Les engagements pris par le président de la république en matière de consécration d’une communication professionnelle, répondant aux avancées technologiques que connaît le monde, à une éthique et morale, se référant aux valeurs algériennes, adaptée aux enjeux géostratégiques et au service de la Nation, se précisent au fil des jours.
Quelques jours après sa réélection et le renouvèlement de la confiance populaire, le président Tebboune vient de signer le décret présidentiel fixant la composition du Conseil supérieur de l’éthique et de la déontologie de la profession de journaliste, son organisation et son fonctionnement, vient d’être publié dans le dernier Journal officiel, un nouveau jalon en matière de consécration de l’engagement de hisser le secteur de la communication au stade et rang qui lui sied.
Sur ce plan, il est important de souligner que la promulgation de ce nouveau décret présidentiel est devenue indispensable pour mettre fin aux dérives récurrentes ayant marqué l’exercice de la profession ces derniers temps, ou on a enregistré des violations flagrantes de l’éthique professionnelle.
Par ailleurs, il faut noter que la prochaine promulgation du statut du journaliste professionnel, du texte réglementaire des conditions et modalités de l’octroi de l’agrément des journalistes correspondants des médias étrangers, la désignation des autorités de régulation de la presse écrite, presse électronique et de l’audiovisuel, permettra de booster cette dynamique initiée par le président Tebboune depuis son arrivée au pouvoir en décembre 2019, dans la direction de se doter d’une communication responsable et professionnelle pour affronter les défis et enjeux géostratégiques.
Il est clair, aujourd’hui, que cette dynamique va dans le sens opposé au diktat imposé par ceux qui tentent depuis plus de deux décennies de démocratiser l’incompétence et la culture de la presse sulfure au profit d’une poignée d’individus qui tente bien que mal d’anéantir toute tentative de libérer le secteur de la communication de cette « fatalité ».
Sur ce registre, il est utile de souligner l’important travail réalisé par le ministre de la Communication, Mohamed Laagab, issu du secteur et qui a réussi en si peux de temps à la tête du département à faire renaître de l’espoir chez les professionnels de l’activité, en instaurant une nouvelle dynamique basée sur le dialogue avec tous les intervenants, la formation continue pour rattraper le temps perdu, et la consolidation des lois régissant les diverses activités du secteur, suscitant de l’espoir de voir nos médias nationaux franchir de nouveaux paliers au profit des intérêts du pays, conformément aux engagements pris par le président Tebboune depuis sa campagne présidentielle de 2019.