Traitre un jour, traître pour toujours, c’est le parfait dicton qui s’applique au sulfureux Mohamed Sifaoui, le supplétif du CRIF, qui vient de confirmer son allégeance au sionisme, via une publication postée sur son compte X, anciennement Twitter. Cela est loin d’être une surprise pour un supplétif menacé de plus en plus par la prison dans la foulée de « « affaire fonds Marianne » .
« Il y a des moments dans l’histoire où il ne faut pas avoir piscine ! #JeSuisJuif et #JeSuisSioniste et je méprise profondément tous ceux qui veulent nous faire vivre ou faire vivre nos amis, nos compatriotes, nos voisins, nos collègues, nos frères dans la terreur ! Oui je méprise tous les tenants de l’antisémitisme et du terrorisme ainsi que leurs alliés et leurs soutiens, conscients et inconscients » écrit-t-il.
Ce logiciel primitif qui s’attaque régulièrement à l’Algérie et ses institutions, sur injonctions de ses employeurs sionistes et nostalgiques de l’Algérie française, n’a pas d’autres alternatives que d’inscrire dans un nouveau registre commercial politique de clamer son soutien au sionisme, au moment ou des milliers de palestiniens se font massacrer par cette entité sioniste, sachant que le fonds de commerce politique utilisé par Mohamed Sifaoui, lors de l’adoption de loi sur le séparatisme, destinée à promouvoir l’islamophobie et la chasse aux musulmans, comme c’est le cas aujourd’hui pour cette politique néocoloniale de ficher S des écoliers mineurs, pour la simple raison qu’ils se revendiquent être des musulmans ou expulser des enseignantes parce qu’elles portent des « abaya ». Le fonds de commerce sur le séparatisme a accouché d’un détournement de fonds bien orchestré par Marlène Chiappa, l’ancienne ministre déléguée auprès du ministre de l’Intérieur de France, en charge de la Citoyenneté, et dont l’un des acteurs-clés n’est autre que le sulfureux Mohamed Sifaoui.