Dans sa livraison de ce jeudi 8 aout, le média français Marianne revient sur le traitement raciste accordé au maire de l’Ile-Saint -Denis Mohamed Gnabaly par le « Doubab » du régime néoféodal du Makhzen .

Intitulé  » « Sale esclave noir » : le maire de l’Île-Saint-Denis harcelé sur fond de litige avec le Maroc », l’article de Marianne, révèle le lynchage médiatique et propagandiste mené par les supplétifs de l’occupant marocain des territoires sahraouis, rappelant que la municipalité que préside Mohamed Gnabaly, est une partie prenante des JO de Paris 2024.

Cette campagne raciste relevant la nature de ce régime néoféodal est liée à la décision du maire, premier magistrat de la Mairie de l’île- Saint-Denis d’interdire les symboles politiques, idéologiques et religieux lors du déroulement des épreuves sportives ou d’activités culturelles liées à cet évènement.

Les Marocains qui ont fait fi des «engagements de neutralité pris par l’ensemble des délégations» n’ont guère apprécié la décision du Maire Mohamed Gnabaly.

Ironie du sort, les sujets du commandeur qui continuent la pérennisation des moeurs révolues par la machine du temps, comme le baise-main, et dont leurs femmes sont qualifiées de femmes-mulets, osent insulter un citoyen français issu de l’immigration africaine.

C’est indigne pour ce régime qui se revendique appartenir au continent africain. Ce régime qui fait de son peuple des sujets de l’esclavagisme sexuel, de la pédophilie et de la consommation de toute sorte de drogue, osent traiter un être humain pour la simple raison qu’il a appliqué la loi dans sa globalité et a respecté la charte olympienne au niveau de sa municipalité, et a respecté celles et ceux qui l’ont élus.