Le disciple de John Mc Caine, qui s’illustrait par son soutien à l’invasion de l’Irak, le démantèlement de la Libye et la Syrie, la déstabilisation de la Chine et la Russie et son soutien indéfectible à l’entité sioniste, se révéla un sénateur aux abois en appelant le Secrétaire d’Etat Américain Anthony Blinken à brandir le fameux texte adopté en 2017, le Countering América’s adversaries trough sanctions act (loi sur la lutte contre les adversaires de l’Amérique par les sanctions). Ce n’est pas un secret de polichinelle, l’Algérie est un partenaire stratégique de la Russie et la coopération militaire avec Moscou ne date pas d’aujourd’hui, pour tenter de faire peur au Peuple Algérien déterminé de surcroit à pérenniser son indépendance et sa souveraineté. Les algériens n’oublieront jamais les sanctions non déclarées, qui leur étaient imposées durant la décennie noire, et qu’ils avaient vaincu le terrorisme et l’obscurantisme, sans le soutien de personne. Au contraire, les individus comme Marco Rubio, soutenaient la nébuleuse terroriste et la secte de « Qui Tue Qui » qui revient à la charge aujourd’hui pour tenter vainement d’épingler l’Algérie sur le dossier des droits de l’homme. Des tentatives qui n’ont aucune chance d’aboutir face à la réputation acquise par l’Algérie des martyrs.
Un coup d’épée dans l’eau dans la mesure, ou les USA considèrent l’Algérie, comme partenaire fiable, en matière de lutte contre le terrorisme internationale, et le règlement des conflits.
Aujourd’hui, le conflit ukrainien a imposé une nouvelle donnant, renforçant davantage la position de l’Algérie, un des partenaires de premier choix, sollicités pour approvisionner l’Europe, en gaz, en vue de faire face à la crise énergétique qui menace le Vieux Continent et son existence.