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UNESCO: Lavrov fustige la franco-maroco-sioniste Audrey Azoulay

Le ministre russe des Affaires étrangères Serguei Lavrov a tiré à boulets rouges sur la directrice générale de l'UNESCO, la franco-maroco-sioniste Audrey Azoulay, la fille du superpuissant conseiller du commandeur des croyants du régime du Maroc, en l'accusant de complicité dans la guerre médiatique contre la Russie

Le ministre russe des Affaires étrangères Serguei Lavrov a tiré à boulets rouges sur la directrice générale de l’UNESCO, la franco-maroco-sioniste Audrey Azoulay, la fille du superpuissant conseiller du commandeur des croyants du régime du Maroc, en l’accusant de complicité dans la guerre médiatique contre la Russie

Serguei Lavrov revient sur le dernier rapport de l’instance onusienne dirigée par Audrey Azoulay et l’omission de faits sur la mort de journalistes russes . Il a critiqué également l’Occident pour son intolérance envers les opinions divergentes. La directrice générale de l’UNESCO, Audrey Azoulay, est une complice directe de la guerre de l’information contre la Russie, a déclaré le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, lors d’une table ronde d’ambassadeurs sur le règlement de la situation autour de l’Ukraine.

«Tout le monde est informé du scandale provoqué par le récent rapport du secrétariat de l’UNESCO consacré aux journalistes qui ont péri dans leur activité professionnelle. Ce rapport ne mentionne aucun des faits bien connus concernant la mort des journalistes russes. Par conséquent, Audrey Azoulay, directrice générale de l’UNESCO, est une complice directe de la guerre médiatique non seulement contre la Russie mais aussi contre la vérité», a nuancé Sergueï Lavrov.

Le haut responsable a ajouté que le front médiatique fait partie des principales dimensions de la campagne agressive menée par l’Occident collectif contre la Russie. D’autres pays qui adoptent une ligne indépendante dans les affaires intérieures et étrangères sont également visés, selon le ministre russe.

Reprenant tous les cas en 2022-2023, le document ne recense aucune mort de journalistes russes. Cette omission a été pointée du doigt par plusieurs médias russes. Le groupe Rossiya Segodnya dont fait partie Sputnik a envoyé une lettre à la directrice générale de l’Unesco, lui demandant de cesser de taire de tels faits.

Le ministre russe des Affaires étrangères a également déclaré que le monde médiatique actuel, sous le contrôle de l’Occident, fonctionne comme «une sorte de Bible pour les esclaves». Il a mentionné que de nos jours, des agences de relations publiques anglo-saxonnes promeuvent des pratiques néocoloniales et que les Anglo-saxons contrôlent des médias de portée mondiale. Ces médias, en collaboration avec un vaste réseau de structures lobbyistes, mènent des campagnes d’information qui servent les intérêts égoïstes de leurs propriétaires.

Sergueï Lavrov a aussi souligné que les États occidentaux, malgré leur discours sur la liberté d’expression, le pluralisme et la démocratie, manifestent en réalité une intolérance totale envers tout avis différent. Comme un exemple, il a expliqué que les médias russes, notamment RT et Sputnik, qui ont prouvé leur capacité à transmettre les informations à leur public et à offrir des analyses objectives des événements, sont les cibles principales de leurs attaques. Il a rappelé qu’il y a des années, les journalistes de ces médias avaient eu des difficultés à obtenir une accréditation au Palais de l’Élysée à Paris, bien avant les événements en Ukraine, à une époque où des relations de travail étaient maintenues avec les «collègues» occidentaux. À propos de l’accréditation refusée à RT et Sputnik, le président français Emmanuel Macron avait déclaré qu’il ne les considérait pas comme des médias mais comme des instruments de propagande, ce qui, selon Sergueï Lavrov, illustre leur conception de la liberté d’expression.

Audrey Azoulay a présenté ce rapport dans le cadre de la 34e session du Conseil intergouvernemental du Programme international pour le développement de la communication, mais il n’a pas été approuvé.

La Russie n’était pas la seule à contester le document. Le Liban, les Philippines, l’Indonésie, la Colombie et la Palestine ont également fait part de leurs revendications. Plusieurs autres pays ont insisté sur la nécessité de réviser le rapport en tenant compte des informations officielles.

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