Une délégation de la Banque Mondiale (BM), en visite actuellement en Algérie, a salué l’amélioration significative que connait le pays dans le domaine de la promotion des investissements, notamment en ce qui concerne les mesures et les dispositions prises ainsi que les facilités accordées par l’Etat aux porteurs de projets locaux et étrangers, qui commencent à donner leurs fruits sur le terrain, indique un communiqué de l’Agence algérienne de promotion de l’investissement (AAPI).
Cette déclaration est intervenue lors de l’audience accordée par le directeur général de l’Agence, Omar Rekkache, à la délégation de la BM, conduite par le Directeur de la région du Maghreb et de Malte au sein de cette institution financière, Ahmadou Moustapha NDiaye, le représentant résident de la BM en Algérie, Kamel Braham ainsi que l’économiste principal pour l’Algérie, la Tunisie, la Libye, le Maroc et Malte, Abdoulay Sy et l’économiste chargé de l’Algérie Cyril Dupont.
A cette occasion, « la délégation de la BM a salué les progrès notables que connait l’Algérie dans ce domaine, notamment les mesures et les dispositions prises par le pays ainsi que les facilités accordées aux porteurs de projets, qui commencent à porter leurs fruits à travers l’augmentation des projets d’investissement enregistrés par l’Agence ».
La rencontre a également permis de présenter l’évolution du climat d’investissement et d’affaires en Algérie dans le cadre du nouveau système d’investissement, ainsi que « le bilan du programme de soutien technique offert par la BM à l’AAPI dans le cadre du projet de vision stratégique à long terme pour la promotion des investissements en Algérie, que l’Agence s’attèle à élaborer ».
L’AAPI et les représentants de la BM sont convenus « d’examiner la possibilité d’organiser une journée d’information sur le nouveau système du rapport de la BM concernant l’évaluation du climat des affaires, intitulé « B-READY » ou « Business Ready », qui remplace le « Doing Business ».
Selon l’Agence, cette journée d’information vise à « expliquer les nouveaux critères d’évaluation, permettant ainsi aux différentes instances concernées de valoriser les réformes et les programmes lancés par l’Algérie ».
