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Amnesty International, cet outil droit de l’hommiste du sionisme

L'instrumentalisation du dossier des droits de l'homme à des fins politiques et géopolitiques n'a pas de frontières chez l'ONG Amnesty International lorsqu'il s'agit d'épingler les Etats résistants et opposés à l'hégémonie américano-sioniste.

L’instrumentalisation du dossier des droits de l’homme à des fins politiques et géopolitiques n’a pas de frontières chez l’ONG Amnesty International lorsqu’il s’agit d’épingler les Etats résistants et opposés à l’hégémonie américano-sioniste.

Même si Gaza a mis à nu, le fonds de commerce des droits de l’homme chez des ONG, bien présentes lorsqu’il s’agit de détruire des Etats Nations comme l’Irak, la Syrie ou la Libye, ou de mettre des points de fixation sur des pays de la résistance comme le Vénézuela, l’Iran et la Russie, Amnesty International continue de faire du marketing droit de l’hommiste, au profit des puissances coloniales, accordant un intérêt insignifiant au génocide du peuple palestinien, perpétré par l’entité sioniste, ou aux violations des droits de l’homme en France visant les personnes opposées au néocolonialisme, et au sionisme, qu’on qualifient sans preuves d’antisémites pour justifier leur condamnation.

Amnesty International s’est tue, lorsque l’international algérien Youcef Attal ait été condamné par le tribunal de Nice pour avoir uniquement partagé une publication, jugée antisémite. La même ONG continue de se taire au sujet de la détention prolongée de 25 années du militant libanais Georges Ibrahim Abdallah, libérable depuis 1999, c’est à dire depuis un quart de siècle.

Pour ce qui est de l’Algérie, Amnesty International continue de soutenir les organisations terroristes du MAK et de Rachad, à l’instar de la LDH de Patrick Baudoin. Et le rapport rendu public ce jeudi, confirme la vision stéréotypée des droits de l’homme marquée par les deux poids deux mesures, que le génocide du peuple palestinien, met au devant de la scène.

Amnesty International est devenue un instrument occidental, pour épingler les Etats contestant l’hégémonie occidental et aspirant à la souveraineté.

L’Algérie fait partie de ces Etats qui ne cède pas au chantage d’une ONG dont la mission est la déstabilisation des pays au nom du respect des droits de l’homme. Evoquer l’existence de détentions non officielles , est un gros mensonge au même titre que la liberté religieuse bien protégée et garantie par la constitution algérienne. L’édification de lieux de culte est sujette à une autorisation du ministère des affaires religieuses et des Wakfs, à l’instar de ce qui se passe dans le monde entier.

Par contre, il n’est pas autorisé, ni toléré les actions subversives et les actions de prosélytisme de certains individus ou associations non agréées, au même titre que la propagande pour les LGBT, condamnée et interdite par les valeurs et principes de la société algérienne, qui ne peut être calquée à la société occidentale devenue otage du néolibéralisme, virus de la préservation du tissu familial et par conséquent du tissu sociétal, garant de l’unité du peuple et la souveraineté du pays. L’Open Société chère au sioniste Georges Soros ne sert que l’hégémonie du capital et de l’OPA américano-sioniste sur les peuples de la planète.

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