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Diplomatie Algérienne: du déclin des années 2010 au grand retour des années 2020

La diplomatie algérienne, a retrouvé ses couleurs depuis l’élection du président Abdelmadjid Tebboune. La politique étrangère de l’Algérie n’a pas changé de cap, elle a juste retrouvé son rayonnement international, avec le grand retour de la grande tradition de la diplomatie algérienne.

Avant le mouvement béni du 22 février 2019, la diplomatie algérienne, n’a connu que des revers. Depuis 2010 et jusqu’à 2019, l’Algérie a été << quasiment-absente>>sur la scène internationale. La liste des impasses de la diplomatie algérienne s’est brusquement allongée à cette période. Entre 2010 et 2019, l’Algérie, a laissé d’autres pays prendre les commandes de la diplomatie africaine et arabe. Les différents responsables, qui se sont succédés durant cette période, à la tête du département des Affaires étrangères assument totalement la dérive de la diplomatie algérienne.

Ils sont les seuls responsables de << l’effacement>> de l’Algérie sur la scène internationale, car à cette époque, avec l’absence du défunt président pour cause de maladie, la présidence de la République, avait perdu le contrôle sur l’appareil diplomatique. La reprise en main de la diplomatie par le palais d’El Mouradia, qui est un des domaines <réservé>> du chef de l’Etat, a porté ses fruits sous la conduite du président de la République, Abdelmadjid Tebboune, dont les résultats ne se sont pas fait attendre.

L’Algérie est devenu un Etat-pivot et un acteur incontournable sur l’échiquier de la géopolitique, très fréquenté et très sollicité, compte tenu de la constance de ses positions, de sa positive neutralité et de ses efforts inlassables pour un monde multipolaire et plus juste.

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