ça “sent sale” la réaction d’Emmanuel Macron, ce lundi 6 janvier 2025, lors de la conférence des ambassadeurs, qui considère l’incarcération de son imposteur comme un “déshonneur de l’Algérie”
«L’Algérie que nous aimons tant et avec laquelle nous partageons tant d’enfants et tant d’histoires entre dans une histoire qui la déshonore, à empêcher un homme gravement malade de se soigner. Ce n’est pas à la hauteur de ce qu’elle est», a-t-il dit.
Une réaction justifiant l’impasse du chef du régime français, et de son incapacité à déterminer le sens de l’honneur. Le président de la république Abdelmadjid Tebboune a clairement résumé le sens de l’honneur,le 29 décembre 2024, lors de son allocution devant les deux chambres du parlement à Alger, en qualifiant l’auteur des fascistes et nostalgiques de l’Algérie française, d’imposteur envoyé par Paris, sans identité, dont le père est un inconnu, alors que chaque algérien libre et digne est un fils des glorieux martyrs et des valeureux moudjahidine.
‘’ Je me considère comme un fils de martyr, le fils de Boubaghla, du colonel Amirouche, de Mostefa Ben Boulaid, du colonel Lotfi et de tous les martyrs de l’Algérie…Notre dignité et celle de nos aïeuls les moudjahidines et les martyrs nous ne l’abandonneront jamais et il faut la préserver’’, avait insisté et martelé le président Tebboune, pour exprimer le sens de l’honneur de l’algérien.
Emmanuel Macron devra revoir sa copie, lorsqu’il parle des causes humanitaires, il devra en premier lieu libérer Georges Ibrahim Abdallah, libérable en 1999 et qui demeure en prison sous la menace de ses maîtres sionistes.
Macron qui avait déjà insulté l’Algérie en 2021, en tentant “d’effacer” une histoire millénaire d’une nation algérienne, par des propos qui n’ont rien à envier aux déclarations de celui qui “sent sale”, n’a rien appris de l’histoire commune. Les algériens ont payé un lourd tribut via des sacrifices de génération en génération, et ils ne se laissent jamais intimidés par français aveuglés par la culture suprémaciste et néocoloniale. A bon entendeur.