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Après Saigon, les américains défaits à Kaboul

«Ce n’est pas Saigon», indique ce dimanche, Anthony Blinken, chef de la diplomatie, pour répondre à la question d’un journaliste de la chaîne américaine CNN, au sujet du retrait militaire américain de l’Afghanistan, vingt ans après son intervention militaire suite aux attentats terroristes du 11 septembre.

«Ce n’est pas Saigon», indique ce dimanche, Anthony Blinken, chef de la diplomatie, pour répondre à la question d’un journaliste de la chaîne américaine CNN, au sujet du retrait militaire américain de l’Afghanistan, vingt ans après son intervention militaire suite aux attentats terroristes du 11 septembre.

«Nous sommes allés en Afghanistan il y a 20 ans avec une mission et cette mission était de régler le compte de ceux qui nous ont attaqués le 11 Septembre. Nous avons accompli cette mission», a-t-il tenté de convaincre. Pour beaucoup d’observateurs, les USA ont perdu la guerre et ont lâché leurs alliés, comme l’indique les images diffusées à partir de l’aéroport de Kaboul, sur des citoyens afghans désireux de quitter leur pays, pour fuir les Taliban et leurs éventuelles représailles. Sur ce plan, des médias rapportent que Les Marines américaines ont tué plusieurs citoyens afghans voulant prendre des avions destinés à l’évacuation de ressortissants américains, en activité dans la capitale afghane.

Ce retrait américain de l’Afghanistan n’a pas été digéré par les médias sionistes qui ont accusé l’administration Biden de lâcher ses alliés, au profit des Taliban.

Le retrait américain, est-ce une stratégie de diversion ?

Certains observateurs plaident pour une stratégie américaine basée sur la diversion et le redéploiement des forces acquises à la cause américano-sionistes pour contrecarrer l’avancée de la Chine, la Russie et l’Iran.

Pour ces observateurs, l’administration Biden tente de redéployer les groupes terroristes en activité en Irak, la Syrie, la Libye et le Sahel, non loin des frontières de ces pays limitrophes de l’Afghanistan, principale menace de l’hégémonie américaine.

A l’opposé de cette approche, des voix vont état d’un deal tenu en secret entre les taliban et la Chine permettant à cette dernière de concrétiser son projet civilisationnel appelé » la nouvelle route de la soie ».

Ainsi, le contenu du deal, la sécurisation de la route en contrepartie d’un investissement chinois durant les prochaines dix années permettant à l’Afghanistan de concrétiser des infrastructures de base, susceptibles de sortir la population de ce pays, des sequelles du sous-développement et de l’ère du moyen-âge.Pour les chinois, les américains sont restés 20ans et n’ont rien fait pour remettre l’Afghanistan sur la voie du développement..

Pour les adeptes de cette vision, c’est pire que Saigon, actuellement Ho Chi Minh, les américains ne sont plus les maîtres du monde, et l’Après-Covid sera différent, un avis partagé par le réalisateur américain, Mechael Moore, qui indiquera que les USA ont perdu la guerre en Afghanistan, après celle du Vietnam.

 

«Nous sommes allés en Afghanistan il y a 20 ans avec une mission et cette mission était de régler le compte de ceux qui nous ont attaqués le 11 Septembre. Nous avons accompli cette mission», a-t-il tenté de convaincre. Pour beaucoup d’observateurs, les USA ont perdu la guerre et ont lâché leurs alliés, comme l’indique les images diffusées à partir de l’aéroport de Kaboul, sur des citoyens afghans désireux de quitter leur pays, pour fuir les Taliban et leurs éventuelles représailles. Sur ce plan, des médias rapportent que Les Marines américaines ont tué plusieurs citoyens afghans voulant prendre des avions destinés à l’évacuation de ressortissants américains, en activité dans la capitale afghane.

Ce retrait américain de l’Afghanistan n’a pas été digéré par les médias sionistes qui ont accusé l’administration Biden de lâcher ses alliés, au profit des Taliban.

Le retrait américain, est-ce une stratégie de diversion ?

Certains observateurs plaident pour une stratégie américaine basée sur la diversion et le redéploiement des forces acquises à la cause américano-sionistes pour contrecarrer l’avancée de la Chine, la Russie et l’Iran.

Pour ces observateurs, l’administration Biden tente de redéployer les groupes terroristes en activité en Irak, la Syrie, la Libye et le Sahel, non loin des frontières de ces pays limitrophes de l’Afghanistan, principale menace de l’hégémonie améric

A l’opposé de cette approche, des voix vont état d’un deal tenu en secret entre les taliban et la Chine permettant à cette dernière de concrétiser son projet civilisationnel appelé » la nouvelle route de la soie ».

Ainsi, le contenu du deal, la sécurisation de la route en contrepartie d’un investissement chinois durant les prochaines dix années permettant à l’Afghanistan de concrétiser des infrastructures de base, susceptibles de sortir la population de ce pays, des sequelles du sous-développement et de l’ère du moyen-âge.Pour les chinois, les américains sont restés 20ans et n’ont rien fait pour remettre l’Afghanistan sur la voie du développement..

Pour les adeptes de cette vision, c’est pire que Saigon, actuellement Ho Chi Minh, les américains ne sont plus les maîtres du monde, et l’Après-Covid sera didfférent, un avis partagé par le réalisateur américain, Mechael Moore, qui indiquera que les USA ont perdu la guerre en Afghanistan, après celle du Vietnam.

 

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