L’Algérie nouvelle dérange. Cette Algérie, qui s’apprête à franchir un nouveau jalon avec l’élection présidentielle du 7 Septembre prochain, est, une Algérie qui se transforme à grande vitesse et qui se tourne vers un avenir des plus prometteurs. Évidemment, cette réussite, fruit d’un mandat des plus féconds du président, Abdelmadjid Tebboune, hante les nuits de la cinquième colonne.

Alors, que les Algériens attendent avec impatience , ce grand rendez-vous démocratique , certaines, petites voix inaudibles, ce sont mises à essayer vainement à rejouer la période pré-électorale de décembre 2019. Ces voix, actionnées par leur mentors, Xavier Driencourt et Yves le Drian, deux personnes qui ne portent pas l’Algerie dans leur cœur, et qui étaient en poste durant le Hirak béni de 2019, l’un était ambassadeur de France à Alger et l’autre ministre des affaires étrangères.

Ces deux personnages, à défaut d’un cinquième mandat qui arrangeaient les affaires de la France, avaient mis tout en œuvre pour la mise en place d’une période de transition. Cinq ans après, ils reviennent à la charge à travers un communiqué signé par leurs zélés serviteurs pour encore milité pour une transition démocratique, rien que ça !

Les signataires de cet appel , qui parlent de démocratie, devraient comprendre ainsi que leurs mentors, que concernant le choix du peuple, seul un scrutin démocratique transparent peut permettre de le connaître et autoriser à parler au nom du peuple.

C’est le scrutin libre, du 12 Décembre 2019, qui a donné au pays un président légitime, qui est aujourd’hui, au cœur des transformations démocratiques de l’Algérie.

Que les signatures de cet insipide communiqué , parlent plutôt au nom de leurs mentors que du peuple algérien, qui les a déjà rejeté en faisant son libre choix un certain 12 Décembre 2019. C’est ce même peuple qui s’apprête à exprimer à nouveau et librement son choix le 7 Septembre 2024.