Est-ce un scandale qui ne dit pas (encore) son nom qui va bientôt secouer cette édition du SILA? Il s’agirait selon des sources concordantes de la vente du saint coran en dehors de la législation en vigueur par des maisons d’éditions ou plutôt des “bazars” spécialisés dans la vente pur et simple de copies du livre sacré qu’ils n’ont pas éditées comme le stipule pourtant et très clairement le règlement intérieur du SILA.
Il est en effet strictement interdit pour une maison d’édition algérienne de vendre le produit d’une maison d’édition étrangère. Et pourtant les copies de piètre qualité du Coran non confirme à la réglementation en vigueur sont sur les étals du SILA.
Les responsables du SILA devraient intervenir pour mettre un terme à ces dépassements qui pénalisent lourdement les éditeurs honnêtes et respectueux de la loi.
Tout comme devraient intervenir les responsables du ministère des affaires religieuses qui ont un droit de regard sur l’édition du saint Coran en Algérie. Reste une question: l’entrisme des maisons d’éditions étrangères en Algérie notamment le livre religieux dont le saint Coran ne devrait-il pas attirer l’attention?
