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December 10, 2025

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UMA: l’illégitime Tayeb Bekkouche reprend ses provocations contre l’Algérie

L’UMA, cet ensemble maghrébin né en février 1989 est dans le coma, et son secrétaire général  Tayeb Bekkouche qui a perdu sa crédibilité à l’occasion de la désignation de la marocaine Amina Selmane en avril 2023, comme représentante de l’UMA au sein de l’Union Africaine UA, sans consensus, n’est plus légitime, car son mandat  a expiré le 1er août 2022, sans être prolongé.

Aujourd’hui, toute honte bue pour préserver son poste, le tunisien Tayeb Bekkouche qui a violé la charte de cet ensemble en désignant la marocaine Amina Selmane, comme représentante à l’UA, sans consulter l’ensemble des membres de l’UMA, dont l’Algérie, sort de sa bulle pour appeler l’Algérie à honorer ses engagements financiers vis à vis de cette union, morte il y a près de trente années, dans la foulée de la fermeture des frontières terrestres algérois-marocaines, causée par les accusations gratuites et mensongères du régime du Makhzen à l’égard des services des renseignements algériens suite à l’attaque terroriste de Marrakech en août 1994.

Aujourd’hui, le sort de l’UMA est bien scellé et confirmé par la rupture des relations diplomatiques entre Alger et Rabat, le froid diplomatique entre Tunis et Rabat depuis la participation du président sahraoui Brahim Ghali au sommet Afrique-Japon en août 2022 en Tunisie, et surtout depuis la normalisation des relations diplomatiques entre les deux régimes expansionnistes, à savoir celui de l’entité sioniste et du Makhzen.

Aujourd’hui, il est clair que Tayeb Bekkouche, est devenu un supplétif porte-parole du régime du Makhzen, réagissant aux dernières déclarations du chef de la diplomatie algérienne Ahmed Attaf, faites au podcast platforms Atheer, au sujet de la réanimation de l’UMA.
Déconnecté de la réalité,  manquant de crédibilité et de légitimité, puisque son mandat avait expiré depuis août 2022, Tayeb Bekkouche serait amnésique puisque le dernier sommet de l’UMA (le sixième) remonte à 1994 et le septième a été programmé à quatre reprises (2002, 2003, 2005 et 2007), avant d’être reporté sine die. Depuis cette date, l’UMA est une coquille vide qui en nargue plus d’un.

Appeler l’Algérie à honorer ses engagements financiers et désigner trois représentants, un directeur et un expert pour l’infrastructure de base, et un président pour le département du développement humain, pourquoi faire?.

Cet ensemble est déjà mort, et son SG n’est plus éligible ou apte à parler au nom de l’Union, puisque son mandat a expiré et cela s’ajoute à cette scandaleuse affaire de nomination de la marocaine Amina Selmane, comme représentante  de l’UMA au sein de l’UA et qui avait présenté ses lettres de créances le 13 avril 2023 à Moussa Faki, président de la commission africaine. Une nomination faite à l’insu de quatre membres de l’UMA, à savoir l’Algérie, la Tunisie, la Libye et la Mauritanie.

 

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