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Disqualification du judoka algérien Messaoud Redouane Driss: Les pressions sionistes sur la FIJ

Faute d'arguments plausibles pour sanctionner le judoka algérien Messaoud Redouane Driss, disqualifié du tournoi du Judo, comptant pour les JO qui se déroulent actuellement à Paris, la Fédération Internationale de Judo FIJ, sous la pression des lobbys sionistes, annonce l'ouverture d'une enquête au sujet du surpoids de l'athlète algérien lors de la pesée effectuée ce dimanche soir, avant son combat prévu lundi avec le judoka sioniste Tohar. Butbul.

Faute d’arguments plausibles pour sanctionner le judoka algérien Messaoud Redouane Driss, disqualifié du tournoi du Judo, comptant pour les JO qui se déroulent actuellement à Paris, la Fédération Internationale de Judo FIJ, sous la pression des lobbys sionistes, annonce l’ouverture d’une enquête au sujet du surpoids de l’athlète algérien lors de la pesée effectuée ce dimanche soir, avant son combat prévu lundi avec le judoka sioniste Tohar. Butbul.

La Fédération Internationale de Judo, et le CIO, qui ont suspendu injustement les athlètes russes et biélorusses, pour des raisons politiques, soulignent que les athlètes peuvent parfois devenir « victimes de conflits politiques plus larges ».

Selon la FIJ, le judoka algérien s’est présenté à la session de contrôle du poids dix minutes avant la date limite, mais il a été constaté qu’il dépassait de 400 grammes la limite autorisée pour concourir le lendemain.

Cette disqualification somme toute ordinaire, liée à un prétexte sportif de surpoids, conformément aux règlements régissant la discipline sportive du judo, est loin de satisfaire les lobbys sionistes qui exercèrent une pression terrible sur les instances sportives internationales comme le CIO et la FIJ en vue de suspendre l’athlère algérien, à l’instar de cette campagne menée lors des JO de Tokyo contre l’autre judoka algérien Fethi Nourine.

Sur ce plan, il faut citer la réaction de la sioniste Yael Arad, présidente du Comité olympique de l’entité d’apartheid qui qualifia le surpoids de l’athlète algérien Messaoud Redouane Driss de « honte » et a appelé à des sanctions contre la délégation Algérienne. Toute honte bue, ceux qui sont censés être exclus du mouvement olympique international, et égard aux crimes et massacres perpétrés par l’entité qu’ils représentent et qui n’a rien à envier au régime d’apartheid de l’Afrique du Sud exclu en 1976, imposent leur vision et diktat sur des pays comme l’Algérie et qui ont tout le temps honoré l’esprit du mouvement olympique et qui ne les privent pas de soutenir les causes justes de ce monde comme la cause palestinienne, en boycottant les régimes racistes et d’apartheid, comme celui de l’entité sioniste, représenté par Yael Arad

Signe de la pression sioniste, la FIJ a annoncé dans un communiqué qu’elle compte procéder à une révision totale en vue d’imposer la normalisation sportive avec l’entité sioniste, sous le couvert de la préservation de ce qu’elle a appelé « l’intégrité du sport » et qui demeure de facto sélective liée aux intérêts des puissances de ce monde. L’Algérie via son Comité Olympique Algérien COA est appelée à réunir des voix autour d’elle dans son combat contre la normalisation avec l’entité sioniste. Un nouveau coup comme celui réalisé à la veille des JO de Montréal de 1976 est plus que nécessaire. L’Occident dont le CIO est devenu un instrument entre ses mains avait rapppelons-le privé ses athlètes des joutes olympiques de Moscou en 1980, en représailles politiques à « l’invasion » de l’Afghanistan par l’URSS.

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