Ayant vaincu le handicap de la vue depuis son jeune âge, Cheikh Bouchikhi a réussi là où ceux qui disposent de tous les facultés de la santé, n’arrivaient pas à réaliser ses performances.
Élevé dans un milieu de révolutionnaires, convaincu en ses capacités intrinsèques d’apporter son empreinte à l’édifice de cette nouvelle Algérie qui se dessine, le candidat Bouchikhi Cheikh de la liste indépendante d’El Fellah d’Oran (37) professeur à l’université d’Oran, auteur et docteur en histoire,note avec insistance que le rendez-vous électoral du 12 juin prochain est déterminant pour le devenir du pays, en dotant l’État d’une institution législative, puissante, bien représentée et disposant de pleines prérogatives , conformément à la nouvelle Constitution du premier novembre 2020.
Pour l’invité d’Algérie54, la réussite du prochain scrutin, ouvrira la voie à un nouveau mode de gouvernance, dotant le pays d’une assemblée populaire nationale, capable d’exercer ses missions de législation, contrôle et de transmission des préoccupations des citoyens au plus haut niveau, mettant fin aux précédentes assemblées, confinées dans le rôle de chambres d’enregistrement au profit du pouvoir exécutif.
Deux semaines après le début de la campagne électorale, Cheikh Bouchikhi estime que la population touchée, démobilisée au temps d’El Isaba, s’intéresse de plus en plus au discours initié par sa liste El Fellah, qui consiste à communiquer avec transparence et franchise, sans jeter des promesses mensongères, mais appelant à la mobilisation populaire pour gagner la bataille d’une Nouvelle Algérie, plus juste avec ses citoyens et tournée vers le progrès et le bien-être loin des tiraillements et des clivages.
En conclusion, Cheikh Bouchikhi appelle à la nécessité d’aller voter en masse pour élire une nouvelle composante au sein de la chambre basse du parlement, capable de matérialiser les aspirations de notre peuple martyrisé par une décennie de terrorisme et deux décennies d’immobilisme politique et gouvernance au service d’El Isaba