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Adlène Meddi nous mène en bateau avec A. Yagoubi

Parmi les rafales d'excréments produites "sous presse" dans les laboratoires coloniaux parisiens, qui ne dépassent jamais les lignes de front d'égouts saturées de leurs déjections puantes qui les éclaboussent, puisqu'ils crachent en l'air pour tout recevoir sur la figure, il nous arrive d'en coincer quelques-unes, toutes chaudes au moyen de notre éventail anti-mouches et aussi du puissant désodorisant de la glorieuse révolution algérienne. 

Par: Abdelkader. H

Parmi les rafales d’excréments produites « sous presse » dans les laboratoires coloniaux parisiens, qui ne dépassent jamais les lignes de front d’égouts saturées de leurs déjections puantes qui les éclaboussent, puisqu’ils crachent en l’air pour tout recevoir sur la figure, il nous arrive d’en coincer quelques-unes, toutes chaudes au moyen de notre éventail anti-mouches et aussi du puissant désodorisant de la glorieuse révolution algérienne. 

Cette fois-ci, et ce n’est pas une découverte, c’est Adlène Meddi, l’émissaire indigène de l’Élysée, survivant sous protectorat du « Point » levé d’Otpor du milliardaire François  Pinault, qui a chaviré du « boat people » de Bernard Emié, ancien ambassadeur colonial et ancien patron des services connus pour les coups bas des « Irlandais de Vincennes » et du « Rainbow Warrior ». 

Qui a dit qu’Adlène Meddi, celui qui se prend en photo avec un sourire débordant (on laisse la description de ce bel étalage à leur pote « Davidd 19 ») avec Bernard Emié (ancien, mais toujours patron de la DGSE) est un agent de la cinquième colonne au service des colons ? Adlène Meddi est juste un journaliste de la société militaire civile, qui fait le bonheur du papier le plus titré en fake-news, depuis l’époque de Nicolas Seydoux à nos jours. 

Si la ligne éditoriale de ce papier de toilette d’Etienne Gernelle, où émarge aussi son co-légionnaire Kamel « David » est connue pour son racisme et son « islamophobie » dégoulinante depuis les années 2010, l’histoire de ce canard boiteux a été jalonné par des manquements à la déontologie journalistique à la BHL, l’un de ses contributeurs : 

* Une enquête du site Mediapart publiée en juillet 2022 pointe les « très nombreuses informations erronées » publiées par Le Point « et presque jamais modifiées », accusant l’hebdomadaire de  « tordre la déontologie, en censurant également des articles ». Le 13 juin 2023, le Conseil de déontologie journalistique et de médiation émet une sévère critique à l’égard d’un article datant d’avril 2023 vilipendant l’action du collectif écologique « Les Soulèvements de la Terre » qui s’opposent à la privatisation de l’eau (un bien commun).

*Le journal Libération juge en décembre 2022 que « Le Point a un passif important en matière d’articles erronés, entre l’annonce exclusive d’une candidature de Jean-Marie Le Pen à la présidentielle de 2017 ou, en 2010, le témoignage d’une « femme de polygame » qui n’avait jamais existé », erreurs qui s’ajoutent à l’affaire de fausses accusations contre Raquel Garrido et Alexis Corbière en juin 2022. 

*Dans son numéro du 22 février 2024, Le Point ayant accusé le journal Le Monde diplomatique (dirigé par le félon Akram Belkaid) d’être sous l’influence des services de renseignement russes; de manière récurrente, Le Point s’est livré à des actes de diffamation, souvent par le biais de son chroniqueur Bernard-Henri Lévy. 

*Fausses vidéo à la mairie d’Asnières, affaire « Bygmation » avec le FOG ( Franz-Olivier Giesbert) chien de garde de l’ordre néolibéral fasciste, multi-condamné pour diffamation, supporter des terroristes du MAK et de l’OAS, qui avait comparé le syndicat CGT à Daesh (de Lafarge). 

* Connivence avec l’agence de renseignement « Alp Services » basée en Suisse, qui travaille pour compte des Emirats Arabes Unis, avec Ian Hamel, son salarié-espion à Genève. 

Ajoutons que Adlène Meddi, ce marin d’eau douce, qui navigue avec la crème des nostalgiques de l’Agérie-française (K. » David », Nicolas Baverez, Jean-Paul Enthoven, BHL, Patrick Besson , pour qui l’Algérie appartient à Georges-Marc Benamou, …etc) n’a rien trouvé de mieux dans sa diatribe marine contre le peuple algérien que d’avancer comme caution le site « complotiste » du « Barbouze » Ihsen El Kadi financé par le Quay d’Orsay (projet EBTICAR-MEDIA de CFI: Canal France International) et le député de la communauté algérienne à l’étranger, Abdelouahab Yagoubi, qui aurait dénoncé « l’incapacité totale du gouvernement à concrétiser les réformes d’ouverture du secteur du transport aérien et maritime au privé annoncées en août 2021 [qui] est à l’origine de la persistance du chaos des entreprises publiques du secteur du transport. Une enquête parlementaire s’impose ».

A. Yagoubi, représentant du peuple qu’il veut dépouiller au profit de la bourgeoisie mondialisée qui veut mettre main basse sur les richesses du pays, au bilan d’une mandature introuvable, n’est autre que cet « élu » de 35 ans de la socialiste Martine Aubry qui s’est opposée à la campagne BDS (boycott Israël) en 2010, tout en appelant au boycott de l’année du Mexique en 2011 (affaire Florence Cassez). 

A.Yaghoubi n’est autre que ce député qui avait appelé à la réouverture des lignes aériennes avec le royaume d’Israël en 2022, fermées suite aux attaques royales du Makhzen où sont installés les généraux du régime génocidaires de Tel Aviv. Ce député frisé avait organisé une séance ésotérique de la politique, à Dreux le 20 octobre 2023, qu’il avait intitulé « Nouvelle Algérie, quelle perspective ? », avant d’accompagner un autre socialiste, le menaçant Rachid « T mal », poulain d’Alain Richard, ancien ministre de la Défense, mais surtout de l’attaque française.   

Au final, on ne se demande même pas les raisons qui font qu’Adlène Meddi ne disserte pas sur les galères, les assassinats, les prises d’otages et la piraterie du régime génocidaire des généraux de Tel-Aviv, dont ont été victimes les  bateaux et les militants des « flottilles de la liberté » depuis 2008, qui n’ont toujours pas réussi à briser le blocus du camp de concentration de Gaza. 

Adlène Meddi nous mène en bateau, dans les interminables galères « indigènes » du transport maritime néo-colonial, puisqu’il ne nous dévoilera pas les  dessous de Mélanie Matarese d’El Wotan (rédactrice en chef le Week-End), avec laquelle il a partagé « le  voyage au bout d’Alger » du « DESK » du Makhzen, financé par  l’Agence française de développement médias. Ils ne coulent plus de jours tranquilles à Alger (Riveneuve, 2016) depuis qu’ils ont rejoint la première colonie israélienne d’Europe ?

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