Une action en justice intentée contre l’écrivain Kamel Daoud

L’avocate Fatma Zohra Benbraham a révélé, jeudi à Alger, qu’une action en justice a été intentée devant le tribunal d’Oran contre l’écrivain Kamel Daoud pour avoir exploité dans son dernier ouvrage intitulé « Houris », l’histoire de la vie personnelle d’une victime du terrorisme, Sâada Arbane, et violé les valeurs et la mémoire du peuple algérien.

N’en déplaise à Kamel Daoud : la femme algérienne est libre et épanouie

Lors d’une interview accordée récemment à un quotidien régional français, à la question du journaliste : «Comment vous êtes devenu féministe ?» Kamel Daoud a répondu : «Parce qu’à un moment, au regard de ma propre mère, je me suis demandé pourquoi elle n’a pas eu droit à une vie et à de la liberté.»

Pourquoi le Goncourt décerné à Kamel Daoud n’a pas de liens avec la littérature

En France même, d’aucuns ont compris que le prix Goncourt décerné à Kamel Daoud est éminemment politique et que sa vocation est complètement éloignée de la qualité du livre pour lequel il a reçu cette distinction à laquelle le pouvoir français attache une importance capitale. En effet, le poste de ministre de la Culture dans ce pays où la littérature a, à l’instar de tous les domaines dans la vie des Français, connu une incroyable régression avec le temps, n’est pas dévolu au premier venu.

Du bien-dire de Victor Hugo au charabia de Kamel Daoud : le verbe fait naufrage  

La littérature française suit une courbe descendante. Elle est comme l’art culinaire qui est passé de la cuisine raffinée à la malbouffe imposée au désir inconscient de la société de consommation. C’est le neveu de Sigmund Freud, Edward Barnays, qui a inventé la fabrique du consentement, une méthode basée sur l’influence mentale qui transforme la médiocrité en excellence et le vice en vertu. Les puissants lobbies se sont emparés de ce procédé en France pour faire aimer aux Français le charabia de Kamel Daoud, présenté comme de la littérature de haute volée, distinguée par les faiseurs d’écrivains qui se sont autoproclamés distributeurs ès qualité des médailles du mérite littéraire.

Kamel Daoud, l’écrivain qui vomit sur son peuple

En 2016, j’ai écrit un livre sur l’idéologie véhiculée par les écrits de Kamel Daoud[1]. En les analysant sous la grille précise d’Albert Memmi[2], il devenait évident que cet écrivain était l’archétype du néocolonisé qui cherche à « ressembler du plus près au blanc ». Plus encore, selon Memmi, « l’amour du colonisateur est sous-tendu d’un complexe de sentiments qui vont de la honte à la haine de soi »[3]. Mohamed Bouhamidi, mon ami philosophe, est plus explicite : « Le complexe du néocolonisé […] se traduit par l’obsession de s’extraire de l’indigénat, de se distinguer de son peuple »[4].

Jacques-Marie Bourget à Algérie54: Le sort fait aux journalistes à Gaza restera une honte éternelle

Dans une interview accordée à Algérie54, le grand reporter et « miraculé de Ramallah » et victime d’une tentative d’assassinat de l’armée sioniste en octobre 2000, Jacques- Marie Bourget, livre sa lecture sur les derniers développements sur la scène palestinienne, la poursuite du génocide du peuple palestinien, les tentatives d’étouffer les massacres et crimes de l’entité sioniste via le subterfuge de l’antisémitisme, ainsi que les derniers évènements en France.

Quand Kamel Daoud s’attaque aux « chahids » palestiniens

Au moment ou 67% des jeunes Américains âgés de 18 à 24 ans considèrent que les Juifs sont des oppresseurs et devraient être traités comme tels, selon un nouveau sondage réalisé par Harris Insights and Analytics et le Centre d’Études Politiques Américaines de l’Université Harvard (CAPS), le chroniqueur du magazine Le Point, Kamel Daoud, l’oppresseur […]

Kamel Daoud et son « humanisme » pour le sionisme

En lisant l’article du néocolonisé Kamel Daoud « Guerre Hamas-Israël : lettre à un Israélien inconnu de la part de Kamel Daoud »,publié par le média français Le Point en date du 23 octobre 2023, je me suis interrogé s’il n’est pas légitime et nécessaire de relire le livre de l’auteur et chercheur algérien Ahmed Bensaada « KAMEL DAOUD : Cologne […]