Affaire Sansal : pourquoi le microcosme germanopratin est monté au créneau

En France, l’arrestation de Boualem Sansal déchaîne une virulente campagne d’animosité contre l’Algérie. Un déversement de haine teintée de racisme. Au-delà d’être ignoble, ce déchaînement d’hostilité contre l’Algérie est infondé. Tous les médias français crient au scandale. «Un écrivain pris pour cible par un régime où l’arbitraire le dispute à la tyrannie», voilà, en résumé, les gros titres des médias français. A lire les journaux français, Boualem Sansal aurait été arrêté pour ses œuvres littéraires dérangeantes, ses ouvrages critiques du pouvoir algérien.

CPI: les mandats d’arrêt à l’encontre des responsables sionistes sont « contraignants »

L’avocat et expert en droit international, Salah Abdel Ati, a affirmé que les mandats d’arrêt émis par la Cour pénale internationale (CPI) à l’encontre de deux responsables de l’entité sioniste pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité commis dans la bande de Ghaza sont « contraignants et exécutoires » pour les Etats parties au Statut de Rome, qui constitue l’acte fondateur de la Cour.

Sansal, le pantin du révisionnisme anti-algérien  

sansal

L’agitation comique d’une partie de la classe politique et intellectuelle française sur le cas de Boualem Sansal est une preuve supplémentaire de l’existence d’un courant « haineux » contre l’Algérie. Un lobby qui ne rate pas une occasion pour remettre en cause la souveraineté algérienne.

France: Rima Hassan obtient gain de cause et animera sa conférence

Le tribunal administratif de Paris a jugé ce vendredi 22 novembre illégale l’interdiction de la conférence de l’eurodéputée de La France insoumise (LFI) Rima Hassan, initialement interdite par Sciences Po Paris pour des motifs de risque d’atteinte à l’ordre public. Le juge des référés du tribunal administratif a suspendu cette interdiction, ordonnant à l’établissement de reprogrammer l’événement.

« Canossa » à l’assaut de l’Algérie

Dans la foulée de la guerre néocoloniale, menée par ceux qui n’ont pas encore digéré la perte du Paradis, 62 ans après l’indépendance et 70 ans après le déclenchement de la glorieuse révolution du premier novembre 1954, les nostalgiques de l’Algérie française n’ont pas lâché prise et refont surface.