Par Abdelkader H
Pour faire barrage au peuple algérien, le système colonial sauvage a plus d’un tour dans le sac de Zoubida Assoul , celle qui s’accroche à la jupe de sa mère “fa-fa” la “France coloniale”, chez laquelle elle fait ses courses politiques en compagnie des pingouins de la politique, ces rejetons de Marcel Bigeard menés par Sahnadja Akrouf et Lyès Djebaïli, les animateurs du parti des néoharkis appelé “PADA”.
La première serveuse du système néocolonial à se placer sur la ligne de départ, mais surtout à se jeter la tête en avant, pour les élections présidentielles en Algérie, dès l’annonce de cette consultation nationale, cette membre de la secte de Houari Addi des « ténors autoproclamés leaders du Hirak » d’Ahmed Ben Saada, n’a pas réussi à réunir les parrainages nécessaires pour sa crédibilité démontée.
Même si on devrait ne pas en parler, on peut quand même relever que sur les terrasses de café, on parle de tentatives d’introduction de “parrainages par les morts”, recyclant la vieille ficelle technique et démocratique du système de Jean Tiberi aux élections françaises entre 1989 et 1995. Ni son interview (4 avril 2024) dans le journal d’Amir Ben Yahmed et de François Soudan “Jeune Afrique”, ni le soutien du piètre espion Farid Alilat (auteur de l’intox royale sur le don de fioul algérien au Liban), refoulé récemment de l’aéroport d’Alger, ne lui ont porté chance.
L’avocate de tous les « khabardjia » en Algérie, et même du barbouze “El Kadi”, n’a pas de chance non plus avec son directeur de communication, Djalil Ammouche, qui lui a confectionné une consultation (khotwa) avec trois pelés et un tondu qui se battent en duel, pour élaborer un programme pour une nation en marche. Pourtant cela ne devrait pas être très difficile pour celui qui a contribué à l’élaboration d’un “complot” contre le peuple algérien, en compagnie d’une belle brochette de néoharkis, sous la forme d’un joli tract intitulé « l’Algérie – L’avenir en jeu-« , coordonné par Raouf Farrah et préfacé par la belle Louisa Dris-Aït Hamadouche, et publié l’Algérie-française chez Koukou édition.
Djalil Ammouche bourré de titres scientifiques en politique, impossible à énumérer dans cette petite contribution pour l’éclaircissement du débat électoral, est à la tête d’une belle entreprise “SIKA SOFTWARE”, depuis le 06/08/2018, installée à la Courneuve (centre Commercial La Tour), dans la banlieue parisienne. La sœur jumelle bicéphale de “SIKA SOFTWARE” est “TOUCHIA CONSULTATION”, domiciliée à la rue des frères AZIOU, Bloc C N Hydra (Alger).
Le plus beau avec le caméléon (Abdel) Djalil (Wahid) Ammouche, le directeur de communication de Zoubida Assoul , ce sont les témoignages de satisfaction et les congratulations qu’il a reçu d’Igal Katz, Directeur de TOTAL ADMIN de la ville israélienne de Nétanya, sauveteur et premier secouriste de cette ville sioniste. Igal Katz, qui est totalement mouillé dans le volontariat de l’organisation internationale des femmes sionistes écrit à propos de son client Djalil Ammouche : » j’ai eu la chance de travailler avec Djalil de l’implémentation avec succès de la solution “KALTURA” chez KPMG….. Djalil a toujours su trouver les bonnes réponses …..“ pour Zoubida Assoul .
Une petite contribution contre un grand projet “Blanc”, allant de “la Zoubida Assoul, jusqu’au sioniste Igal Katz, en passant par son communicant le caméléon (Abdel) Djalil (Wahid) Ammouche.
Farid Alilat, son avocat de la société militaire civile du journal du royaume de la pédophilie et de la drogue, va certainement se précipiter pour apporter un argument de « défonse » de sa cliente israélienne.
