Le sioniste Zimeray, Gallimard et les indigènes informateurs Daoud et Sansal

Si la France officielle demeure silencieuse et acculée par la fermeté des autorités algériennes, qui viennent d’accuser publiquement et officiellement la DGSE française d’avoir planifié un complot de déstabilisation de l’Algérie, la nouvelle génération des indigènes informateurs, représentée par l’escroc lauréat du dernier Prix Goncourt, est de nouveau mise sur orbite pour colporter une campagne mensongère hostile à Alger.

Sansal et Daoud, écrivains ou lobbyistes ?

Les déclarations des deux écrivains Boualem Sansal et Kamel Daoud qui se sont auto exilés en France et naturalisés français, ont de quoi interpellé l’opinion. Ils ont choisi de vivre dans leur nouveau pays d’adoption, mais passent leur temps à « tirer » sur l’Algérie, ses fondements historiques, sa guerre de libération nationale, son unité territoriale.

Algérie-France: la panique gagne les QG du néocolonialisme

Le défilé de la propagande néocoloniale hostile à l’Algérie menés par les officines au service du sionisme et des fascistes et nostalgiques de l’Algérie française, se poursuit. Parmi les fers de lance de cette campagne qui s’inscrit dans la durée n’est autre que l’ancien ambassadeur de France à Alger, et agent diplomatique de la DGSE, Xavier Driencourt.

Jacob Cohen à Algérie54: Boualem Sansal est le chouchou du lobby judéo- sioniste

Il n’est plus à présenter, en matière d’analyses pertinentes au sujet des questions liées à l’hégémonie de l’entité sioniste, ses plans d’annexion territoriale, ou le soutien à ses supplétifs pour concrétiser ses desseins. Il s’agit du journaliste français , natif du Maroc, et auteur Jacob Cohen. Algérie54 est allée l’interroger sur les auteurs néocolonisés Kamel Daoud et Boualem Sansal, ainsi que les derniers développements liés au génocide du peuple palestinien par l’armée sioniste.

Jacques- Marie Bourget à Algérie54: L’impunité dont jouit Kamel Daoud, devant le tribunal médiatique français, est incroyable

Le grand reporter français Jacques- Marie Bourget, demeure un modèle du journaliste engagé dans la voie de la défense des opprimés et causes justes. Son témoignage et ses couvertures médiatiques des massacres de Sabra et Chatila, du siège de l’autorité palestinienne à Ramallah, en dépit des pressions et menaces, sont un parcours à imiter pour chaque plume ou voix libre de ce monde. Une attitude qui a failli lui coûter la vie en octobre 2000, suite à une tentative d’assassinat menée par l’armée sioniste la « plus démocratique » et » la plus humaine. Dans cette interview accordée à Algérie54, le « miraculé » de Ramallah livre sa conviction au sujet des écrivains Kamel Daoud et Boualem Sansal, deux auteurs néocolonisés, au centre d’une nouvelle tension politique entre l’Algérie et la France.

La recette du succès de certains auteurs «bien de chez nous»

Pour mieux éclairer l’opinion publique algérienne, en particulier nos fidèles lectrices et lecteurs, Algérie54 a jugé utile de republier des articles datant depuis 2010, sur les agissements et attitudes de certains pseudo- intellectuels du monde de lettres, des médias et des arts, originaires de notre pays et qui servent aussi les plans néocoloniaux.

« Canossa » à l’assaut de l’Algérie

Dans la foulée de la guerre néocoloniale, menée par ceux qui n’ont pas encore digéré la perte du Paradis, 62 ans après l’indépendance et 70 ans après le déclenchement de la glorieuse révolution du premier novembre 1954, les nostalgiques de l’Algérie française n’ont pas lâché prise et refont surface.

La femme de Daoud, le BHL de Macron: une émigrée chanceuse.

Dans un pays guidé par le grand panseur Retailleau – l’homme qui étrille, l’éradicateur ventre à choux- nous savons que tout cheveu trop frisé est maintenant coupé en quatre. Le parcours exemplaire d’une jeune émigrée, assez forte pour échapper aux pièges tendus par un pays dont le patron s’appelle Bruno, est donc exemplaire. Nous avons découvert cette vertu vivante capable d’un tel courage, de grimper son Everest à mains nues. Elle nous vient d’Oran, heureusement sans avoir eu à traverser la Méditerranée à la nage. Son nom est Aïcha Dahdouh-Daoud. Comme un bonheur ne voyage jamais seul, son mari, Kamel, vient d’obtenir le Prix Goncourt. Pour les égarés, précisons Prix de « littérature ». Et l’égérie du lauréat de chez Drouant vient d’obtenir en France le statut de « réfugiée politique ». Elle le mérite bien. Son dossier a été bouclé le temps de quelques claquements de doigt. Déjà, par une grâce tombée du ciel de Saint Honoré, patron de ceux qui roulent dans la farine, Kamel a obtenu la nationalité française le 28 janvier 2020. C’est ce qui est imprimé dans le Journal Officiel de la République. Le saint chrême qui l’a fait fils de gaulois coulant d’une fiole conservée dans le tabernacle de l’Elysée, la naturalisation s’annonçait peu difficile. Nous avions le « fait du prince », la République l’a transformé en « fait du Président ».