin d’assassiner tout espoir pour le peuple algérien de respirer l’air et de voir la lumière; ce personnage surnommé par le peuple algérien « Saïd Samedi » est sorti du trou ethnique du « berbéristan » qu’il a creusé avec sa « forchetta » (fourchette) de Jacques Bénet, pour proposer un tonnerre révolutionnaire.
Le « Dilem » raciste de la caricature, c’est qu’il n’en a pas fini avec le peuple algérien, puisque depuis la saison politique appelée « printemps des berbères » de 1980 (ce complot téléguidé par des forces jamais en dormance, sur lesquelles j’ai déjà disserté sans « Tabou », le général de la cinquième colonne en Algérie), il n’a pas arrêté de fabriquer des guet-apens démocratiques, pour faire écrouler la terre des révolutionnaires dans le ravin colonial.
C’est donc au moment où le peuple de France réclame la restitution de ses deux ans de vie volés par les braqueurs politiques du grand capital (pris la main dans le maigre sac des « gueux »), que « Saïd Samedi » a été « actionné » par le système qui l’héberge douillettement, afin que son régime puisse nous injecter le vaccin pour le « Daoud 19 » et organiser la répression en toute « démoctature » du peuple des « sans dents », de « ceux qui ne sont rien » ! Avec ce gars là, on a bien saisi que la préoccupation du peuple ne réside pas dans le pillage des classes populaires au profit des tenants des « bourses », mais sur le type de fourchette –forchetta – de Jacques Bénet, avec laquelle son régime « barbare » va pouvoir soustraire la vie aux citoyens.
Je ne connais pas son statut résidentiel en « Fronce », mais au regard de son agitation et de son excitation électronique en politique, j’ai comme l’impression qu’il est P-résiden- ciel (pour 2024 ?) pour la « Fronce » chez les « Indigènes », vu qu’il passe entre les balles de LBD qui éborgnent le peuple. Remarque, à ma connaissance, ce « cachiriste (titulaire du saucisson algérien) » n’a jamais mouillé sa chemise pour gagner sa croûte en France, et n’est donc pas concerné par le braquage de nos deux ans de vies par un système resté colonial.
On ne va pas revenir sur le château hanté d’El Biar (Alger) qu’il louerait pour la bagatelle de 12 000 € (dixit Ait Hamouda Nordine en mars 2016), et je ne sais même pas si c’est cette même belle auberge qui est équipée de pas moins de 10 WC (sans « conter » le reste), sans doute pour les gros intestins, ou une autre construite naturellement à la sueur de son « franc » aujourd’hui en euros. On ne va pas rouvrir non plus le dossier de l’assassinat du chanteur L. Matoub, puisque « Saïd Samedi » cité dans cette affaire humanitaire, a gagné le procès (en 2004) en diffamation qu’il avait intenté contre Malika Boukhtouche, laquelle avait accusé ce berziden (Président) du parti indigène d’avoir un lien avec la liquidation de son frangin.
Tu vois ou pas où baigne le personnage ? Que des trucs qui méritent en principe le prix Bobel (créature du folklore Malgache, héros des séries de bandes dessinés KODITRA dans les années 80) de la prime.
Sans conclure, on peut dire que ce gars est un bon, vraiment un bon, et même un excellent relais de René Basset, le fondateur du « berbérisme » sous Napoléon III, et de Mouloud Mammeri, l’officier (aspirant) de l’armée française, biberonné au château de Mimi 5 (ancêtre de Mimi 6) par son prolétaire d’oncle Mohamed Mammeri (intendant Général du roi du Makhzen)….dans « sa haine contre le peuple algérien comme rival ».
Vu la richesse de ses neurones, il espère que son crâne rejoindra peut-être ceux des résistants algériens qui décorent toujours, depuis plus d’un siècle et demi, les étagères du Musée d’histoire naturelle (coloniale) de Paris, pour une inoculation future de même nature.
Ce qui attire donc dans sa « vieille » époque contemporaine, c’est la prolifération de ses sorties médiatiques psychiatriques récentes, en reptation politique de forme « Z »; ceci n’augure rien de bon pour notre avenir qu’il veut absolument encore boucher, puisqu’il nous conjugue toujours au passé, dans les canalisations souterraines infectes du néocolonialisme moderne, qu’il tente d’éclairer avec sa vieille plume qui a beaucoup révolutionné l’Algérie depuis plus de 60 ans. D’ailleurs j’ai fait une trouvaille sensationnelle, et ce n’est pas une découverte sur la toile tissée autour du peuple algérien, c’est une page de « face de bouc » intitulée « Ami(es) qui valorisent le discours de « Saïd Samedi ». Pourquoi son discours est-il aussi pourri que ça pour promouvoir sa communication et la valoriser chez les frisés ?
Tout le monde se souvient et connaît ce grand « démoctateur » fabriqué dans les pépinières politiques d’attaque du peuple algérien, celui qui ne rate jamais les grandes manœuvres des chaos clef en main vendus dans les coulisses de la police du régime de la FrançAlgérie. Eh bien, il est donc de retour avec sa « fouchetta- thaferchett » fouchette de Jacques Bénet, qu’il trimbale, y compris autour du « cou p » du laser Akbar, pour animer ses séances psychiatriques de la politique autour de son monologue démocratique. Ce n’est pas gratuit, je te le dis ! Et c’est par expérience que les Algériens savent que dès qu’il met le nez quelque part, tu peux être sûr qu’il va « enfumer le peuple » en calumet de sa paix. N’est-ce pas ce qu’il avait déclaré sur les ondes de la radio publique Chaîne 3, suite à son rejet par le peuple, lors des élections législatives en 1991 à Tizi-Ouzou, en dépit des moyens qu’on lui avait mobilisés, qu’il s’était « trumpé de société » ? C’est un éternel opposant au peuple, puisqu’il a préféré rejeter son renvoi politique sur la société qui l’a évacué.
Parmi les nombreuses sorties de ce dribbleur professionnel en politique, pour enfouir le peuple algérien dans les grottes « indigènes » du passé colonial, il y a cette belle échappée dans le passé douloureux qu’il a tenu samedi 27 mai 2023 à Marseille (centre d’animation culturelle –mairie du 6-8) avec une association de Pieds-Noirs appelée « progressiste ». Cette séance qui marquera encore éternellement son œuvre politique, ne renvoie pas du tout à l’Algérie-française adossée à la Françalgérie. C’est Speedy Gonzalès, le député d’extrême droite qui vice-préside la commission d’attaque par l’amitié Françalgérie au palais Bourbon, qui va être content. Sinon, sa séance n’a rien à voir avec l’inauguration de l’exposition « l’illusion de la paix en Algérie » des nostalgiques de l’OAS à Perpignan ! D’ailleurs je me demande pourquoi « Saïd Samedi » n’a pas organisé la séance biblique de sa politique sur l’esplanade « Pierre Sergent » à Perpignan, inaugurée par Louis Alliot, le grand manitou de la ville.
C’est vrai que j’ai aussi déjà disserté sur l’ami de BHL, l’un des plus vieux soldats de leur société civile, puisqu’à 76 ans (et je suppose avec toutes ses dents affûtées) il continue à mordre encore plus profond la chair du peuple algérien. A ce stade, il devrait accéder au moins aux mêmes galons que son pote, rien que pour faire voler l’avion de Bibi Netanyahou (interdit en janvier 2019, un mois avant le déclenchement du « Hirak ») dans le ciel de la Mecque des révolutionnaires. C’est ainsi qu’il pourra célébrer d’une façon grandiose « la suprême audace » et la « chaleureuse poignée de mains » de l’ancien Président déchu A. Bouteflika en 1999, avec Shimon Perez à Formentor (Baléares) et l’ancien premier ministre israélien Ehud Barak, croisé à Rabat à l’occasion des funérailles de Hassan II, puisqu’elles « sont symboliquement fortes et donnent à penser qu’il est déterminé à casser les codes du conservatisme politique ambiant ».
Le « Hirakiste-cachiriste », que j’avais décrit joliment dans le passé, n’avait rien à contester. Et comme pour jeter le doute, après que j’eus rendu public sa « génétique familiale (non Kabyle) » originaire de Biskra, le 16 septembre 2019, cette mention s’est volatilisée comme par miracle de sa biographie, sur sa page Wikipedia, le 17 septembre 2019, à 3h20 du matin. On dirait que cela a donné des insomnies aux tenants du label « Kabyle AOC –Appellation d’Origine Contrôlée -» et cela me parait être en parfaite adéquation avec la pensée coloniale de Nicolas Bibesco, celui qui a écrit «La France y a étudié de près la race kabyle pure, elle l’a étudiée à sa source ; elle y a découvert la vraie manière de la prendre et de la gouverner». Surtout lorsqu’on se rappelle de cette fameuse citation «c’est par la Kabylie que nous ferons exploser cet Etat », attribuée à Yossi Cohen, chef du Mossad jusqu’en juin 2021, et rapportée par Youcef Benzatat dans sa contribution en date du 14 décembre 2017 dans le journal Algériepatriotique.
Alors c’est pour quand une conférence sur sa génétique familiale ? Afin que l’on puisse s’assurer de la pureté de sa RACE, et par la même occasion bien vérifier s’il est détenteur ou non du code génétique (Halogroupe E1b1b (Y-ADN) et du QR Code d’Adolphe le Führer (http://www.slate.fr/story/26491/adn-hitler-juif-berbere-science) fabriqué pour les populations innocentes que l’on jette dans les galeries du nazisme, au moyen de la forchetta (fourchette) de « Saïd Samedi ».
Il ne faut pas en vouloir à cet agent qui torture la culture ! Il ne peut pas savoir qu’il prêche le beau génome d’Hitler en Algérie et d’ailleurs, en inoculant le terrorisme ethnique dans la culture des lombrics élevés dans les cavités souterraines de sa culture de la haine. Ce rabatteur scientifique, docteur en Intelligence Artificielle pour ces jolis annélides frisés, qui nous empêche de voler dans le ciel avec nos propres ailes auprès de l’humanité, ne sait pas non plus (évidemment !) qu’il voyage sur le même bateau de croisière idéologique que l’Action Française du célèbre extrémiste de Droite Bernard Lugan, qui doit-être le progressiste de « Saïd Samedi ».
Comme avec tous ces « berbéristes » qui se respectent, porteurs du code barre de Salem Chaker et du QR code de Bernard Lugan, on ne peut pas dire que l’idéologie tribaliste qu’il véhicule et qu’il essaime auprès d’une population livrée au charlatanisme politique, a une responsabilité historique dans le lynchage et l’assassinat de Djamel Bensmail. Pour rappel, ce jeune « Clément Meric » algérien a été transformé en torche vivante par des monstres issus de l’élevage des « barbares », appelés « berbères », dont l’un d’entre-eux scandait fièrement « les Arabes sont des animaux ».
Cette magnifique idéologie tribaliste de guerre contre les peuples et contre toute l’humanité, n’est-elle pas non plus responsable des incendies criminels, notamment ceux de l’été 2021, orchestrés par des mains de plus en plus visibles à l’origine de la politique scientifique de : « Qui brûle qui ? », en phase avec le traditionnel théorème du « Qui tue qui ? ». Que du bonheur au « Kamis » des barbus du vendredi, avec « Saïd Samedi » ! Pour faire la peau au peuple algérien, j’ai vu sur l’écran de fumée du « Moula à vent » de la barbe à papa, qu’il aurait pris contact avec les « bouchers » d’Alger pour chanter : « je te tiens, tu me tiens, par la barbichette », afin de rejouer le coup du laser « akbar » organisé le 5 juin 1990 à Alger ! Il y a quelque chose de « Captagon » dans leurs discussions. Remarque, il n y a qu’à voir le parcours de son pote « ancien défonseur » des droits de l’Homme en sa compagnie, le moine M’henni qui a fini classé terroriste en chef des « berbéristes » en Algérie.
C’est donc raté pour le peuple algérien qui espérait que ce psychiatre, qui n’est pas un psychopathe, trouve preneur au « Mercato » politique du bon régime des généraux de Tel-Aviv, aujourd’hui installé confortablement à l’Ouest dans son royaume du haschisch et du bakchich. Pour le Bakchich de « Saïd Samedi », comme je l’ai déjà indiqué précédemment, c’est Si El Hafid qui, dans une vidéo qui a échappé aux ciseaux démocratiques de la chaîne des « barbares » génétiquement identifiée déjà par Salluste, qui a dévoilé les rouleaux de billets verts, verts comme le haschisch, qu’il a livrés à ce facteur révolutionnaire aux couleurs « printanistes » à la banane. Sans « compter » les bobines de billets de banque fondues dans les poches de l’un des plus riches patrons algériens, « grâce au zèle interventionniste de Saïd Samedi dans les Ministères », et rapporté par l’ex-premier ministre, Belaïd Abdeslem. L’argent a une mauvaise odeur, sinon pourquoi tirerait-il à boulets royaux sur le peuple algérien, avec les papiers des services d’ablution sans secret (comme TelQuel le 3 septembre 2021) du roi Dagobert ?
Après le complot de la « fourchette » de Jacques Bénet de 1980, il ne fera pas de conférence pour éclairer les galeries du « complot scolaire » organisé en 1994, contre les enfants innocents, par l’épicerie scientifique de la « berbérologie », qui a vu sacrifier une année scolaire à une jeunesse manipulée. Il paraît que cette prise d’otages scolaires de l’enfance a été organisée le 29/08/1994, dans une brasserie, en bas de l’hôtel Saint Georges, avec son pote Ferhat Mendel le Moine (F2M), le « Ben Laden » en chef du FMI en Algérie. Ce n’est pas moi qui le dis, c’est rapporté dans l’un des canards voilés de la « berbérologie », mis en place par Khaled Belkouche, ancien expert de l’information chez les « MAKaks » et un des membres de cette nébuleuse qui observe beaucoup l’Algérie (ObservAlgérie). Khaled Belkouche, roi de l’information en reptation berbériste, baigne dans le milieu de « la fourchette de Jacques Bénet »; il ne peut pas se « trumper », non ?
Ce qui pourrait être intéressant avec une telle conférence, qu’on peut intituler par avance :« le complot scolaire des berbéristes», orchestré depuis une brasserie parisienne, c’est de voir et surtout d’entendre le moine « Ben Laden» de la trilogie (FMI) dérouler les autres détails au souhait de Saïd Samedi. Peut-être qu’il ne veut pas parler de Tanina, la progéniture de « Saïd Samedi», qui, à l’époque était sans doute épargnée par cette prise d’otages scolaires dont ont été victimes les enfants du peuple, puisqu’elle aurait été scolarisée au collège Gabriel Guist’hau à Nantes.
Tanina, l’héritière de « Saïd Samedi » est la porte d’entrée des affaires familiales, puisqu’elle détiendrait le quart des parts de la Société Civile (et pas militaire) Immobilière (SCI) familiale dénommée MENISU (Numéro de SIREN 497 997 387), à côté de la fratrie et de l’épouse de « Saïd Samedi », créée en 2007 et domiciliée au Boulevard Michelet à Marseille ( lieu de résidence du FIS nouveau gérant de la société) pour ensuite migrer à la rue Blanche (Marseille) selon les statuts du 13/12/2012. La dite société familiale aurait pour objet (art.2) l’acquisition, de construction, d’apport ou autre, de tous biens immobiliers ou de toutes parts de société ! Et plus spécialement l’acquisition de lots d’un ensemble immobilier (numéros 1.011 et 1.049) en copropriété à Issy Les Moulineaux (92130). C’est pour héberger les SDF (Sans Domicile Fixe) de la politique acheminés par « Saïd Samedi », dans les cavités sombres de l’histoire de René Basset ?
Personnellement je ne suis pas l’inspecteur Colombo, mais au vu des documents publics de cette société, il n’est pas possible d’échapper à tous ces questionnements qui surgissent des « fonds » des mines d’or de l’idéologie ethnique pratiquée par ce génie du berbérisme. Il n’est pas possible non plus de répondre à la nature des « fonds », qui ne sont pas ceux des casseroles, comme ceux déposés le 8 janvier 2007 à la société Marseillaise de Paris (24 rue du 4 septembre -75002 Paris). Ceci dit, je lis que la famille associative est composée de :
- La dulcinée de « Said Samedi », sans profession, résidente dans un Hôtel « brillant » à Levallois Perret (92300);
- La progéniture printanière (Tafsut-printemps), fille de « Sadi Samedi », âgée de 21 ans, étudiante en Algérie qui réside dans une ville des quartiers populaires (El Biar), et n’a pas le statut de « résidente » au sens de la réglementation fiscale;
- Le plus jeune (Ameziane- Sghir), qui est en réalité le plus grand de la fratrie, puisqu’il était âgé de 29 ans à la mise en route de cette société familiale, est résident à Marseille (Boulevard Michelet et non celui des allongés) ;
- Et enfin la meilleure, Tanina, qui demeure à Genève (Suisse), je suppose depuis son mariage le 10 septembre 2004, et qui présente un passeport délivré par la Daïra (Sous-préfecture) d’Azzefoun le 14 septembre 2005. Si elle résidait à Genève en 2004, pourquoi produirait-elle un passeport délivré à Azzefoun en 2005?
A-t-on le droit de s’interroger sur l’origine du flouze de cette société détenue par la famille (une maman sans profession habitant un hôtel « brillant », une étudiante à Alger, une jeune descendante de Nantes qui monte à Genève, et le plus grand le jeune Ameziane (Sghir) de « Said Samedi », lui-même réfugié (politique ?) à Marseille ?
C’est vrai que « Saïd Samedi » n’apparaît pas comme associé dans cette entreprise qui ne connaît pas la crise Toutefois il n’a pas d’inquiétude à se faire puisque l’article 14-2 des statuts de la société donne la liberté de cessibilité entre les associés, mais aussi entre ascendants et descendants, ainsi qu’au bénéfice du conjoint d’un associé. La génétique des affaires familiales est sauvegardée, et il n y a pas de risque qu’on lui glisse une banane politique dans son foyer.
Et ce n’est pas fini, puisque si l’on retrouve Tanina à Kandergrund (ville Suisse), domiciliée à Echenevex (dans l’Aine) dans la Genevoise Compagnie Immobilière SA, dont le siège est situé dans la ville Suisse « Le Grand-Saconnex », le jeune Ameziane (Sghir) l’aîné, « Said Samedi » junior tisse une jolie toile d’ADN MED, organe médiatique de son entreprise de la génétique des populations qui ne doit pas rapporter gros. Et une nouvelle adresse (paris 12ème), encore une, pour fabriquer toujours des cavités et des galeries souterraines d’emprisonnement de citoyens piégés dans la toile de la « berbérologie ». Le FIS poursuit le travail du Père à l’esprit tout à fait saint (la génétique est bien respectée), puisqu’il publie la carte coloniale, accompagnant un appel à coloniser la moitié de l’Afrique avec la «fourchette de Jacques Bénet ». Je ne sais pas pourquoi le titre « ADN » de son organe berbériste sous « presse » me rappelle le QR-code Halogroupe E1b1b (Y-ADN) du Führer, comme décrit par Jean-Paul Mulders et Marc Vermeeren. Est-ce dans ce sens qu’il promet les pires catastrophes pour le pays, avec ses nuages qui se terminent toujours par des orages ? Surtout que lorsque l’on parcourt sa tribune de l’ADN, on devine facilement qu’elle est chauffée par le royaume du hachich et du bakchich. Précisons tout de même que cet ADN de « Saïd Samedi Junior » est facilement accessible dans la « grande dictature algérienne », ce qui démontre que sa toile est toujours active dans l’Algérie Nouvelle qu’il veut abattre, au moment où un canard patriotique anticolonial et défenseur des droits des peuples est censuré. Le toilettage n’est pas fini.
L’autre boîte de Pandore qu’il préside est la société « EDITIONS ALTAVA », cette fois-ci dans le 8ème Arrondissement de Paris, qu’il dirige avec Amar INGRACHEN (lui aussi un journaliste indépendant !), un autre acteur majeur de la lapidation par la culture du peuple algérien. Avec son site d’arts martiaux de la culture des reptiles dans la ville de Boumerdès, Amar INGRACHEN détient le 7 ème dan en sport politique du « ver est dans le fruit ». C’est un membre de la toile de « Saïd Samedi », qui accompagne la maison d’édition du FIS junior (Ameziane) qui a édité le tract de « la haine du peuple algérien » rédigé par le Saint père « Said Samedi » et vendu officiellement sur le manteau 30 € pièce.
Tu comprends maintenant pourquoi Ameziane (Sghir), qui n’est autre que « Saïd Samedi junior » est allé (en mars 2019) plaider sur « Fronce un faux » pour son système, au nom du parti pris –RCD- du père (Rouge Chema Doukhane) ?
Selon un légume d’avocat qui portait fièrement la banane coloniale durant la phase de sa déambulation révolutionnaire en 2019, membre créateur de cette organisation des guets-apens politiques, son parti pris (Rassemblement Contre la Démocratie) brassait des bobines de billets de banque dont l’origine est restée inconnue. Ils moissonnent « le blé » dans les champs noirs de l’histoire, ajouté au fait que le « pathétique » successeur de « Saïd Samedi » à la tête de ce serpent social vénéneux, ne nous dira sans doute jamais l’origine de l’édifice de son parti, à l’angle de la rue Mohamed Chaabane et du chemin Youcef Taïbi, arraché à l’enfance algérienne, puisqu’ils ont du cœur, pour organiser la lapidation du peuple.
Voilà à quoi sert la forchetta « fourchette de Jacques Bénet », avec laquelle « Saïd Samedi » et son ADN-MED assignent à résidence ethnique les peuples, pour domestiquer des lombrics frisés dans les cavités souterraines, et parallèlement subtiliser le « cachir –saucisson algérien» qu’il n’a pas l’intention de rendre. Doit-on lui rappeler, comme l’avait révélé Ahmed Bensaada à propos des « Khbardia », qu’il a battu le record de citations dans les câbles Wikileaks en partance d’Alger vers l’oncle Sam : au moins 19 fois entre 2007 et 2009 ! Dans celui portant la référence 07ALGIERS1806_a et rédigé le 19 décembre 2007 le nom de Said Sadi est mentionné pas moins de 27 fois ! Et il ne racontait pas que des histoires de fourchettes au service des Yankees, puisque cet éternel opposant au peuple, puisque dans ce câble classé « sucré » et même « très sucré », le document mentionne : « Sadi, qui entretient des contacts avec des éléments des services militaires et de sécurité algériens, nous a dit que l’armée n’était plus aussi unifiée qu’il y a encore quelques années. Deux scissions émergeaient, a-t-il dit. La première concerne les jeunes officiers qui savent que l’Algérie ne va pas bien et accusent la vieille garde de négligence et de mauvaise gestion. Ces officiers, a déclaré Sadi, veulent du changement et ressentent un sentiment d’urgence croissant que le pays est à la dérive. La deuxième fracture identifiée par Sadi se situe au sein des hauts gradés de l’armée, entre les officiers qui privilégient une approche plus dure de la sécurité et du contre-terrorisme (les « éradicateurs ») et ceux qui sont toujours alignés sur la politique de réconciliation nationale de Bouteflika. ».
Au point où nous en sommes, avec leur théorème d’inversion des valeurs et des rôles, les colons vont finir par classé Julian Assange à la place du « khbardji » « Saïd Samedi », et ce dernier, y compris en reptation politique, comme un résistant à l’ordre établi aussi par l’ancien ambassadeur du système Xavier « Le Drian court toujours derrière l’Algérie ».
Sans clore un autre chapitre, puisque le temps m’est « conté », je voudrais abonder dans le même sens que le pandémique du système « Daoud 19 », en déclarant que l’Algérie n’est pas démocratique, comme la « Fronce » qui défonce, et elle ne le sera que lorsqu’elle consacrera 413 milliards d’euros à son armée de défense, contrairement à celle de l’attaque.