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Nos Harkis de petites vertus et Fatima, la terre et la femelle violée et déshonorée - Algerie 54

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Nos Harkis de petites vertus et Fatima, la terre et la femelle violée et déshonorée


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Par Slim Bensali

 L’honneur se conjugue par la volonté d’une personne à fermement défendre sa dignité et jalousement protéger tout ce qui lui est précieux et apprêté. C’est une marque d’estime que la personne porte à elle-même ou qui lui est portée par la société dont elle découle. C’est aussi une forme de respect qui se gagne par des actes admirés par la collectivité.

Durant l’antiquité, l’honneur était une marque de considération attachée à la vertu et au mérite, et dont on jouissait, comme une récompense, après le combat. La défaite était cruelle et le vainqueur pouvait humilier son ennemi. Le vaincu perdait ses biens, y compris les plus précieux, et son honneur dans l’humiliation. Pour échapper au déshonneur, souvent il préférait se suicider. Cléopâtre, l’Égyptienne, préféra mourir que d’être exhibée comme vaincue dans sa défaite face à Auguste.

Actuellement, que ce soit dans les sociétés occidentales ou berbéro-arabo-musulmanes, l’honneur de l’homme est beaucoup plus lié à son attachement à sa terre et à sa patrie, ainsi qu’à la protection qu’il procure à sa femme, ses enfants et sa famille. Mon ami Moh disait que ‘’l’honneur de l’homme est entre les jambes de sa femme’’.  Nos aïeux avaient vaillamment et hardiment guerroyé pour l’honneur de leur pays, de leurs femmes et de leurs familles et nous ont honorablement légué ce vénérable patrimoine et ce respectable capital dont nous jouissons et que nous défendons avec honneur et dignité.

Observateur averti, me souciant de ce qui arrive à tous ceux à qui un lien de sang me lie, je ne peux me sentir apaisé en sachant le sort réservé à Fatima, notre sœur malmenée et humiliée. Située sur notre flanc ouest, elle vit le déshonneur absolu, contrainte et obligée. Fatima la terre profanée et violée. Fatima la femelle salie et souillée.

Je reviens au temps de Kadhafi, le mégalomane aliéné, quand il était encore sur terre et jouissait des pouvoirs que lui procurait sa position de roi des roi africains et sa mainmise dictatoriale sur son pays. Il avait eu, un moment donné, pitié de ses sujets, et avait pensé qu’il leur fallait plus que les Libyennes pour assouvir leurs sexuelles appétits. A qui, pensez-vous, avait-il fait appel s’il vous plait ? A Fatima la marocaine, en connaissance de cause je vous le dis. Une fois par semaine, dans un bateau reliant Tanger à Tripoli, son non moins aliéné homologue, Hassan II le monarque, lui envoyait Fatima la prostituée. Contrainte par la misère et la pauvreté dans lesquelles son immoral commandeur des croyants l’avait pour longtemps immergé, Fatima se donnait aux plus offrants dans les miséreux faubourgs de Tripoli. Avec les sous qu’elle gagnait, en cédant son corps et son honneur à qui la payait, elle faisait vivre, au Maroc, sa malheureuse petite famille. Et ce n’est pas ’’Si Mostfa’’, le colonel de Kadhafi responsable de la valise emplie de dollars à distribuer, qui me contredira. Celui-là qu’Abbasi Madani et Ali Belhadj, ces champions de l’islamo-terrorisme dans notre pays, avaient rencontré chez lui dans sa maison à Tripoli, au début de leur misérable quête du pouvoir, comme des mendiants pour les quelques liasses de billets verts qu’il leur fallait. Ce n’était pas pour défendre l’honneur de Fatima la misérable prostituée évidemment, mais plutôt pour détruire notre société, car ces deux salopards n’avaient que faire de l’honneur de Fatima ni de celui de notre patrie.

Dubaï, la ville bling-bling à la tour la plus culminante dans le ciel, au centre commercial le plus étendu au monde et aux extravagants palaces qui font la fierté, certainement contestable pour les connaisseurs, des locaux et de leurs émirs dépravés, se transforme le soir en un bordel à ciel ouvert, dans la rue et dans les hôtels aux multiples boîtes de nuit.  Les touristes et les nombreuses personnes de passage ont bien besoin de s’amuser.  Une faune féminine, venue de nombreux pays et spécialisée dans les plaisirs de nuits, s’est depuis pas mal de temps, installée, avec l’agrément et le consentement des autorités. Fatima, la marocaine prostituée aux cheveux noir corbeau et bien traités à la kératine, est la plus appréciée et la plus désirée. Elle est surtout réservée spécialement aux locaux qui ne s’inquiètent vraiment pas du contenu de leurs portemonnaies. Son actuel commandant des croyants, ce délinquant roi détraqué, est bien informé et se fiche complètement de l’honneur de Fatima tant qu’elle continue à envoyer de la monnaie pour faire vivre sa petite famille et, par la même occasion, renflouer en devises les sacoches du trésor de la monarchie. La misère et la pauvreté dans lesquelles son sacripant monarque l’a immergé lui font vivre la honte et le déshonneur et lui font subir l’humiliation et le non-respect. Et ce ne sont pas les hébreux sionistes, ces nouveaux débarqués qui souillent et salissent la terre des consentants émiratis qui me contrediront. Eux qui sont déjà habitués, et depuis pas mal de temps, à Fatima dans son propre pays et qu’ils retrouvent joyeusement à Dubaï et à Abu Dhabi ainsi qu’à Manama, la capitale bahreïnie,

Marrakech, Casa et Tanger n’ont rien à envier à Dubaï ni à Abu Dhabi. Terre marocaine dominée, sous monopole des occidentaux et surtout des ‘’frenchies’’. Terre marocaine offerte béatement et bêtement à l’euro et aux pétrodollars sans honneur et sans gloire. Visitée et revisitée par ces touristes détraqués, à la recherche de la chair fraiche et bon marché. Fatima l’indigente est bien disposée, disponible et prête à les accueillir et les soulager, poussée indubitablement par la misère et la pauvreté dans lesquelles son voyou monarque l’a immergé. Et ce n’est pas DSK qui me contredira. Lui, le sulfureux spécimen des nuits torrides de New York, Lille et Paris. Après ses déboires sexuels au Sofitel et au Carlton, il n’a pas trouvé mieux que de se réfugier chez Fatima, la femelle humiliée et la terre encrassée. Il ne se soucie aucunement de l’honneur de Fatima, lui qui a fui son pays dans un souci de minimiser le déshonneur et la salissure qu’il a portés, par ses immorales frasques, à sa femme et à sa grande famille.

La casquette sioniste a finalement posé ses malles et ses valises chez Fatima, la terre profanée. L’ancien ennemi est devenu le frère bien-aimé. En conquérant dominateur passionnément accueillie, le mâle bien baraqué a été invité pour vigoureusement défoncer et énergiquement fesser Fatima, la terre violée. Notre monarque détraqué ne s’est aucunement senti gêné de recevoir et avec grand honneur, une entité dont l’actuel Premier Ministre est un tueur en série. Naftali Benett avait officiellement reconnu avoir, de ses propres mains, assassiner. Je le cite, en 2013, ’’J’ai tué beaucoup d’arabes dans ma vie. Et il n’y a aucun problème avec ça’’. L’honneur de Fatima la femme et la terre déshonorées, ne fait pas partie des priorités de notre monarque égaré et dévoyé. Et ce ne sont pas Hichem Abboud ou Abdou Semmar, ni Larbi Zitout ou Anouar Malek, qui me contrediront. Ces Harkis de petites vertus qui se sont alliés au makhzen, sans honneur et sans dignité, pour dénigrer et vilipender leur propre pays et qui ont accepté d’être ordonnés et dirigés comme des ânons, par les misérables sous que les émirs du golfe daignent leur octroyer. Ceux-là ne connaissent ni l’honneur ni la vertu et ne seront jamais capables de défendre ne serait-ce que l’honneur de leurs petites familles. Penser à eux pour se préoccuper de l’honneur de Fatima est incontestablement trop osé. Bourricots de dernier degré, ils ont déshonoré leurs familles et trahi leur pays, avec leurs sottises et leurs idioties,

Qui défendra l’honneur de Fatima ? Tahar Benjelloun ? L’écrivain marocain habitué aux salons feutrés de Paris a déjà choisi son camp et s’est mis à plat ventre pour plébisciter les accords d’Abraham, comme il a l’habitude de se courber et baiser la main de son monarque dévirilisé.  Ou Kamel Daoud ? Notre écrivain ingrat a lui aussi, en vomissant notre société, choisi son camp et est allé jusqu’à nous accuser tous, coute que coute, de vouloir déclarer la guerre au makhzen, ignorant intentionnellement que notre souci est plutôt de libérer notre sœur Fatima, la décrasser et la sortir du déshonneur et de la salissure dans lesquelles ses monarques l’ont immergé.

Qui défendra l’honneur de Fatima ?  Seul le peuple du fin fond marocain, opprimé et asservi, privé de ses libertés depuis une éternité, appauvri, affaibli et assujetti à un makhzen décadent et vivant encore dans ses croyances d’antan, qui pourra, en se soulevant courageusement et en révolutionnant hardiment, libérer Fatima de cette abaissante et avilissante emprise monarchique, dirigée par un roi vil, ignoble et infâme. Cette dégradante monarchie qui a plongé Fatima dans la misère et la pauvreté, qui l’a volé et violé et l’a couverte de déshonneur et d’ignominie.

Frères marocains, l’heure de sauver Fatima et de montrer au monde entier, que vous êtes des hommes et des femmes d’honneur et de vertu, a bel et bien sonnée. Il est temps pour vous de vous lever et de vous mettre debout sur vos pieds, et ne plus jamais vous courber ni baiser la main de ce monarque dépravé et détraqué. Fatima sera fière de vous à l’éternité.

Slim Bensali

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