Rosangela Mattei sur les pas de son oncle Enrico Mattei

Invitée aux festivités de la commémoration du 70ème anniversaire du déclenchement de la glorieuse révolution du premier novembre, Rosangela Mattei, nièce du Grand ami de la révolution algérienne Enrico Mattei, et membre de l’association internationale des Amis de la révolution Algérienne a tenu à remercier le président de la république Abdelmadjid Tebboune, et les responsables algériens, pour l’accueil qui lui a été réservée ainsi que sa famille, lors d’un entretien téléphonique qu’elle a accordée à Algérie54.
Interview de Macron au Maroc: «Ca ne s’écrit pas» !

En regardant la vidéo d’une interview de Macron en marge de sa visite au Maroc, cela m’a rappelé, exactement une ancienne interview accordée à un média algérien du temps où le Président français, en visite en Algérie, s’était fait encensé par une inspiration ensorcelante pour séduire davantage que pour convaincre.
Journée de la jeunesse africaine: Rendez-vous avec l’histoire et la prise de responsabilité pour une nouvelle Afrique

Au moment où la jeunesse africaine commémore le 1er Novembre fête de la jeunesse Africaine qui coïncide avec la célébration par le peuple algérien du 70 ème anniversaire du déclenchement de la glorieuse Révolution de Novembre 1954, cette jeunesse à le devoir impérieux de souvenir. De souvenir et de méditation.
Visite d’Emmanuel Macron: une lutte sans merci pour la succession dans une phase d’affrontement

La visite d’Etat du président français Emmanuel Macron au Maroc entamée ce lundi 28 octobre, confirme la guerre féroce à l’intérieur du palais royal pour la succession de Mohamed VI, très malade, affaibli, physiquement et mentalement, et très critiqué par sa vacance du pouvoir et des escapades jouissives.
Si tu veux être sélectionné pour le Prix Goncourt, cognes ton ex-femme!

EN 2019 Kamel Daoud a été condamné par la justice d’Oran pour avoir frappé son ex-épouse. Pas un mot dans les journaux français de qualité.
La crise de la gouvernance ou la politique bourgeoise à l’ère de la récession économique (IX)

Ainsi, nous vivons la fin d’un monde capitaliste, celui de la démocratie bourgeoise avec son système politique, ses Parlements, ses droits, ses pouvoirs et contre-pouvoirs devenus superflus car, désormais, les lois et les mesures despotiques sont dictées directement par le pouvoir exécutif, autrement dit l’Etat, ce conseil d’administration du Grand capital international, sans être ratifiées par les Parlements.
La France, sous le régime de Macron, s’enfonce dans l’absurde, la subordination et la décadence. (partie II et fin)

La France a perdu de son l’influence en Afrique et dans le monde. C’est le résultat de sa politique néocoloniale infernale, de son arrogance et son double jeu avec les terrorismes. La volonté des Africains de s’en défaire est fondamentale. Les errements de Macron sur la question Sahraoui violent les résolutions de l’ONU et les arrêts de la Cour de justice de l’UE. La France ne sanctionne pas les sionistes qui font l’apologie du terrorisme israélien. Une politique appuyée par une presse indigne, assujettie aux américano- sionistes.
Haine viscérale de «l’Arabe» : un élément constitutif de la culture française

Dans notre dernier article «Quand les préjugés anti-Arabes deviennent des vérités pestilentielles», on a démontré comment de nombreux Algériens avaient honteusement succombé aux stéréotypes arabophones et islamophobes.
La France, sous le régime de Macron, s’enfonce dans l’absurde, la subordination et la décadence. ( partie I)

La France a perdu de son l’influence en Afrique et dans le monde. C’est le résultat de sa politique néocoloniale infernale, de son arrogance et son double jeu avec les terrorismes. La volonté des Africains de s’en défaire est fondamentale. Les errements de Macron sur la question Sahraoui violent les résolutions de l’ONU et les arrêts de la Cour de justice de l’UE. La France ne sanctionne pas les sionistes qui font l’apologie du terrorisme israélien. Une politique appuyée par une presse indigne, assujettie aux américano-sionistes.
Quand les préjugés anti-Arabes deviennent des vérités pestilentielles

Il y a quelques années, des chercheurs américains ont fait, dans le cadre d’une étude de psychologie sociale, une expérience. Ils ont choisi deux groupes qu’ils ont envoyés en Afrique. Le premier était composé d’Américains racistes, le second d’antiracistes. A l’issue de leur séjour d’un mois en Afrique, les chercheurs ont soumis les participants des deux groupes à une série de questions relatives à leurs impressions sur les Africains.