Par Djamal Yalaoui, avocat au barreau de Paris et Correspondant associé au barreau de Oran
Quelques mois avant la crise des subprimes de 2008 aux USA, est apparu curieusement un virus : le H5N1 dit aussi virus de la grippe aviaire.
Le virus H5N1 devait être une pandémie, mais manifestement la dose n’avait pas été assez puissante, puisque très peu de personnes en ont été infectées, et donc peu de gens en ont eu, réellement, connaissance… ou alors ils ont tout simplement rangé cette épisode dans les tréfonds de leur mémoire.
Pourtant, la note fût salée !
La crise financière des subprimes de 2008 qui était une escroquerie bancaire, puisqu’on a accordé, sciemment, des crédits immobilier en sachant que les bénéficiaires ne pourraient pas les rembourser en cas de hausse des taux d’intérêt.
Le coût de cette escroquerie en bande organisée a été de 20.000 milliards de dollars (20 trilliards) pour le monde et donc l’humanité.
Cette crise a tué indirectement des milliers d’êtres humains dont personne a parlé et personne n’a été en prison !
Alors que le pauvre quidam qui s’est trouvé dans la nécessité de voler pour survivre, sera poursuivi, jugé, condamné et en cas de récidive emprisonné !
L’unique dégât collatéral, pour les « banksters » (les banquiers voyous et criminels en col blanc) a été la mise en faillite, par l’Etat fédéral américain, de la banque Lehman Brothers pour des raisons, d’abord et avant tout politique, au bénéfice de la banque Goldman Sachs …et aussi pour l’ériger en exemple et rassurer tous les clients des banques du monde.
Le président de la Fédération bancaire française et du Crédit Agricole, Georges Pauget déclarait le 27 octobre 2008 au Journal du Dimanche (JDD) « les banquiers ont commis des erreurs , nous en avons déjà tirés les leçons ».
A l’époque 1O,5 milliards d’euros, des impôts des français, avaient été injectés par le nain à talonnette Nicolas Sarkozy dans six banques qui aurait dû être mise en faillite, dans un système capitaliste au fonctionnement classique.
En effet, dans le système capitaliste industriel on élimine les « canards boiteux » alors que dans le capitalisme financier et digital, on maintient en vie sous coma artificiel les « zombis », à l’aide d’appareils respiratoires artificiels.
Alors que, l’artisan ou les PME-PMI, pour le moindre impayé sont assignés devant les tribunaux de commerce pour être placés en redressement ou liquidation judiciaire, et le si le petit entrepreneur n’a pas pris les devants pour lui même se dénoncer et faire une déclaration de cessation de paiement, il encourt une condamnation pour interdiction de gérer une affaire, ou bien pire encore on lui saisie ses biens personnels, même s’il gérant ou dirigeant d’une société prévue pour le protéger.
Quant à Georges Pauget, il coule depuis une paisible retraite et perçoit une retraite annuelle de 796.260€, grâce à l’argent des clients du Crédit Agricole !
Parallèlement les frais bancaires, auxquels personne ne comprend rien, ont augmenté de 1000% entre 2008 et aujourd’hui et ce n’est pas fini !
Les banksters continuent à croire que les arbres poussent jusqu’au ciel. Aucune leçon, raisonnable, n’a été tirée de la crise de 2008 !
Bien au contraire, tels des junkies les banksters ont continué à spéculer et à jouer au casino de la bourse, toujours plus, avec l’argent de leurs clients et la complicité de l’Etat, sous la présidence de François Hollande (dit aussi Flamby ou Porcinet, selon les goûts culinaires).
Le porcinet à la sauce flamby a même menti aux français en leur faisant croire qu’il avait réformé le système en séparant la banque de guichet (pour les honnêtes gens) et la banque d’affaires (pour les voyous en col blanc et les idiots utiles).
Selon Albert Einstein , la définition de la folie est de « faire la même chose encore et encore et attendre des résultats différents », elle semble parfaitement coller au comportement pathologique des banksters.
Le jeudi 12 mars 2020 a eut lieu l’un des plus grands effondrements financiers de l’histoire moderne (L’histoire nous rappelle le jeudi noir, du 24 octobre 1929, qui marque le début de la plus grande crise économique du XXème siècle et qui est à l’origine de la seconde guerre mondiale).
Aussitôt la banque centrale américaine a sorti le bazooka en mettant les taux d’intérêts à 0, ce qui est un très mauvais présage car cela signifie que la situation économique va être apocalyptique.
Depuis, toutes les banques centrales : la FED, la BCE (banque centrale européenne) et les banques centrales du Japon, du Royaume-Uni, du Canada et de la Suisse inondent les marchés sous les liquidités. En fait c’est de la fausse monnaie, qui ne représente rien sinon que le clic de l’ordinateur qui l’a crée : on remplit pas un tonneau sans fond avec du vent !
Les USA ont dépensé l’équivalent de la totalité de la dette des étudiants américains (aux USA les études supérieures sont payantes et très chères) pour soutenir le marché boursier qui n’a tenu que 15 minutes.
C’est 1.000 milliards de dollars qui sont partis en fumée en l’espace de quelques minutes.
Désormais, les banques centrales impriment (ou clic de manière compulsive) comme si une apocalypse nucléaire avait recouvert de son nuage radioactif toute la planète.
On ne raisonne, même plus, en trilliard mais en quadrilliard de dollars (des millions de milliards), ils sont véritablement devenus fous à lier : c’est un véritable crime contre l’humanité !
Le plus grand génocide de tous les temps, est à venir
Mais le président Richard Nixon dont le cynisme était un puits sans fond, et qui a mis fin aux accords de Breton Woods le 18 décembre 1971 (officiellement) avait jeté à la figure du monde entier : « The dollar is our money, but it’s your problem » (le dollar est notre monnaie, mais c’est votre problème). L’argent ne valait plus rien et c’est le reste du monde qui allait financer la croissance yankee jusqu’à ce jour.
Les grands médecins de l’économie (l’économie comme la médecine ne sont pas des sciences exactes !) FED, BCE… et tous les experts en « enfumage de cerveaux » nous racontent depuis la crise de 2008 que le « petit bankster » plein de tuyaux et sous perfusion va guérir et pourra même courir le marathon de Wall Street, les doigts dans le nez !
Manifestement, même une perfusion avec un tanker pétrolier n’y fera plus rien. Mais ils pourront, toujours, nous déclamer avec des trémolos dans la voix devant les caméras, que malgré tous les soins intensifs, le Covid-19 et le pangolin ou la chauve souris, ont eu « le dernier maux » !
Cependant, je considère que le Covid-19 n’est que l’étincelle, salutaire pour l’instant et pour le système, qui a mis le feu aux poudres.
Pourquoi ?
Car le ver qui s’était niché dans le fruit depuis 2008 a bien grandi et a atteint la taille d’un crotale, au poison redoutable. Il suffit de regarder l’évolution du cours des actions de quelques banques européennes entre 2007 et 2020 : faites attention au malaise vagale !
- DEUTSCHE BANK : 159€ à 5€
- COMMERZBANK : 292€ à 3€
- BNP : 93€ à 27€
- SOCIETE GENERALE : 158€ à 14€
- CREDIT AGRICOLE : 34€ à 6€
- UNICREDIT : 749€ à 7€
- DEXIA : 30€ à 0,40€
- ING BANK : 47€ à 5€
- MONTE DEL PASCHI : 90€ à 1€
- UBS : 64Fs à 7Fs
La quasi totalité des banques européenne sont soient mortes soient elles sont shootées à la planche à billet, jusqu’à l’overdose et donc c’est la mort programmée!
De surcroît, avec les taux négatifs, le prix du pétrole qui a atteint des prix négatifs…Et le coronavirus, la DEUTSCHE BANK est une bombe à retardement qui représente 37 trilliards d’encourts (3700 milliards).
Et voilà qu’une nouvelle pandémie arrive, juste au bon moment, en 2020 pour sauver les banksters et les irresponsables de la FED, et qui a fait sauter de joie tous les démocrates et ennemis de Trump.
Les démocrates avaient demandés une crise financière depuis octobre 2019, juste avant l’élection présidentielle de novembre 2020, afin d’empêcher le Président TRUMP d’être réélu.
C’est un vrai miracle cette pandémie de Covid-19, comme celle du H5N1 qui avait permis de masquer la tragédie bancaire, un miracle que les américains appellent le « Hail Mary ».
Le président Georges BUSH fils disait, lors de la guerre contre l’Irak de feu Saddam Hussein, que parfois il fallait créer les miracles !
C’est ainsi, que la CIA avait payé, secrètement des millions de dollars un général irakien pour obtenir l’emplacement de toutes les troupes du Rais Saddam Hussein, qui étaient stationnées devant Baghdad.
Nul doute que la bataille de Baghdad aurait été une véritable Stalingrad pour les soldats, obèses, de l’oncle Samuel…schootés à la mal bouffe et aux anxiolytiques !!
Autre époque, autre miracle qui prend sa source dans le livre de la CIA publié en 2006 et présenté par Alexandre ADLER aux éditions Pocket (ISBN 2-266-16542-9). Ce livre fait partie du document National Intelligence Council.
On relève à la page 106 de cet ouvrage : « Le processus de mondialisation, si puissant soit-il, pourrait connaître un ralentissement notable, ou même un coup d’arrêt. Hormis un conflit planétaire majeur, que nous jugeons improbable, une pandémie serait l’autre événement de grande échelle qui, selon nous, pourrait stopper ce processus. Toutefois, d’autres évènements catastrophiques, comme des attaques terroristes, seraient susceptible de le ralentir. Certains experts croient que l’apparition d’une nouvelle pandémie n’est qu’une question de temps. Le phénomène serait comparable au virus de la grippe de 1918-1919 qui, d’après les estimations, tua vingt millions d’individus dans l’ensemble de la planète… »
Dans le livre blanc de la CIA, daté du 5 février 2009 intitulé « Comment sera le monde de demain ? ».
On relève à la page 250 de document : « L’apparition d’une nouvelle maladie respiratoire humaine virulente extrêmement contagieuse, pour laquelle il n’existe pas de traitement adéquate, pourrait déclencher une pandémie mondiale. Si une telle maladie apparaît, d’ici à 2025, des tensions et des conflits internes ou transfrontaliers ne manqueront pas d’éclater.
En effet, les nations s’efforceront alors-avec des capacités insuffisantes-de contrôler des mouvements de population cherchant à éviter l’infection ou de préserver leur accès aux ressources naturelles.
L’apparition d’une pandémie dépend de la mutation génétique naturelle, de la recombinaison de souches virales déjà en circulation ou encore de l’irruption d’un nouveau facteur pathogène dans la population humaine. Les experts voient dans les souches hautement pathogènes de la grippe aviaire telle que H5N1 des candidats probables à ce type de transformation, mais d’autres agents pathogènes comme le coronavirus du SRAS et diverses souches de la grippe auraient les mêmes propriétés.
Si une maladie pandémique se déclare, ce sera sans doute dans une zone à forte densité de population, de grande proximité entre humains et animaux, comme il en existe en Chine et dans le sud-est asiatique où les populations vivent au contact du bétail. Des pratiques d’élevage non réglementées favoriseraient la circulation d’un virus comme le H5N1 parmi les populations animales, augmentant les chances de mutation d’une souche susceptible de provoquer une pandémie pour se propager rapidement, il suffit que la maladie apparaisse dans des régions a forte densité humaine.
Dans un tel scénario, la maladie tarderait a être identifiée (…) Il faudrait des semaines pour que les laboratoires fournissent des résultats définitifs confirmant l’existence d’une maladie risquant de muter en pandémie.
Entre temps, des foyers se déclareraient dans des villes du Sud-Est asiatique. En dépit de restriction limitant les déplacements internationaux, des voyageurs présentant peu ou pas de symptômes pourraient transporter le virus sur les autres continents.
Les malades seraient de plus en plus nombreux, de nouveaux cas apparaissant tous les mois. L’absence d’un vaccin efficace ou d’immunité dans le reste du monde exposerait les populations à la contagion. Dans le pire des cas, ce sont de dix à plusieurs centaines de millions d’Occidentaux qui contracteraient la maladie, et les morts se compteraient par dizaine de millions. Dans le reste du monde, la dégradation des infrastructures vitales et des pertes économiques à l’échelle mondiale entraineraient l’infection d’un tiers de la population du globe et la mort de centaines de millions d’êtres humains. »
Au regard de ces deux textes on comprend, désormais, mieux la collusion et la complicité de la CIA avec les démocrates et des Chinois avec l’Union européenne, contre le Président TRUMP (La France a fourni le laboratoire de WUHAN à la Chine).
Comment ? Pourquoi ??
- La CIA : elle en veut au Président TRUMP qui est venu bousculer l’Etat profond (Deep State) en contrariant ses plans à l’égard de la Syrie et à l’égard de l’Arabie Saoudite. La Syrie devait être annexée par Israêl et l’Arabie Saoudite allié d’Israêl, face à l’Iran, devait recevoir le Yemen sous son protectorat ;
- Les démocrates : ils n’ont pas digéré qu’un Donald Trump qui ne fait pas partie de l’Establishment puisse se rapprocher de le Russie du Président Poutine, et qu’il fasse de la résistance face à l’Etat profond, dont les portes flingues sont la CIA et la FED, notamment :
La Chine : le Président Trump a demandé aux entreprises américaines de relocaliser leurs centres de production aux Etats-Unis et a levé des taxes douanières punitives à l’encontre de la Chine car il considère, à juste titre, que les balances commerciales sont trop déséquilibrées… tout cela est en cohérence avec son slogan « Make América great again ! » ;
L’Union Européenne : Le président Trump a imposé aux européens, des droits de douanes punitifs et leur a donné injonction de payer au juste prix le parapluie militaire, américain, pour leur sécurité…
Compte tenu de ces éléments, on comprend mieux les tirs groupés et en rafale contre un seul homme : les médias passent le plus clair de leur temps a présenter le Président TRUMP, soit comme un clown irresponsable ou soit comme un dangereux psychopathe !!
On appréhende, sous un éclairage nouveau, la position du Président Trump à l’égard du Covid-19 et son opposition au confinement du peuple américain, d’une part, et des accusations directes et graves contre la Chine, sans jamais mettre en cause la Russie pourtant alliée militaire et partenaire commercial privilégié de la Chine, d’autre part.
Le Président Trump est très populaire aux Etats-Unis, et si l’Etat profond s’avisait de le faire assassiner, comme les Kennedy il y aurait inévitablement une guerre civile, car son électorat est surarmé, modeste et n’a plus rien à perdre au regard de la terrible crise économique qui s’est répandue comme une nuée de sauterelles affamées, faisant 30 millions de chômeurs en quelques semaines ; les bobos LGBTQ de l’EST se feraient massacrer. D’ailleurs, à New York les victimes du Covid-19 sont les très pauvres.
Les ultra-riches de New York ont vite compris la situation et se sont rués sur leur banque demandant des retraits oscillants entre 10.000$ et 100.000$ pour quitter la ville et se réfugier sur la côte des Hamptons où se trouvent leurs résidences secondaires de luxe !
In fine, Il convient de relever au passage que le miracle Covid-19 a été un cadeau de Noel, avant l’heure, puisqu’une centaine de PDG de multinationales ont démissionné entre fin décembre 2019 et fin février 2020 (dont Bill GATES du conseil d’administration de Microsoft), donc avant la pandémie publique, mais SURTOUT ils ont vendu toutes leurs actions avant le grand krach du 12 mars 2020.
Cela me rappelle le numéro 3 de la CIA qui avait vendu toutes ses actions des compagnies aériennes, juste avant le 11 septembre 2001.
De même que les Rothschild ont construit leur empire bancaire et financier sur une « fake news », puisque la bataille de Waterloo a peine achevée, ils avaient propagé dans Londres que Napoleon avait gagné la bataille ; ce qui avait engendré une panique bancaire qui leur avaient permis de racheter à vil prix les joyaux de la finance britannique.
Tout cela pour vous dire que certaines personnes ont beaucoup de chance ou plutôt beaucoup d’informations !
Finalement, à l’aune de ces observations on constate que c’est moins la guerre contre le Covid-19 que contre l’effondrement financier et bancaire.
D’ailleurs, le gouverneur de la banque de France, François Villeroy de Galhau (ex président de la BNP) a déclaré au Journal Du Dimanche, à propos des centaines de milliards sortis pour sauver l’économie c’est à dire les banques et grosses entreprises « qu’il faudra rembourser cet argent » !
Il est clair que cela passera par des semaines de travail de 60H00, une saisie des comptes bancaires comme les chypriotes, les grecques et désormais les libanais.
C’est d’ores et déjà en partie le cas puisque à la Banque Postale on peut lire sur les panneaux dans les agences : « Attention : pour les retraits égaux ou supérieurs à 1500€, veuillez fournir des justificatifs de dépense. Un préavis de 72H00 est nécessaire. ».
L’argent déposé en banque n’appartient plus à ceux qui l’ont gagné à la sueur de leur front, il est sous l’autorité du maître-banquier.
La le LCL a adressé un courrier à ses clients, de base, qu’à compter du 2 juin 2020 ils ne pourront plus retirer de l’argent liquide au DAB. C’est la fin de l’argent liquide et le début de l’esclavage.
Les banquiers sont des invertébrés idéologiques qui n’ont comme horizon que le profit et comme arc-en-ciel l’argent, le gain, les bénéfices au parfum « gouttes de sang ». En biologie, on définit cela sous le terme de parasite !! Ils ne toucheront la terre que le jour de leur enterrement.
Face à ce désastre planétaire et au génocide humain à venir en raison des tsunamis économiques a répétition qui vont donner lieu à la famine, aux suicides de masse et aux pandémies ; il n’y a pas de responsable ni de coupable en vue.
Cependant, il semble que les Frankenstein de l’immeuble situé avenue du NOM (Nouvel Ordre Mondial) sont contaminés par un virus décadent et satanique. Il faudra, donc très vite, confiner ceux qui détruisent l’humanité avec leurs armes terroristes : le terrorisme islamiste sous faux drapeau, le terrorisme bactériologique et le terrorisme digital.
