À.B ambassadeur d’Algerie à la retraite
Décidément, le ministre de l’intérieur français fait une fixation obsessionnelle sur l’Algerie et sur l’accord de 1968.
Sa hargne virulente et revancharde s’explique par son ambition maladive de vouloir «ringardiser» le rassemblement national en draguant les franges extrémistes et le marais algerophobe, constitué des nostAlgeriques revanchards, de leurs rejetons aigris et des thuriféraires illuminés du sionisme international.
En vérité, ce ministre ment, comme un arracheur de dents, car il sait pertinemment que l’accord de 1968 a été vidé de sa substance par les 3 avenants successifs et que sur de très nombreuses dispositions, il est beaucoup moins avantageux que le droit commun.
En définitive, la seule bonne nouvelle que l’on a à l’esprit lorsque on entend couiner ce ministre raciste et xénophobe, c’est que son gouvernement ne passera pas les fêtes de fin d’année et que ce « Bruno » au prénom prédestiné, en accointance avec les forces brunes qui infectent le paysage politique français, finira prochainement comme tous les sinistres sires de son acabit, dans la méprisable poubelle de l’Histoire .
