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Il n’y a aucun « traité d’amitié » concevable et envisageable avec ce pays-là.

Par Djeha
L’Algérie devra se contenter de la gestion des affaires courantes et du minimum exigé par le droit et les relations internationales.
L’administration diplomatique et consulaire devraient naturellement se préoccuper de la protection élémentaire de nos ressortissants en Europe et dans ce pays.
Angoissée par un étrange sentiment d’insécurité, l’Europe est en train de dresser des murs.
Elle aurait d’évidence davantage besoin de psychiatres que d’armes et de douves. C’est toutefois son problème.
L’Algérie ne devrait se faire aucune illusion. C’est dommage, mais c’est ainsi.
Elle devrait davantage tisser et consolider des liens avec l’Afrique et l’Asie ainsi qu’avec ceux  avec lequel elle partage de nombreux soucis et intérêts communs.

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