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Les enjeux économiques de la résolution mensongère du Parlement Européen

La résolution mensongère condamnant l’Algérie sur les questions des droits de l’homme et de la liberté d’expression, adoptée par le Parlement Européen, éclaboussée par une cascade de scandales de corruption, n’a pas encore livré tous ses secrets et ses enjeux économiques.
Il est clair, que le plan concocté visait à exercer des pressions sur l’Algérie sur certaines questions géopolitiques et surtout économiques. La dernière sortie du Président Tebboune, lors de l’entrevue accordée aux représentants de la presse algérienne, à l’occasion de la célébration de la journée mondiale de la liberté d’expression, réaffirmant la détermination de l’Algérie à rejoindre le groupe des BRICS, dans sa stratégie de renforcer son développement dans un monde en pleine mutation pour un nouvel ordre mondial multipolaire.
Il est clair aussi, que les eurodéputés, en particulier les députés français et espagnols, ne digèrent plus le souci de l’Algérie de diversifier ses partenaires économiques en abandonnant totalement l’accord d’association avec l’Union Européenne, ou en procédant à une révision de cet accord d’association, accordant plus de justice à la partie algérienne. L’accord d’association signé entre Alger et Bruxelles,entré en vigueur en 2005, expirant en décembre 2020 avait lésé l’économie algérienne, lui causant un préjudice financier atteignant le montant de 300 milliards d’euros en 15 ans dans la foulée du démantèlement des tarifs douaniers. D’ailleurs, cet accord a été totalement à l’avantage des entreprises et bureaux d’études, de consulting français, grands bénéficiaires de marchés et contrats en Algérie, au même titre que les entités économiques espagnoles, largement affectées par la décision d’Alger de suspendre l’accord de partenariat ,de coopération et de bon voisinage avec Madrid dans le sillage de l’estocade de Pedro Sanchez,aligné sur la position de l’occupant marocain sur la question du Sahara Occidental, et aussi la mafia de la prédation,de l’import-import, qui ne lésinaient pas sur les subterfuges pour vider le Trésor algérien .
D’ailleurs, ce n’est pas surprenant de voir ce nombre important de députés français et espagnols à l’origine de cette résolution mensongère et d’ingérence dans les affaires internes de l’Algérie souveraine.

Les 79 députés européens français 

Un plan minutieusement préparé

La résolution mensongère du Parlement Européen a été bel est bien préparée,, dès le le début de l’année en cours, dont les commanditaires attendaient le timing le plus opportun, pour la sortir des terroirs.

Renseignement pris, cette mensongère résolution était prévue, il y a plusieurs semaines dans la foulée du scandale de l’exfiltration d’Amira Bouraoui par la DGSE française, et reportée à cause de l’annonce de la visite du président Tebboune en France. Dès l’annonce du report de la visite du président Tebboune, prévue au début du mois en cours, les députés macroniens, siégeant au Parlement Européen , au nombre de 23, soutenus par 21 députés européens du parti socialiste espagnol de Pedro Sanchez, s’activaient pour condamner l’Algérie sur la question de la liberté d’expression et des droits de l’homme, une manœuvre de bas étage pour exercer du chantage et des pressions sur l’Algérie déterminée plus que jamais à assumer sa souveraineté et indépendance.

Le but recherché par cette mensongère résolution était le maintien de la pression sur l’Algérie et ensuite faire plaisir aux alliés de l’institution européenne à savoir le régime du Makhzen et l’entité sioniste. Deux régimes derrière la corruption au Parlement européen, via les cadeaux et privilèges accordés à ses  membres influents et aussi à l’espionnage via le logiciel Pegasus.

 

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