Par Abdelkader H

Le vacarme médiatique organisé de l’extrême gauche à l’extrême droite autour d’un « raton-laveur » des crimes coloniaux d’un système nazifiant, dont toute l’humanité voudrait se débarrasser, qui a réhabilité Vichy à travers la bouche même d’Eric Zorro, l’un des protégés du chef de gang de la « mafia Benalla de l’Elysée », est arrivé spontanément pour nous faire découvrir la réalité de la vitesse fulgurante avec laquelle la « Ripoublique » d’Alexis Kohler coule dans les bas-fonds du trafic et du pillage des caisses de l’Etat

Alexis Kohler n’est pas n’importe qui : il est le patron du  château du régime qui a fait bondir la dette de la colonie israélienne à plus de 3 228 milliards d’euros (officieusement, on parle de 3 400 milliards d’euros) pour que les générations futures soient totalement réduites à la mendicité. Il a été au service du système, de la Gauche à la (extrême) droite macroniste, puisqu’il  a été Directeur de cabinet de Pierre Moscovici puis d’Emmanuel Macron au ministère de l’Économie et des Finances, sous la présidence de François Hollande. 

Alexis Kohler est d’abord mis en cause pour des faits remontant aux années 2009-2012, où il officiait comme représentant de l’Agence des participations de l’État (APE), au sein du conseil d’administration de STX France – devenu Chantiers de l’Atlantique – mais aussi au conseil d’administration du Grand port maritime du Havre (GPMH), chez son ami Edouard Philippe. 

Pour ce ponte du système,  il faut aussi étouffer les bruits de casseroles assourdissants de sa mise en examen, depuis 2022, pour prise illégale d’intérêts, trafic d’influence et corruption passive, pour ses conflits d’intérêts avec l’entreprise Mediterranean Shipping Company (MSC). 

Peut-être qu’on voit un peu mieux maintenant, à travers la fenêtre de « la justice du téléphone » qui négocie la survie du système avec Marine Le Pen (sur le vote du budget nous disent-t-ils !!!), d’où vient le tir qui « sent sale » de Boualem, sous la direction d’A. Azoulay, le véritable monarque au « haschich », du royaume de la pédophilie d’Israël.  

Boualem « sent sale » la dissimulation du système, qui était présent en force lors de la rencontre de football au stade de France (déserté par le peuple, bien que l’entrée était gratuite), entre la France et le régime génocidaire des généraux de Tel-Aviv, où les dirigeants du régime néo- nazifiant  (Macron, Sarkozy, Hollande, …etc.) sont allés unis pour applaudir les criminels israéliens contre l’humanité, face au peuple qu’ils sont censés représenter. 

Boualem « sent sale » la dissimulation de l’affaire de Kamel Daoud, l’ex-« islamiste », et son éditeur collaborationniste « Gallimard », qui a fait effondrer la littérature du mensonge, de la manipulation, de l’escroquerie intellectuelle, du bricolage, de la corruption, de la forfaiture, de l’extorsion, du vol et du viol des vivants et même des morts! Selon l’avocate de la victime Saâda Arbane (égorgée une seconde fois par celui qui n’a jamais perdu la lame), le prix littéraire de « Gallimard » en carton, raflé par  Kamel Daoud, est l’œuvre de Jupiter en personne sans traverser la rue. 

Boualem « sent sale » la dissimulation de l’immunité accordée par la colonie israélienne à ses amis criminels de guerre et criminels contre l’humanité, du régime génocidaire des généraux de Tel-Aviv, qui sont recherchés par la Cour Pénale Internationale pour le génocide qu’ils continuent à commettre contre le peuple palestinien. 

Boualem « sent sale » la dissimulation de la baston, du jeudi 28 novembre 2024, au Parlement du pays des lucioles, appelé grossièrement celui des « lumières », qui voudrait toujours « civiliser » les « indigènes » avec Belkheir Belhaddad (« dépité » des colons), président du groupe d’amitié France-Algérie, en association avec son Vice-président José Gonzalès, de l’OAS. 

Boualem « sent sale » le complot, car on s’interroge encore sur les raisons de son déplacement dans un pays qu’il décrit comme étant moche, dégoûtant, sale, et habité par un peuple indigents, pouilleux, et répugnant. Boualem « sent sale » le complot car il a dîné, la veille de son départ au pays qu’il hait viscéralement, avec Xavier Driencourt, le monstre moderne impliqué directement dans le détournement de l’avion d’Air-France (décembre 1994) à Alger, et conseiller stratégique du «Livre noir» (média d’extrême droite), et des cercles bruns hexagonaux. Il aurait même rencontré le raciste sinistre de l’intérieur, Bruno Retailleau. 

 Boualem « sent sale » le complot,  ce soldat déguisé en société civile par les colons,  car il arrive justement après l’échec de la tentative d’introduction d’armes de guerre par le système, à travers le port de Bejaïa, en août 2024, dans un véhicule parti de la ville de Marseille, que les douaniers et toutes les caméras n’ont pas vus.  

Boualem « sent sale » la manipulation et le complotisme élaboré dans les laboratoires coloniaux des chaos, puisque ce personnage diabolique qui prétend dénoncer le terrorisme « islamiste », vit en parfaite harmonie et en bon voisinage en France avec les coupeurs de têtes « Rachad » du peuple algérien, hébergés douillettement pour les besoins de guerre du système colonial. Faudrait-t-il lui rappeler que cette organisation terroriste manifeste dans les rues de Paris, sous haute protection policière, et possède même une chaîne de propagande télévisuelle dans le pays qui légifère depuis plus de 20 ans sur le terrorisme ? Ne parlons même pas des terroristes fascistes Makaks qui défilent, comme lui, avec le drapeau des terroristes du Grand Moyen-Orient, déclarant publiquement dans la langue de Molière que : « La France s’est couchée »! David Antonelli, auteur de cette proclamation, est très en retard, et il n’a qu’à demander à Marion Maréchal Le Pen, cette membre de la dynastie du tortionnaire d’Alger,  fifille de  Roger Auque (l’agent du Mossad) qui se fait passer pour la progéniture de Samuel Maréchal, un proche de la famille du borgne, de Bruno Mégret (comme le canard), de Bruno Gollnish et de Jean-Claude Martinez. Il est où l’Etat voyou ? Cette blonde doit corriger son texte avec du Tipp-Ex, sur l’écran de son ordinateur.   

Boualem « sent sale » car son avocat François Zimeray,  désigné par la maison Gallimard de la collaboration, n’est autre qu’un proche gangster de Netanyahou, qui a participé à l’exfiltration, depuis la Tunisie, de la fugitive Amira Bouraoui. Il était aussi l’avocat de Carlos Ghosn, le PDG de Renault, de Nissan et de l’alliance Renault-Nissan-Mitsubishi, qu’il a exfiltré du Japon, où il était emprisonné suite à son inculpation pour détournements de fonds et dissimulation de revenus, dans les publications financières de Nissan. 

Boualem « sent sale » puisqu’il est désigné « citoyen de déshonneur » par la ville de Nice, dirigée par le fasciste Christian Estrosi, dont le drapeau de l’Etat génocidaire orne le fronton de cette mairie israélienne de France.  Estrosi, ce fervent soutien du terrorisme de l’Etat génocidaire du régime des généraux de Tel-Aviv, qui pratique la punition collective à l’égard des habitants de sa ville, ne s’est pas gêné pour demander à Youcef Atal (lourdement sanctionné pour son soutien à la Palestine), le joueur de football du club de la ville, de condamner les Palestiniens génocidés, qualifiés par cet horrible personnage de « terroristes ».

La ville de Nice est aussi cette ville où le lobby sioniste a fait condamner la militante Amira Zaiter à 3 ans de prison, dont 2 ans avec sursis, pour son soutien aux victimes du génocide toujours en cours en Palestine. Les criminels franco- israéliens qui participent, au sein de l’armée israélienne, à l’extermination de toute une nation,  sont protégés par le législateur dans la colonie israélienne. On est bien en face d’un Etat de droit des puissants et d’une justice instrumentalisée à bon escient. 

Boualem « sent sale » non seulement par son appartenance au cercle colonial des génocidaires israéliens du CRIF, mais aussi par ses fréquentations,  depuis près de 20 ans du cercle de l’OAS (Organisation de l’Armée Secrète) des « algérianistes » qui n’a qu’un seul objectif : « une deuxième guerre d’Algérie ». Ce cercle des nostalgiques de l’Algérie-Française est installé au 1, rue du Général Derroja, à Perpignan, ville au rond-point du déshonneur du criminel Marcel Bigeard, dirigée par le fasciste Louis Aliot, qui a rendu hommage à Pierre Sergent, l’un des dirigeants de la branche armée de l’OAS métropolitaine,  en inaugurant une esplanade portant son nom. Ce cercle de l’OAS lui apporte beaucoup de soutien, et appelle à sa libération, comme s’il n y avait pas assez de Salan, de Lagailarde,  de  Susini en liberté, dans la douce colonie française du régime des généraux génocidaires de Tel-Aviv.  

Boualem « sent sale » sur le rassemblement des imminents membres du système colonial regroupés au sein d’un comité de soutien, à l’initiative de la « Revue politique et parlementaire » du régime, allant de la gauche traître à l’extrême-droite fasciste, et présidé par  Catherine Camus, fille d’Albert Camus, l’intime ami du terroriste André Rossfelder, partisan de l’Algérie française et lié à l’OAS,  pour laquelle il organisait les liquidations physiques des militants.   Sur le père de la Présidente de ce comité colonial, Edward disait : «Camus joue un rôle particulièrement important dans les sinistres sursauts colonialistes». Allons-savoir si ce n’est pas ce même comité du système colonial qui a soufflé l’idée émancipatrice à la boutique « ASOS », qui a commencé à produire des T-shirts Jack&Johns, affichant un timbre à l’effigie de l’Algérie française. 

Boualem « sent sale » sur le soutien infect que lui apporte Mathilde Panot,  en faisant le parallèle entre un membre de la galaxie des terroristes de l’OAS, et Christian Tein,  le leader de la liberté  du peuple Kanak, déporté dans les geôles  de la métropole coloniale israélienne. 

Boualem « sent sale » le fascisme moderne véhiculé par la pire propagande médiatique généralisée, dans la métropole du racisme mondial, de l’islamophobie, des guerres contre les faibles et les peuples innocents, que cette tranche de « ratons » à la queue leu-leu de cheval de Troie, a réussi à donner un nouvel élan. Il a juste réussi à mettre à nu et à cimenter les clans racistes de tout bords politiques (gauches, droits et extrême- droite) et les chiens de garde  qui piochent dans la même corbeille de désinformation impérialiste, qui ne voient pas le fait que la France refuse toujours d’appliquer la réciprocité, en rappelant son ambassadeur à Alger, puisque l’Algérie n’a plus d’ambassadeur à Paris depuis le 30 juillet 2024. Stéphane Romatet qui s’accroche comme un morpion à Alger, est en tournée complotiste à Paris, avec Montebourg « battant » le complot par le canal de l’amitié, Jean-Louis Levet, l’assurance coloniale des  pieds-noirs des transferts des fonds issus du pillage du peuple algérien et l’escroc  diplomatique de Dakhla, Kader Abderrahim, sous la houlette de Karim Amellal, « joint » avec André Azoulay, le vrai roi du cannabis maroquin.  

Cette colonie israélienne adore l’humiliation, elle attend que le peuple algérien chasse par la petite son représentant « complotiste » à Alger, un peu comme en Afrique, notamment depuis la libération du barbouze El Kadi. 

Les « dépités » pleurnichards  du système du FMI (France-Maroc-Israël),   sont allés pérorer en chœur au Parlement Européen de la corruption et de l’espionnage,  au nom des « Droits de l’Homme » d’exterminer les peuples du Sud, qu’il y a un génocide en Algérie contre le comploteur  Boualem « sent sale » !