Au moment où la France est confrontée à une grave crise politique jamais connue depuis la naissance de la 5ème république en mai 1958, les médias Mainstream affidés à l’Etat profond français focalisent sur la présidence algérienne de ce samedi 7 septembre, en colportant des mensonges et des contre-vérités sur la situation en Algérie.
Cette presse démasquée par sa partialité de ce qui se passe dans la bande de Gaza, en tentant de mettre sur le même pied d’égalité, le génocidaire et sa victime tente vainement de détourner l’opinion publique française de ce qui se passe en France, avec une situation politique explosive augurant une implosion et une éventuelle destitution du président français Emmanuel Macron qui s’est octroyé tous les pouvoirs nécessaires pour se mettre contre la volonté de son peuple et le verdict des urnes, en nommant Michel Barnier, comme premier ministre , issu de la quatrième formation politique du pays, suivant les résultats des dernières législatives françaises, tenues dans le sillage de la dissolution de l’assemblée nationale française décidée par Jupiter, après sa déroute lors des dernières élections européennes.
Aujourd’hui, c’est la fuite en avant et l’absence de vision et de visibilité qui conduisent les nostalgiques de l’Algérie française, leurs médias et leurs larbins comme les Abdou Semmar, Kamel Daoud, Ali Bensaad, Addi Lahouari, Boualem Sansal , Said Sadi et les terroristes du MAK et de Rachad, à maintenir cette stratégie stéréotypée et consommée.
La communauté algérienne établie à l’étranger s’est mobilisée pour la réussite de ce rendez-vous et confirme aujourd’hui via sa participation massive aux centaines de bureaux de vote installés au niveau des représentations diplomatiques algérienne qu’elle tient à l’Algérie Nouvelle, convaincue des enjeux géopolitiques et des défis futurs, et ne croit plus au discours néocolonial de cette France de plus en plus entre les mains des lobbys sionistes à l’origine des lois sur le séparatisme synonyme d’islamophobie, de l’immigration et des retraites. Cette même France qui refuse de reconnaître ses crimes contre l’humanité lors de la période de la colonisation de l’Algérie, selon les dires même du nouveau dictateur Macron, fervent défenseur de 49.3.
Faire du candidat Abdelmadjid Tebboune, un point de fixation de cette campagne néocoloniale haineuse et de dénigrement, confirme tout ce que pensent les algériens de lui, un homme qui lutte via une stratégie bien réfléchie à débarrasser l’Algérie du diktat de l’ancien colon. Les algériens en sont conscients.