Le défilé de la propagande néocoloniale hostile à l’Algérie menés par les officines au service du sionisme et des fascistes et nostalgiques de l’Algérie française, se poursuit. Parmi les fers de lance de cette campagne qui s’inscrit dans la durée n’est autre que l’ancien ambassadeur de France à Alger, et agent diplomatique de la DGSE, Xavier Driencourt.
Ce dernier en porte-voix de l’Etat profond français vient de défendre son poulain le néocolonisé Kamel Daoud, dans une tribune publiée par le média Le Figaro, en s’attaquant à l’Algérie et ses institutions en évoquant les restrictions en matière de l’exercice de « liberté d’expression », excellant le mensonge par omission au sujet de son livre » L’énigme Algérienne, chroniques d’une ambassade à Alger » édité en Algérie, ce qui prouve que la liberté de parole et d’expression est plus respectée et plus protégée en Algérie que chez lui, comme l’atteste l’interdiction d’un nombre important de livres opposés à la politique néocoloniale et surtout sioniste, comme l’interdiction des publications de l’auteur israélien Ilan Pappé.
Une hostilité pour détourner l’opinion publique française
Le régime français utilise aujourd’hui un fait divers intitulé » arrestation de Boualem Sansal à Alger » pour détourner l’opinion publique française sur les vrais problèmes que connaît le pays dirigé par Jupiter, et qui n’arrive pas à trouver des solutions pour faire face aux divergences au sujet du budget, la récession économique, à l’inflation , à la dette publique qui dépasse les 3000 milliards d’euros, à la colère des franges socio-professionnelles dont les prochaines grèves annoncées dans les prochains jours dans les secteurs stratégiques comme l’agriculture, les transports ferroviaire et aérien, et qui risquent de paralyser tout le pays durant les fêtes de fin d’année.
Le régime français tente via la focalisation sur un fait divers, à laver l’humiliation d’une caste devenue une poupée entre les mains de l’entité sioniste. Et pour preuve, le chef de la diplomatie française Jean-Noël Barrot, qui avait été humiliée lors de sa visite en Palestine Occupée, par deux policiers sionistes, dans l’église Eléona, (un espace de culte sous souveraineté française) vient d’annoncer que son pays accord « l’immunité » au génocidaire Benjamin Netanyahou, objet d’un mandat d’arrêt émis par la CPI, ce qui démontre sans conteste, que la France est devenue une colonie sioniste, se permettant de violer le droit international, pour satisfaire une caste aux commandes de ce régime colonial.
Silence radio autour de la « mort suspecte » de la journaliste engagée Marine Vlahovic
Silence radio pour ce qui est de la mort suspecte de la journaliste Marine Vlahovic, connue pour être une engagée ayant été correspondante de plusieurs radios francophones, et en particulier RFI et Radio France, à Ramallah, en Cisjordanie occupée, de 2016 à 2019.
Revenant en France où elle s’était installée à Marseille, elle poursuit les évènements touchant la région proche- orientale. Dès l’entame de l’agression sioniste de la bande de Gaza, elle tente de s’y rendre, mais sans succès. Elle était restée bloquée au Caire.
Elle n’avait pas cessé, ces derniers mois, de relayer les voix de ses confrères journalistes gazaouis, tout en essayant de leur envoyer des colis de produits de première nécessité. Après 15 ans de métier, elle était dégoûtée par le traitement médiatique de la guerre à Gaza par les médias français. Sa mort est un énigme au même titre que celle de la disparition d’Helric Fredou, ce directeur adjoint du service régional de la police judiciaire, chargé d’enquêter sur la fusillade survenue au siège de Charlie Hebdo (2015), qui a été découvert mort dans son bureau. Lire: Le sprinter brun «Xavier Le Drian Court» toujours derrière l’Algérie.
La Nouvelle Algérie, et panique néocoloniale
Il est clair, que la France qui a été chassée du Mali, Niger et Burkina Faso et bientôt du Sénégal et Tchad, n’a que sa colonie makhzenienne pour se redéployer dans le Maghreb. Et pour se redéployer, elle doit satisfaire le régime fantoche des alaouites, en s’alignant sur sa position néocoloniale d’occupation des territoires du Sahara Occidental. Face à sa baisse de popularité chez les siens, Jupiter céda aux pressions de l’extrême droite française et de l’Etat profond français, annonçant par voie de conséquence sa rupture avec l’Algérie, qui ne tarda pas à rappeler son ambassadeur au moment où Paris continue de maintenir son ambassadeur à Alger.
Pour rappel, Emmanuel Macron avait fait depuis son arrivée au pouvoir en France l’objectif de faire tomber l’Algérie, une priorité absolue, imitant ses prédécesseurs Nicolas Sarkozy acteur- clé de la chute de la Libye, et François Hollande, acteur- pivot dans la déstabilisation de la région du Sahel et de l’agression contre la Syrie. Emmanuel Macron avait rêvé de faire plier l’Algérie, mais en vain, le peuple algérien et ses institutions sont une muraille infranchissable. Et la campagne d’hostilié menée via les harkis Kamel Daoud ou Boualem Sansal, dont les sales besognes étaient de salir l’image de la glorieuse révolution du premier novembre 1954, et des institutions de l’Etat national Algérien, s’inscrit dans cette nouvelle guerre d’Algérie. La réélection du président de la république Abdelmadjid Tebboune , le retour de l’Algérie sur la scène international, comme Etat-pivot dans le soutien aux causes justes dont celles des peuples palestinien et sahraoui, les grands chantiers lancés pour mettre l’Algérie sur les rails du développement durable ainsi que la détermination des hauts dirigeants algériens à préserver la souveraineté nationale et l’unité du peuple, sont autant d’indices qui font paniquer l’ancienne puissance coloniale, qui perd depuis le 12 décembre 2019 sa grande marge de manoeuvre en Algérie, et qui fait pleurnicher quotidiennement le fasciste diplomate Xavier Driencourt, qui court toujours derrière l’Algérie