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December 13, 2025

A la une, Algérie, Contribution

TRIBUNE

La France poursuit sa politique néocoloniale de diabolisation de l’Algérie

Après avoir essuyé un cinglant échec, en matière de déstabilisation de l'Algérie via un complot orchestré par la DGSE, et déjoué par les services de renseignements algériens, la France, soutenue par des entités hostiles comme celles des régimes du Makhzen et des généraux génocidaires de Tel Aviv, poursuit stratégie de diabolisation de l'Algérie, en colportant des scénarios ubuesques en vue de détourner les français de leurs réels problèmes, vers des faux fuyants, comme le traditionnel faux argument de l'immigration. Explications

Après avoir essuyé un cinglant échec, en matière de déstabilisation de l’Algérie via un complot orchestré par la DGSE, et déjoué par les services de renseignements algériens, la France, soutenue par des entités hostiles comme celles des régimes du Makhzen et des généraux génocidaires de Tel Aviv, poursuit stratégie de diabolisation de l’Algérie, en colportant des scénarios ubuesques en vue de détourner les français de leurs réels problèmes, vers des faux fuyants, comme le traditionnel faux argument de l’immigration. Explications

L’interpellation d’influenceurs, comme instruments de propagande hostiles à l’Algérie

La nomination du duo Retailleau-Darmanin aux portefeuilles de l’Intérieur et de la Justice dans un gouvernement illégitime dirigé par François Bayrou, en violation du verdict des urnes , et de la volonté populaire des français, est un signe avant-coureur des intentions de l’Etat profond français au sujet du devenir des relations algéro-françaises.

Moins de six mois après que Jupiter qui gouverne son pays avec la règle “démocratique” de 49.3 dont le pays est membre permanent du Conseil de Sécurité, le locataire du Palais de l’Elysée s’enlise dans la trahison à ses engagements pris avec les autorités algériennes, à l’occasion de son voyage à Alger en août 2023, ou à ses multiples entretiens avec le président de la république Abdelmadjid Tebboune, en optant une reconnaissance de la colonisation des territoires du Sahara Occidental, en violation du droit international, synonyme d’une rupture avec Alger, dont les dirigeants sont fermes lorsqu’il s’agit de défendre les causes justes et les principes du droit international.

Pour contrecarrer la fermeté des algériens exprimée à maintes reprises, par des opérations spectaculaires ayant déjoué le complot de déstabilisation des services de renseignements français destiné à provoquer des troubles à l’ordre public en Algérie, et qui s’ajouteà cette campagne hostile et de dénigrement menée contre l’Algérie, son peuple, ses institutions et son histoire millénaire de Nation, via des écrivains harkis et vendus à la cause néocoloniale.

Les échecs successifs de L’Etat profond français n’ont pas découragé ses officines qui reviennent à la charge via les interpellations de deux influenceurs en 24 heures, à savoir Zazou Youssef interpellé vendredi à Brest et ensuite le dénommé Imadtintin à Grenoble, accusés d’apologie à la violence.

Un scénario qui nous rappelle celui des années 90 où les services français avaient tenté bien que mal de diaboliser l’Algérie et ses institutions, via des prétendus attentats terroristes perpétrés dans les années 90 en France par la nébuleuse terroriste qui jouissait de grandes facilités de circulation, d’hébergement, de financement et de surmédiatisation par les médias Mainstream de l’Hexagone pour dénigrer le pays des martyrs qui refusait de se plier au diktat néocolonial et obscurantiste, grâce à l’unité avérée de son peuple avec son armée nationale populaire ANP digne héritière de l’ALN et qui réussira à vaincre le terrorisme.
La création de ce qu’a été appelé “Qui tue Qui?” s’inscrivait dans cette stratégie de diabolisation de l’Algérie et qui se poursuit jusqu’à ce jour. Durant cette période, la France avait imposé un blocus et embargo non déclarés sur l’Algérie, et elle n’a pas tardé dans la foulée du diktat de François Mitterrand (celui qui avait soutenu le parti dissous et qui n’a pas oublié le revers de maintenir l’Algérie sous le joug de la France coloniale) à Hassan II, à être rejointe par le régime du Makhzen qui accusa injustement l’Algérie d’être à l’origine de l’attentat terroriste de Marrakech en août 1994, et d’imposer le visa aux ressortissants algériens. Une décision qui engendra du côté algérien, la fermeture des frontières terrestres.

Aujourd’hui, la France tente via ses propagandistes de “caricaturer” l’Algérie comme un pays paria, ( soutenant le terrorisme) en diffusant des Fakenews, comme celles colportées par le régime du Makhzen et celui des génocidaires de l’entité sioniste en prétendant que les dignitaires de l’armée arabe syrienne se trouvent en Algérie. Sur ce registre, il est important de souligner que l’Algérie a vaincu seule le terrorisme, grâce à l’unité de son peuple avec son ANP. L’Algérie est devenue par conséquent un Etat-pivot de lutte contre le terrorisme transfrontalier, au Moment où la France le soutenait au Sahel, en Libye et en Syrie, et ce n’est pas son ancien chef de la diplomatie Laurent Fabius qui va le démentir.

L’objectif visé est d’induire la communauté internationale en erreur, en la faisant croire faussement que l’Algérie “soutient” le terrorisme.
Cela survient à un moment ou le représentant de l’Algérie à l’ONU, Amar Bendjama qui président le Conseil de Sécurité de l’organisation onusienne pour le mois de janvier appelle à la tenue d’une réunion pour profiter de l’expérience algérienne en matière de lutte contre le terrorisme transfrontalier .
Aujourd’hui, il est impératif de condamner l’amalgame que le régime du Makhzen tente à faire passer, en mettant sur le même pied d’égalité les mouvements de libération aux organisations terroristes.
Le Front Polisario est un mouvement de libération et unique et légitime représentant du peuple sahraoui , reconnu par des dizaines de pays et organisations internationales et il siège via la RASD en tant qu’Etat fondateur de l’Union Africaine.

Pour sa part, le pouvoir illégitime à Bamako, qui avait renoncé aux accords d’Alger il y a une année, ((l’Algérie étant mandatée par la communauté internationale pour rapprocher les différentes parties maliennes autour d’un consensus national permettant au Mali voisin de préserver son intégrité territoriale et l’unité de son peuple) rejoint le valet néocolonial makhzenien en s’attaquant à Alger, via un communiqué qui en dit long sur l’isolement des putschistes, refusant le retour à l’ordre constitutionnel, et qui coincide avec la présidence de l’Algérie du Conseil de Sécurité de l’ONU.

L’entité sioniste fait également partie du triumvirat (France-Maroc-Israel) FMI, et ne chôme pas lorsqu’il s’agit de l’Algérie, qui demeure ferme pour défendre la cause palestinienne et le droit du peuple palestinien à l’édification d’un Etat souverain, avec El Qods comme capitale.

Sans surenchère, l’Algérie qui avait abrité la proclamation de l’Etat de la Palestine le 15 novembre 1988, n’accorde guère de crédit aux pressions et calculs mercantiles lorsqu’il s’agit de défendre la cause sacrée du peuple palestinien, conformément aux principes fondamentaux de la glorieuse révolution du premier novembre.

Et aujourd’hui, à l’occasion de son adhésion en sa qualité de membre non-permanen du CS de l’ONU, l’Algérie poursuivra son combat de défense du peuple palestinien, jusqu’au jour ou il recouvrera son droit à l’édificaion de son Etat, non déplaise aux colonisateurs sionistes, ou leurs alliés néocoloniaux français et occupants makhzeniens des territoires sahraouis.

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