Par Abdelkader H
Parallèlement aux concours sportifs qui se sont déroulés dans la capitale coloniale mondiale, le système décideur du FMI (France-Maroc-Israël) toujours très actif, décideur en France, a initié une nouvelle discipline olympique de la politique de guerre contre le peuple algérien, exclusivement réservée aux colons et aux “ratons” laveurs de Maurice Papon, de la guillotine de Fernand Meyssonnier, de l’OAS, des généraux « humanistes » de la société civile française: Bugeaud, Pellessier, Saint-Arnaud et Cavaignac, inventeurs des grottes à gaz (qui ont inspiré les chambres à gaz nazies) pour le peuple algérien, dans le Dahra entre le 11 juin 1845 (Sbéhas) et le 12 août 1845 (Aïn-Merane), en passant par celles du 19 juin 1845 (Ouled Riah).
Pour aller droit au but marqué contre son “con” Hafid Deradji, après une attaque à la “une- deux” devant la défense des barres anti-coloniales parallèles d’une jeune fille en OR, le pandémique “Daoud 19” a décroché brillamment la médaille d’excréments la plus puante du colon pour ses éructations “sous-presse” inégalées dans “la collaboration” au “Point” levé d’Otpor des salons de Paris.
Bien que nous soyons immunisés, nous sommes condamnés à vivre le nez bouché, en plus du masque « anti-bovidé », pour éviter les contaminations virales du “Daoud 19” qui accompagnent le joyeux nouveau vocabulaire « dés » colonial jeté par la fenêtre du fascisme ambiant, qui a « démocratisé » le terrorisme international…
A côté de ce germe “Daoud 19” olympique puant, très actif dans la fermentation anaérobie (puisqu’il ne reste plus à ce système de F-ronce que les molécules d’oxygène à privatiser), Pétain est un enfant de cœur. Il croit étouffer l’air ambiant de la collaboration hérité, y compris du côté gauche par Mitterrand (sa décoration de l’ordre de la Francisque au printemps 1943), tous les René “Bousquet” et les responsables de la Cagoule, cette organisation criminelle et fascisante démantelée en 1938. A travers l’accès à tous les titres pompeux que le régime lui offre sur un plateau “raton”, il ne fait que confirmer le passé, le présent et même le futur d’un système qui ne doit sa survie que grâce à la collaboration.
C’est dans cette optique qu’il a proposé de rapatrier les cendres de Camus (11 novembre 2013), l’intime d’André Rossfelder, celui qui a été condamné à mort par contumace pour sa participation à la tentative d’assassinat du président de la 5ème République, Charles De Gaulle, au mont Faron, à Toulon, le 15 août 1964. André Rossfelder n’est autre que ce terroriste qui transmettait la liste des résistants algériens condamnés à mort par l’OAS avec la mention « fait », ou bien « loupé », ou bien encore « en cours de préparation » en face des noms des militants. André Rossfelder a été réhabilité par Benjamin Stora- Bora, le héros de « David 19 » mémorialiste du système, dans son rapport noir de l’histoire inversée de la colonisation française en Algérie.
Un jour, le système accrochera sa tranche de “raton” laveur des crimes contre l’humanité sur le fronton d’une bibliothèque nationale, pour ancrer l’idée de la “ RACE” inférieure de celui qui se définit comme maçon, mais qui n’est pas très « Franc ».
Ancien formateur au Kamis Akbar de la légion étrangère française des coupeurs de têtes du peuple algérien, il a été « françoisé » par décret le 24 janvier 2020 (inséré dans l’édition du 28 janvier 2020 [n° 23]: DAOUD (Kamel), né le 17/06/1970 à Mostaganem -Algérie-, NAT, 2019X 041176, dép. 99, Dt. 002/362), échappant aux règles juridiques minimales en vigueur dans l’Etat de non-droit qui légifère depuis 1986 sur le terrorisme, et qui a ancré le racisme systémique dans la société.
La combinaison binaire de ce germe pandémique, promue par tout le système hexagonal « merdiatique », associé au Kamis du coup au laser “akbar” du 5 juin 1990 de ces ascendants idéologiques très barbus, lui a permis effectivement de déclarer qu’il est plus « François » que les français. C’est drôle : cette déclaration et son auteur n’ont fait l’objet d’aucune polémique de la part du système de la junte putschiste macroniste, dont le premier « barbier » sinistre « Grand Marnier » du RN, arrivé dernier, a été conforté dans son rôle de chef de file de la coalition infernale d’attaque du peuple par l’extrême droite et la droite- extrême. Démocratiquement, puisque c’est laïque selon l’Evangile et même chanté par Céline Dion:« Les derniers seront les premiers et les premiers seront derniers ». Pauvres « sans dent » du capitaine de pédalo, ils ne savent pas que si le bulletin de vote pouvait changer le sort scellé d’un peuple, il y a longtemps que le système 49.3 les auraient interdit.
Ce qu’on a compris, c’est que si ce titulaire de la médaille d’excréments intellectuels coloniaux n’a pas accédé à la nationalité française par déclaration ou naturalisation, c’est qu’il a bénéficié du décret amical délivré par le système colonial, sous le régime discrétionnaire de Jupiter. « Circulez, il n y rien à voir » au spectacle indigène du théâtre de “David 19”, celui qui n’a jamais perdu la lame tranchante et brillante, tachée de sang des innocents coupés en rondelles par ses co-légionnaires, que le système colonial lui a glissé sous la barbe moufetée de “Madani-a” dont le “FIS” a fait fortune dans les énergies renouvelables, avec les monarchies “arabes”.
Si ce « féministe », condamné pour violences conjugales le 13 octobre 2019 par le tribunal correctionnel d’Oran (Algérie), a aussi décroché la médaille d’or d’excréments du “colon”, il faut préciser qu’avec “Houris” (sa dernière diarrhée politique contre le peuple algérien, célébrée par tout le système colonial hexagonal), cet ancien “imam” des coupeurs de tête en Algérie a inscrit définitivement son nom sur la liste des microorganismes de la putréfaction réactionnaire d’un système en décomposition.
Cet invertébré, élu du peuple d’en haut (afin de glisser la récidive de sa nouvelle fake-news de « Colognisation »), introduit sa nouvelle fable –Houris- en mode « qui tue qui ? » plagiant François Gèze, le héros de cette légende nauséabonde. Il l’a dédicacée à sa mère Yamina (qui n’est pas son personnage Khadija), comme si elle l’avait pondue au forceps par la voie annale de Gabriel, le descendant de la famille esclavagiste de l’Ile de la Réunion, pour décrocher cette médaille d’excréments aux jeux olympiques de la politique à Pariz. « Il aurait fallu être prudente, ne pas tomber enceinte comme une idiote et ne pas avoir à avorter … » de la bête féroce qui est de retour, depuis « les urines et les égouts de la ville ».
Il l’a dédicacée aussi poétiquement à Amina Mekahli, mais surtout aux gens de Sciences-Po-Paris qui ont chassé la politique de cet Institut (dont l’objet est justement l’enseignement de la politique), dès le moment où l’on évoque le génocide du peuple palestinien, mené par le régime d’apartheid des généraux de Tel-Aviv.
Sans s’attarder, et comme le sort n’est pas clément avec cette de gondole du système colonial qui commercialise les fake-news comme des petits pains, c’est Gisèle Pelicot, cette femme qui affronte debout la cinquantaine de ses violeurs à la barre du tribunal d’Avignon, dans le pays chantre de l’égalité, où la femme n’est « houri » qu’en string pour vendre des petits pots de yaourt dans les spots publicitaires de la télévision féministe de Marlène Schiappa, « sinistre » des droits des femmes du régime dans la jolie colonie israélienne. Gisèle Pelicot, comme toutes les femmes victimes du système où l’« on s’échange des femmes comme on s’échange une place dans le boys’ club », selon Léane Alestra (créatrice du podcast « Mécréantes »), n’aura droit à aucun titre, ni aucune compassion, de la part de ce régime des sectes des labyrinthes qui vend l’horreur et les monstruosités comme modernité.
Bien sûr qu’il faut croire ce système, produisant des violeurs en série et à la pelle de Gisèle Pelicot, qui n’est pas une fake-news de la « Colognisation » de « David 19 », pour donner des leçons de féminisme et d’égalité à l’humanité. On a eu de la chance, car les 51 violeurs de Gisèle Pelicot n’ont pas crié « Allah Akbar », sinon les Musulmans seraient dans les beaux draps du vampire qui lèche les bottes des généraux de la colonie israélienne, avec son co-légionnaire Boualem Sansal, pour « sauver la France avec sa langue ». On doit soutenir Gisèle Pelicot, non seulement pour l’égalité, le droit et la justice, mais aussi pour avoir tirer la chasse d’eau sur le médaillé d’excréments politiques aux jeux olympiques du système « fronçais ».
Concernant la cible des atermoiements des monstres coloniaux et de leurs médaillés d’excréments politiques, il est peut-être utile, voir urgent, de remettre en place les forces (dissoutes) de défense du GIS, qui avaient neutralisé les coupeurs de têtes du peuple algérien, formés par l’islamiste « David 19 », surtout que le professeur Raoult a déclaré que le virus « MAKak », inoculé aux enfants de Gaza sous les bombes au phosphore, est de fabrication « inhumaine ». Raoult à peut-être fait allusion au monstre qui avait délivré le passeport du génocide que mène les généraux de Tel-Aviv, en écrivant: «Le mort palestinien sera un homme tué lorsqu’il ne sera pas un barbu mort ou un Arabe bombardé».