Le média propagandiste du Quai d’Orsay France 24, vient de désavouer Emmanuel Macron, en publiant la carte géographique reconnue par la communauté internationale, lors d’un reportage sur l’attaque menée par l’armée sahraoui APLS, ciblant des objectifs militaires de l’occupant marocain des territoires du Sahara Occidental.
A l’instar des sorties du génocidaire Benjamin Netanyahou, l’instrumentalisation de la colonisation des territoires sahraouis par les cartes fictives fabriquées dans les laboratoires du Makhzen, au même titre que les lettres de Sanchez, Macron et le tweet de Trump, est loin de blanchir la colonisation au détriment de l’application des résolutions du Conseil de Sécurité de l’ONU, exigeant la tenue d’un référendum d’autodétermination du peuple sahraoui.
Le myomane Macron avait annoncé à voix haute et sans honte ce que tout le monde savait , depuis le début du conflit en 1975, où la France était le seul membre permanent du Conseil de Sécurité à bloquer toute solution et règlement dans le cadre de la légalité internationale.
La France ne bloquait pas uniquement la solution pacifique, mais elle était devenue un pays belligérant ayant soutenu militairement l’occupant makhzenien.
Le myomane Macron, victime d’espionnage du régime makhzenien via le logiciel sioniste Pegasus, vient de franchir les lignes rouges en invitant les entreprises françaises à s’investir dans le pillage des richesses du peuple sahraoui, en violation du dernier arrêté de la CJUE, et contrairement à ses positions à l’égard de la guerre entre la Russie et l’Ukraine.
L’occupation illégale d’un territoire ne peut pas être blanchie, parce qu’elle a un propriétaire ! Un propriétaire qui considère que chaque centimètre de sa terre est sacré et vaut chaque goutte de sang qui a été versée et – à ce jour – continue d’être versé pour lui depuis un demi-siècle. C’est un fait tangible et indiscutable, et ce n’est pas la fumée que Macron et Sánchez s’obstinent à vendre au dictateur alaouite qui excelle dans la politique de l’autruche et la fuite en avant à l’instar de ces escapades jouissives.