Les mesures prises par le gouvernement français ce vendredi 30 juin à l’issue d’une réunion de crise prise par le président français Emmanuel Macron, en mobilisant d’importants moyens humains et matériels pour faire face à la vague de violence dans plusieurs villes françaises, suite à l’assassinat de l’adolescent Nahel, semble offrir un nouveau souffle à l’extrême droite déterminée à accentuer l’escalade au lieu d’aller vers des solutions profondes pour mettre au malaise social et au phénomène du racisme, en pleine progression.

C’est dans ce sens, que s’inscrit cette logique guerrière, que survient cette déclaration de guerre, initiée par deux syndicats de la police à savoir Alliance Police Nationale et UNSA Police, qui bénéficient de sursoit du soutien du ministre français de l’intérieur Gérard Darmanin.