L’appareil répressif du Makhzen est de nouveau actionnée pour étouffer toute contestation ou opposition. Cette machine est mise en oeuvre avec plus de répression depuis l’élection du régime du Makhzen à la tête de la présidence du Conseil des droits de l’homme de l’ONU

Selon des organisations des droits de l’homme locales et internationales, le nombre de ses prisonniers politiques et d’opinions a explosé.

La dernière victime en date est Reda Touajni . Officiellement, il a été arrêté et condamné à 2 ans de prison pour s’être autoproclamé journaliste, statut que ne lui reconnaît pas le régime marocain.

« Officieusement, toute personne osant évoquée l’affaire ´Escobar du Saharà est enfermé. Rappelant que ce scandale de trafic de drogue international implique directement le régime marocain, ce qui explique sa fébrilité à ce sujet » indiquait l’opposant et journaliste Adnan Filali dans un message posté sur son compte X (anciennement Twitter)

Et d’ajouter » Le Makhzen semble hors de contrôle et agit en toute impunité au vu et au su de la communauté internationale dans une impunité terrifiante. Son rôle de président des droits l’homme souligne de manière ironique l’état des droit de l’homme dans le monde actuellement : catastrophique et du côté du plus fort et du plus brutal. Ce que retiendront les générations futures de notre époque est que l’injustice a triompher sur le droit et la raison « .

Par ailleurs, un sit in de contestation a été observé ce vendredi 23 février à Rabat devant la Cour pour dénoncer l’incarcération du Dr. BoubekeurOuankhari, membre du parti (Adl Oua Ihsene)