Les Elections en Algérie et les Chants des Autres

Après un feuilleton orchestré autour du report des élections présidentielles en Algérie, un véritable coupe-file, annonçant la tenue des élections présidentielles « anticipées » le 7 septembre 2024, est tombé du ciel le 21 mars 2024. Cette annonce a mis fin aux spéculations des uns et des autres et coupé le souffle aux porte-voix loquaces parmi lesquels des crypto-indigènes, crypto-mercenaires, des rancuneux et des serviteurs dégénérés.
Quand la vie était sacrifiée pour éviter de ne mourir jamais du Covid mais de la guerre

Quoique la mort constitue l’étape finale naturelle de notre vie, elle semble, grâce notamment aux progrès extraordinaires de la médecine, avoir disparu de notre univers mental et de notre perception visuelle. En particulier, dans les sociétés développées où l’espérance de vie ne cesse d’augmenter, où les guerres et les famines ont disparu de leur paysage social (du moins jusqu’à présent car, à la faveur de la récession économique actuelle, la famine comme la guerre commencent à perturber cet ordonnancement paisible existentiel).
Proche-Orient: l’excellente lecture des évènements du président Tebboune

L’implication évidente de l’Algérie dans la mise à nu du complot sioniste contre la Nation arabe, confirme le retour tonitruant de l’Algérie, comme Etat-pivot dans la région et comme acteur incontournable sur la scène internationale via sa présence fort remarquée au sein du Conseil de Sécurité de l’ONU, notamment en ce qui concerne la question palestinienne.
Les discours sanitaires alarmistes servent à museler le peuple et muscler le pouvoir

On se souvient comment, au début 2020, à la témérité fièrement exhibée au cours des deux précédentes années par de nombreux peuples en révolte contre leurs dirigeants respectifs avait succédé la pusillanimité effarouchée vécue dans le confinement politique solitaire et apeuré.
Variole du singe: dernier épouvantail contagieux mis sur le marché de la peur

Comment justifier et légitimer la caporalisation des esprits, sur fond de la militarisation de la société associée à une stratégie de contrôle social électronique totalitaire, en vue d’enrégimenter les prolétaires dans l’imminente guerre généralisée, sinon par une énième vague de propagandes sanitaires virales, appuyées sur un traitement de l’information anxiogène propre à susciter un état de sidération et de psychose collective ?
Les meilleurs alliés de l’AES en général et du Mali en particulier

Dernièrement, à mesure que les critiques et les accusations contre l’Algérie fusent de toutes parts dans les réseaux sociaux, de nouveaux acteurs sont mis en avant et présentés comme des partenaires crédibles et de bonne foi.
Les balourdises de la Suissesse-Africaine Nathalie Yamb

J’écoute souvent les vidéos produites par Nathalie Yamb, une Suissesse-Africaine. Je les partage parfois lorsqu’elles sont pertinentes, et elles le sont généralement, malgré ses jugements de valeur qui manquent souvent de preuves ou de cohérence. L’expérience nous apprend l’importance de rester vigilant, de faire preuve de patience et de conserver des souvenirs, car ces aspects nous permettent de comprendre la vérité et les motivations derrière les actions. Notre Nathalie a finalement exhumé sa propre identité en abordant un sujet qui semble la dépasser en jouant presque la reporter de guerre depuis son bureau ou son domicile.
Kamel Daoud, l’écrivain qui vomit sur son peuple

En 2016, j’ai écrit un livre sur l’idéologie véhiculée par les écrits de Kamel Daoud[1]. En les analysant sous la grille précise d’Albert Memmi[2], il devenait évident que cet écrivain était l’archétype du néocolonisé qui cherche à « ressembler du plus près au blanc ». Plus encore, selon Memmi, « l’amour du colonisateur est sous-tendu d’un complexe de sentiments qui vont de la honte à la haine de soi »[3]. Mohamed Bouhamidi, mon ami philosophe, est plus explicite : « Le complexe du néocolonisé […] se traduit par l’obsession de s’extraire de l’indigénat, de se distinguer de son peuple »[4].
Algérie, Russie et Sahel: des objectifs communs mais des approches différentes

Dans le Sahel, il est vrai que nous ne sommes pas en phase avec la Russie.
Le Mali, terrain d’affrontements entre les grandes puissances

Afin que le Mali demeure pour longtemps encore un pays sous-développé, qui ne peut amorcer son décollage économique, et donc continue de constituer une réserve où l’on prélève ses ressources naturelles brutes à bon marché, sinon gratuitement, il est nécessaire d’alimenter et perpétuer l’instabilité.