Comme nous l’avons révélé à maintes reprises, l’ONG dite de défense des droits de l’homme LDH ne cache pas son soutien aux terroristes désireux de mettre l’Algérie à feu et à sang. Son président Patrick Baudoin, avocat belge, installé à Paris, fidèle à sa réputation d’un défenseur des coupeurs de têtes du GIA durant la décennie noire, poursuit sa mission en ouvrant les portes de la LDH à son ami, le terroriste Ferhat M’henni du MAK, bien soutenu par les sionistes, marocains et les nostalgiques de l’Algérie française.
Ainsi, le siège de la LDH sis au 138 rue Marcadet 75018 à Paris, a abrité récemment une rencontre tenue secrète entre des membres des organisations terroristes du MAK et de Rachad, dans la perspective de coordonner des actions terroristes en Algérie. Cette rencontre coïncida avec la visite du Rapporteur spécial des Nations unies sur le droit de réunion pacifique et d’association, Clément Nyaletsossi Voule, et à quelques jours de la campagne menée par l’autre ONG helvétique TRIAL, visant l’Algérie et ses institutions républicaines souveraines.
La LDH et l’exportation du terrorisme
Au même titre que la FIDH, financée par la NED, dans le cadre de se stratégie de Régime Change et l’exportation de la démocratie, la LDH et Patrick Baudoin semblent déterminés à opter pour l’exportation du terrorisme, comme un modus operandi après l’essoufflement de leur plan mis en oeuvre, à l’occasion de ce qu’a été appelé « printemps arabe ». Le renouvelé et redynamisé plan de mettre l’Algérie à feu et à sang, intervient au moment où la France laisse des plûmes dans la région du Sahel et la perte de son pré-carré, source de sa richesse et le bien-être de ses citoyens.
Patrick Baudoin, sa LDH et la FIDH, multinationales des droits de l’Homme en France et dans le monde, préfèrent fuir le débat d’idées, au moyen d’un vocabulaire resté colonial. Les seules répliques de ces civilisateurs, au nom des « Droits de l’Homme », sont la menace et les procès devant des tribunaux métropolitains, et le silence lorsqu’il s’agit des violations des droits de l’homme par leurs sponsors et employeurs. Et les exemples n’en manquent pas. Algérie 54 avait révélé dans un précédent article, qu’une ligueuse de la LDH a été victime d’un viol au sein même de cette multinationale des droits de l’homme, que Patrick Baudoin dirige et se donne le droit d’enseigner aux algériens le respect des droits humains.
Et:Le business des Droits de l’Homme : La LDH et la FIDH au service du grand Capital
LDH et FIDH: Deux ONG au service des ennemis de l’Algérie