A l’occasion de son intervention ce jeudi 5 octobre, lors de la session plénière du Club Valdaï, le président russe Vladimir Poutine a estimé que l’adhésion de l’Algérie aux BRICS+ sera bénéfique pour le groupe mais cette question doit être réfléchie « dans le calme » et « en créant des voies supplémentaires pour un développement mutuel »
Et de poursuivre « la question sur une éventuelle adhésion de l’Algérie aux BRICS, doit être travaillée calmement par le gouvernement algérien et tous les pays membres du groupe (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud et six nouveaux membres qui les rejoindront en 2024).
« L’Algérie est notre amie, bien sûr, une amie traditionnelle dans le monde arabe, en Afrique du Nord. Nous pensons que cela profiterait à l’organisation, mais nous devons certainement travailler ces questions avec tous nos amis au sein des BRICS, en contact avec les dirigeants algériens. » insiste le président russe .
Par ailleurs, il faut noter, que de nombreux observateurs n’avaient pas exclu que l’Algérie et l’Indonésie seraient les futurs membres de cette organisation, rappelant que le président algérien Abdelmadjid Tebboune avait souligné à l’occasion de sa rencontre avec des représentants de la presse nationale que ce dossier est clos.
Dans le même cadre, il est important de souligner, que les accords signés par l’Algérie avec ses partenaires et alliés comme la Russie et la Chine à l’occasion de la visite du président Tebboune à ses pays sont plus importants que l’adhésion aux BRICS, dans la conjoncture actuelle pour des raisons liées en premier lieu à une réforme structurelle de notre économie qui doit se débarrasser de sa bureaucratie, de se mettre à niveau en matière de numérisation, fluidité de l’information économique, et de réformes bancaires, fiscales et parafiscales et surtout instaurer une stabilité en matière de législation économique pour capter davantage d’investissements et d’opportunités de partenariat, pour répondre positivement et au mieux aux potentialités humaines et matérielles que recèle l’Algérie.
Dans le même cadre, il est important de souligner, que les accords signés par l’Algérie avec ses partenaires et alliés comme la Russie et la Chine à l’occasion de la visite du président Tebboune à ses pays sont plus importants que l’adhésion aux BRICS, dans la conjoncture actuelle pour des raisons liées en premier lieu à une réforme structurelle de notre économie qui doit se débarrasser de sa bureaucratie, de se mettre à niveau en matière de numérisation, fluidité de l’information économique, et de réformes bancaires, fiscales et parafiscales et surtout instaurer une stabilité en matière de législation économique pour capter davantage d’investissements et d’opportunités de partenariat, pour répondre positivement et au mieux aux potentialités humaines et matérielles que recèle l’Algérie.
