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December 6, 2025

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Maroc: la révolte des enseignants

L’adoption u nouveau statut unifié, fait exploser le monde de l’éducation au Maroc et envoie les syndicats du secteur à la rue pour manifester leur colère contre le gouvernement marocain dirigé par Aziz Akhannouch.
Ainsi, une grève générale dans le secteur de l’enseignement est observée depuis mardi 24 octobre et pour trois jours au pays du commandeur des croyants, paralysant l’activité, sachant qu’un nombre important d’enseignants est sans salaires depuis des mois, en plus des conditions de travail et des conditions sociales qui sont plus que catastrophiques. Par ailleurs, il faut noter que des voix parmi les enseignants grévistes dénoncent la normalisation avec l’entité sioniste qui mène aujourd’hui une guerre d’extermination et de nettoyage ethnique à l’égard du peuple palestinien et appellent à la fin de cette monarchie féodale du Moyen-âge.

 Les 24, 25 et 26 octobre, sous l’égide de la  “Fédération Nationale de l’Éducation” – rassemblant le syndicat FNE et 16 coordinations majeures – écoles et institutions vibreront au rythme des sit-ins et rassemblements.Le programme de ces journées de grève comprend un sit-in dans les établissements mardi et mercredi, suivi de rassemblements devant les directions régionales le jeudi.

Selon la Fédération Nationale de l’Éducation FNE, la grogne des enseignants se prolongera tout au long de la semaine, marquée par un retrait des conseils d’éducation et le port de badges noirs. Une campagne médiatique est aussi programmée du 30 octobre au 4 novembre.

Les syndicats anticipent une nouvelle grève les 7 et 8 novembre, qui culminera par une marche en direction du Ministère de l’Éducation Nationale à Rabat le 7 novembre.Le personnel de soutien va également  réduire son temps de travail et  boycottera les tâches supplémentaires.

Les Imams marocains interdits de parler de la Palestine

Au moment ou le Peuple palestinien se fait massacrer par la machine de guerre de l’entité sioniste, le commandeur des croyants et président du comité mortifère d’Al Qods, Mohamed VI a ordonné via une instruction adressée au ministère marocain du Wakf et des affaires islamiques, aux imams d’éviter d’évoquer la Palestine lors de la prière de Vendredi, en vue de préserver selon les instructions de sa “majesté” la stabilité et la sécurité du pays, en vue d’éviter” d’éventuels dérapages” liés au soutien aux palestiniens.

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