Condamnée par la quasi totalité de la communauté internationale pour son génocide des peuples palestinien et libanais, l’entité sioniste tente bien que mal détourner l’opinion publique internationale, via des plans de victimisation, et de faux arguments d’antisémitisme, soutenue il faut bien le préciser par des médias mensonges et de politiques véreux manquant totalement d’objectivité et de crédibilité.
Et pour mieux comprendre la conspiration sioniste, visant à détourner l’opinion publique internationale sur son génocide quotidien des palestiniens et des libanais, il faut analyser les deux évènements qui se sont produits ce jeudi 6 novembre à Amsterdam et El Qods Occupé, à l’occasion du match d’Europa League entre le club néerlandais de l’Ajax d’Amesterdam et le club sioniste de Maccabi Haifa, et à l’occasion de la visite du chef de la diplomatie française Jean-Noël Barrot à l’église Eleona, propriété nationale française et l’arrestation de deux gendarmes français, refusant la présence de soldats sionistes dans ce lieu de culte et de recueillement français.
Pour mieux expliquer la conspiration et la détermination à se donner une image de victimes agressées par des néerlandais d’origine arabe et musulmane, il faut en premier lieu voir le scénario de provocation concocté par le Mossad qui avait envoyé ses agents accompagner l’équipe sioniste, comme le souligne le média sioniste The Jerusalem Post, dans une de ses précédentes livraisons.
Sur ce plan, il faut noter que la police néerlandaise avait arrêté plusieurs militaires sionistes en activité au Tsahal, venus semer le chaos, et provoquer une réaction des personnes agressées.
La chronologie des événements, cependant, met l’accent sur les Ultras du Maccabi, de vieilles connaissances pour leurs proclamations contre les Arabes et avec des incidents antérieurs dans les lieux où leur équipe a joué. Ce jeudi, les supporters les plus radicaux du club ont boycotté et interrompu la minute de silence tenue en Hommage aux victimes des inondations en Espagne.
Dans les heures précédentes, des radicaux sionistes avaient semé le chaos dans les rues d’Amsterdam en arrachant des drapeaux palestiniens des façades et en agressant des chauffeurs de taxi d’origine arabe.
Les hordes sionistes dont le slogan est « mort aux Arabes » – ont scandé des slogans dans les rues tels que « Que l’armée israélienne massacre les Arabes ! » ou « Il n’y a plus d’écoles à Gaza parce qu’il n’y a plus d’enfants », se vantant de l’opération militaire sioniste qui a fait plus de 43 000 morts dans la bande de Gaza et réduit l’enclave palestinienne en ruines. après avoir subi 16 années de blocus.
Ce n’est pas la première fois que leurs actions violentes sautent en première ligne. Le 7 mars dernier, des radicaux du club sioniste ont attaqué des réfugiés à Athènes à l’approche du match entre le Maccabi et l’Olympiacos au stade Karaiskakis. Après avoir entendu le chant « Israël (sic), liberté de la Palestine », des radicaux du Maccabi ont répondu par la violence et un affrontement a éclaté avec les supporters du club local.
La classe politique française sous diktat sioniste
Pour mieux résumer la situation en France, qui s’apprête à accueillir un gala sioniste, en soutien au génocide du peuple palestinien, en présence du raciste et terroriste ministre des finances Bezalel Smoritch, et aussi le match France- entité sioniste, qui sera sans aucun doute sous haute surveillance dans la foulée des appels de sa délocalisation et la polémique suscitée par le Tifo « Free Palestine » du stade de Parc des Princes, placardée par les fans du PSG, il est nécessaire de mettre sous la loupe le comportement scandaleux de certains hommes politiques français, comme Fabien Roussel, qui au lieu de défendre les gendarmes de son pays, humiliés et arrêtés par les services sionistes de sécurité, est allé mensongèrement soutenir les agresseurs sionistes d’Amesterdam, devenus victimes pour plaire au CRIF. Le président du PCF qualifie ceux qui défendaient leurs biens et intégrité physique de la horde sioniste, d’antisémitisme.