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Depuis Dubai: Tucker Carlson loue les qualités de Poutine

Après avoir séjourné à Moscou, où il a réussi à interviewer le président russe Vladimir Poutine, malgré l'opposition des dirigeants et médias occidentaux, Tucker Carlson était ce lundi 12 février à Dubai pour assister au Sommet mondial des gouvernements et ne tarda pas à critiquer l'administration américaine dirigée par Joe Biden.

Après avoir séjourné à Moscou, où il a réussi à interviewer le président russe Vladimir Poutine, malgré l’opposition des dirigeants et médias occidentaux, Tucker Carlson était ce lundi 12 février à Dubai pour assister au Sommet mondial des gouvernements et ne tarda pas à critiquer l’administration américaine dirigée par Joe Biden.

«Je suis attristé quand je vois que le président n’a pas le contrôle de son esprit, et que dans mon pays c’est considéré comme très impoli de dire cela», a souligné Tucker Carlson, ajoutant «On se demande en quelque sorte comment on en est arrivé là, où vous avez un président incompétent qui a fait baisser non seulement le niveau de vie, mais également l’espérance de vie, et que personne ne se sent libre de dire cela».

Tout en comparant son pays à la Russie, le journaliste américain loue les qualités du Chef du Kremlin. « La Russie, est le plus vaste pays au monde, extrêmement diversifié linguistiquement, culturellement, religieusement » dira Carlson. Et de poursuivre «C’est difficile de diriger un pays comme ça pendant 24 ans, que vous le vouliez ou non». Une personne incapable ne pourrait pas faire cela».Et de conclure «Ce qui m’a frappé, choqué et beaucoup dérangé, c’est la ville de Moscou où je n’étais jamais allé. Elle est plus belle que n’importe quelle ville de mon pays. Je ne pouvais même pas l’imaginer. Mon père a passé beaucoup de temps là-bas dans les années 80 quand il travaillait pour le gouvernement américain et il y avait à peine de l’électricité. Aujourd’hui, elle est tellement plus propre, plus sûre et plus attractive sur le plan esthétique […] que n’importe quelle ville des États-Unis qu’on finit par se demander […] : comment en est-on arrivé là ?» «C’est très dépaysant pour un Américain d’aller à Moscou[…] à Singapour, à Tokyo, à Dubaï et à Abou Dhabi, parce que ces villes – quelle que soit la manière dont on nous dit qu’elles sont dirigées et selon tels ou tels principes – ce sont des endroits où il fait bon vivre».

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