Nicolas Beau devra mordre les doigts et passer une nuit cauchemardesque ce dimanche 29 décembre, en écoutant la déclaration du président de la république Abdelmadjid Tebboune, qualifiant le néocolonisé et vendu Boualem Sansal de voleur, sans identité dont on ne connaît pas son père.

Une déclaration cinglante venue à point nommé démentir la diatribe de Nicolas Beau publiée ce samedi 28 décembre intitulée ” L’Algérie annonce, au détour d’un communiqué, la libération de Sansal” sur les colonnes de son média mensonge appelé Mondafrique, dont les liens avec le régime du Makhzen ne sont plus à présenter.

Cette réponse cinglante du président de la république n’est pas adressée uniquement au larbin du Makhzen Nicolas Beau, mais aussi à ceux qui ont détourné le contenu du communiqué de la présidence de la république au sujet de la grâce présidentielle décidée par le président de la république Abdelmadjid Tebboune, dans le cadre d’apaisement visant le lancement d’une nouvelle dynamique du renforcement du front intérieur via des mesures imminentes allant dans le sens de l’pprofondissement de la pratique démocratique et la consolidation de la souveraineté populaire.

Boualem Sansal, qui constitue un instrument de déstabilisation de l’Algérie, et d’atteinte à la souveraineté territoriale du pays, son histoire comme Nation millénaire et d’atteinte également à l’unité du peuple algérien, n’est pas concernée de cette grâce présidentielle, puisque les chefs de son inculpation demeurent traditionnellement en dehors de toute mesure d’amnestie, sachant que son dossier est toujours en instruction.

La réponse cinglante du président Tebboune est adressée aussi à ceux qui mentent au sujet de la soumission des autorités algériennes aux pressions de Paris et ses relais néocoloniaux et néocolonisés.